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Utilisateur:René Jean Hermelin/Brouillon

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Histoire d'un cloître pyrénéen exilé à New-York[modifier | modifier le code]

Récit condensé de la vie du monastère des carmes fondé vers 1360 à Trie en Bigorre et de son cloître saccagé en 1571, puis, reconstitué au musée de New-York vers 1930[modifier | modifier le code]

(photo du cloître de TRIE reconstitué au Closter muséum de New-York)
Photo du cloître de TRIE reconstitué au Closter muséum de New-York - Source : (5)

Une saga de près de 700 ans[modifier | modifier le code]

En près de 7 siècles, seulement quatre occupants .

  • 1360- 1789 les moines Carmes
  • 1789- 1915 les comtes et juges Curie
  • 1915- 1977 les huissiers Thuron
  • 1977- 2024 Les Hermelin

1323 : fondation de la bastide de Trie[modifier | modifier le code]

Les historiens indiquent que l’acte de naissance de la bastide de Trie est daté du 11 janvier 1322. Cependant, selon le calendrier remanié en 1564 par Charles IX, nous retiendrons comme date officielle aujourd’hui 11 janvier 1323.( 1 ) Le roi régnant au moment de la signature de l’acte de paréage de Trie était Charles IV, troisième fils de Philippe le Bel et dernier roi capétien direct. Un sénéchal de Toulouse, Jean de Trie donna son nom à cette nouvelle ville qui accueillit par la suite les moines bâtisseurs du monastère des carmes. (l'appellation "sur Baîse" a été accolée récemment, en 1966 Trie devint TRIE sur BAÏSE .(2)

le monastère fut construit à l’extérieur des remparts de la bastide de Trie. Carte 1717 ( 2)

1365 : arrivée des carmes à Trie[modifier | modifier le code]

Ce n'est qu' une quarantaine d'année après la création de la bastide de Trie 3 que l’ordre des carmes obtint l’autorisation de s’implanter à Trie. Les moines carmes bâtirent un monastère important à l’extérieur des remparts entourant la nouvelle ville, qui était encore en pleine évolution, ce qui leur valut bien des mésaventures. Jean li le bon régnait sur la France et était en conflit ouvert avec Édouard III, roi d’Angleterre qui revendiquait le trône. La guerre de cent ans était bien entamée. Le roi de France venait de subir la défaite de Crécy, et perdre la bataille de Poitiers. Le jeune régent, et futur Charles V le sage, avait bien des difficultés avec le roi de Navarre Charles II dit « le mauvais » qui, lui aussi était en conflit ouvert avec le roi de France pour la même raison : revendiquer le trône…. Le roi de Navarre était à cette époque propriétaire de Trie qu'il dut céder à Charles V en 1365.(5) Cela n’empêcha pas nos moines bâtisseurs d’élever l’ensemble du monastère des Carmes, et à nos merveilleux sculpteurs de façonner, dans le marbre des Pyrénées leurs fabuleuses œuvres d’art..

L’'ordre des Carmes fut créé en terre sainte vers le milieu du XIIème siècle, leur père spirituel est le prophète Élie. Cet ordre fut animé par des ermites qui vivaient dans des grottes sur le mont Carmel, en Palestine. En 1209 St Albert, patriarche latin de Jérusalem, édicta leur première règle de vie qui fut approuvée par le Pape Honorius III en 1226 (5)

dessin du haut( (1) dessin du bas(7)

Les historiens nous expliquent[modifier | modifier le code]

Les Carmes de Tarbes qui auraient favorisé l'implantation du monastère de Trie. Le premier couvent Tarbais fut fondé par deux des six compagnons , moines Carmes, de l'ordre du mont carmel, accompagnant le roi St Louis au retour de sa première croisade, mais c'est aussi grâce à l'altruisme et aux subsides d'un certain marquis de Basillac et encore, par la générosité des habitants de la ville de Tarbes .Nous savons que le premier prieur tarbais s'appelait frère Sertorius, c'était l'un des compagnons qui suivaient St Louis.(6) Par contre, nous ignorons le nom du premier abbé de Trie car toutes les archives furent détruites pendant les guerres de religion.()

1360-65 : construction du monastère[modifier | modifier le code]

Comme dans la majorité des cas, ce monastère fut réalisé selon les principes de l’époque inspirés des constructions romaines. C’était un ensemble de bâtiments en forme de quadrilatère, comprenant : une église, accotés à cette église les bâtiments du couvent qui ceinturaient une cour carrée où étaient implantés le clocher et le cloître. Cet espace, dédié à la prière, était entouré par une galerie ouverte vers le centre, supportée par des colonnes et arcs gothiques, reposant sur un muret. Chaque colonne étant surmontée d’un chapiteau représentant une scène biblique sur ses quatre faces ciselé dans du marbre blanc. Cette galerie s’appuyait sur trois des quatre hauts murs des corps de logis nécessaires à la vie de la communauté : salle capitulaire, réfectoire, dortoir, bibliothèque, salle de prière, communs, etc. Il ne reste hélas que peu de vestiges de cette galerie en dehors de son emplacement et de son sous-sol qui conserve les dépouilles des religieux qui y vécurent.(7)

Le cloître et sa forme géométrique hautement symbolique, représentait l’homme dans ses fonctions : corporelle, intellectuelle, spirituelle et relationnelle.Les quatre hauts murs intérieurs entourant la cour du cloître avaient aussi une signification religieuse profonde :

  1. l’amour de Dieu
  2. l’amour du prochain
  3. le mépris de soi
  4. le mépris du monde
Chapiteaux de Trie au Closter muséum (5)

Les magnifiques chapiteaux du cloître de Trie sculptés dans le marbre blanc provenant de St Béat, furent dispersés au cours des temps, une partie fut rachetée par le cloître voisin de St Sever 65, ( 8), lors du saccage du monastère par les huguenots vers la fin, du 16ème siècle (1571),(1) une autre partie de ces œuvres d’art est présentée au Cloister Museum de New-York, où le cloître de Trie a été heureusement reconstitué. Quelques très beaux chapiteaux sont encore conservés à Trie dans l’église paroissiale et dans l’ex église des Carmes, ainsi que dans celle de Bugard (petite commune voisine de Trie sur Baïse).,d'autres chez des particuliers.. Ces sculptures sont toutes d’une très grande beauté et représentent des scènes religieuses bibliques sur leurs quatre faces.

Entre le 14ème et le 16ème siècle[modifier | modifier le code]

Les carmes possédaient de nombreuses terres et métairies, grâce aux indulgences et aux dons des nobles qui croyaient se réserver ainsi une place au paradis, certains se firent inhumés dans le monastère : les nobles familles de Foix, de Duffort, de Manas, puis, les d’Antin, Montespan, de Sariac, de Curie, ainsi que quelques membres de la maison de Navarre.

Après avoir connu un essor important le monastère a vécu bien des vicissitudes, comme le démontrent les livres d’histoire, dues notamment aux guerres de religions des XVIe et XVIIe siècle, et aux périodes de peste et de famines successives.

Vers 1571- 1572… Une mini St Barthélémy inversée[modifier | modifier le code]

Une chronique rapportée par un inconnu, près d’un siècle après l’évènement, raconte : les 25 religieux du couvent furent massacrés vers 1571 par une bande huguenote, et précipités dans le puits d’un lieu baptisé plus récemment ‘’du Puits aux Moines’’.(1) On ne compte pas moins de quatre puits sur le site, dont trois dans l’enceinte du monastère, et un situé dans la cour, dans l'ex galerie du cloître.(note de l'auteur)

Des stigmates encore visibles actuellement démontrent que ce couvent fut incendié notamment dans l’ex sacristie, Il est aussi prouvé qu’une expédition ponctuée de pillages et de tueries, fréquentes à cette époque, ait visé nos moines qui se trouvaient en dehors des remparts protecteurs de la bastide.(1)

1789 la vie du couvent et de ses habitants depuis la révolution[modifier | modifier le code]

Les biens du clergé furent vendus en biens nationaux. Le comte Barthélémy de Curie fit l’acquisition de l’ensemble du monastère des Carmes et des biens associés à un marchand de Bayonne. C’était un notable qui était seigneur de plusieurs villages environnant des Hautes Pyrénées, et aussi avocat au parlement de Toulouse.

Début 18ème Le monastère était alors dans un triste état, il ne restait que des bâtiments délabrés et une église à l’abandon qui servit rapidement de grange et d’écurie. Nous avons lu sur un ancien document cadastral, qu’un mur divisait l'église en deux parties(état cadstral1827) qui furent réunies par la suite. Une fabrique de verre s’installa d’un côté, l’autre servit d’écurie. Elle fut affectée plus récemment en garage pour les autocars régionaux, puis, dans les années 1970 beaucoup l’ont connue en silos à grains.(1)

Vers 1820[modifier | modifier le code]

Louis Curie Seimbres, fils aîné du comte Barthélémy, maire de Trie vers cette époque, fit bâtir, en relevant les anciens murs médiévaux de l’ancien couvent, une grande et belle demeure, où s’exerça durant plus d’un siècle, de pères en fils, la justice de paix du canton, ce furent des érudits qui contribuèrent durant tout le 19ème siècle à l’évolution de Trie.( archives de mairie et titres de propriété) .Leur blason et armoiries figurent toujours sur les grandes façades de l’ancienne résidence des moines, ainsi que sur le manteau de certaines cheminées .Un éminent archéologue Alcide Curie,qui fut maire de Trie ) possédait de nombreux chapiteaux (1)dont une grande partie a rejoint le musée de New-York.

le cloître de forme carré tel qu'il existe aux états unis
Le cloître de forme carré tel qu'il existe aux états unis (5)

Cette demeure fut vendue en 1912 par le dernier successeur Curie, à Monsieur Gaston Thuron, huissier de justice et conseiller d’arrondissement dont le fils Benjamin, huissier également, y vécut jusqu’en 1973. Durant les 58 ans qu’ils y vécurent, les lieux ne reçurent pas de grands changements et gardèrent leur caractère d'origine.(titre de propriété greffe de Tarbes 65)

En 1977 De nouveaux résidents en feront l’acquisition quelques années après la disparition de maitre Thuron, René-Jean Hermelin y installera sa famille, laquelle avait plusieurs générations d’ancêtres ayant vécu à Trie.

Envoutés par le charme de ce site d’un autre âge ils en firent leur résidence principale et en profitent toujours aujourd’hui. Leur objectif principal a été de défendre ce lieu et de veiller à conserver son authenticité et sa conservation. Une de leurs préoccupations, durant le quasi demi-siècle de leur présence, a été de regrouper, en les respectant, la majorité des espaces appartenant à l’ancien couvent. Ainsi ils ont réussi à réunir l’intégralité des jardins du cloître autrefois divisés, ainsi que l’ensemble des corps de logis, communs, et anciennes cours où se situait l’ancien cloître. ( état cadastral de Tarbes 65)

1855 et 1905 : exil des chapiteaux vers les Etats-Unis[modifier | modifier le code]

Les chapiteaux du cloître de Trie migrèrent vers les États-Unis. Cinq siècles après la création du monastère, nos amis d’outre-manche se sont intéressés à ce cloître. Vers la fin du 19ème, quelques érudits du « nouveau monde » prirent conscience du manque de témoignages de leur passé culturel et décidèrent de prospecter l’Europe afin acquérir de nombreuses œuvres d’art pour les exposer aux États -unis. C’est ainsi que nos chapiteaux franchirent l’Atlantique fin 19ème début 20ème pour aboutir entre les mains du grand collectionneur Jean Barnard, puis de Mr Rockefeller qui en fit don au célèbre Metropolitan Museum, équivalent de notre Louvre. (1) (6 )

Source : Le livre AWALK THROUGH THE CLOISTERS du Metropolitan Museum de New-york

1930 : reconstitution du cloitre de Trie au Closter Museum[modifier | modifier le code]

Une grande partie des collections de ce musée est regroupée sur le site de Fort Tryon Park à New-York City. On découvre dans ce lieu de très nombreuses œuvres, provenant en grande majorité d’Europe, et de la France en particulier, sont conservées et exposées. Le cloître de Trie qui y figure en bonne place.(6)( wikipédia the closter)

On découvre aussi dans ce lieu : trois chapelles romanes et gothiques et un grand nombre de statues, tapisseries, vitraux, meubles richement ciselés, et plusieurs cloîtres français partiellement reconstitués.

2024 : Etat des lieux actualisé de l'ancien monastère des carmes[modifier | modifier le code]

Sur une surface totale voisinant les quatre mille cinq cents mètres carrés, l’ancien monastère, bien qu’amputé de son cloître et malgré les remaniements et constructions incongrues apparues après la révolution est toujours très représentatif. Son principal édifice l’église, après avoir servi à toutes sortes d’affectations, du silo à grains aux écuries et autres remises, a été finalement restaurée en 1985 et transformée en une magnifique salle de concert.(7)

Vue aérienne du site
Vue de 2024, les bâtiments du couvent reliaient l'église, les petites constructions contre l'église n’existaient pas. Crédits : Hermelin René Jean (7)

Les bâtiments du couvent sont toujours en grande partie présents bien qu’ayant subi quelques modifications, notamment pour la partie sud, que le comte Curie a transformée pour en faire sa demeure et y exercer la justice de paix du canton de Trie.. Les longs bâtîments du couvent qui entouraient la cour du cloître servent de remises et greniers.

L’ancienne sacristie (seule partie n'ayant pas été rénovée) révèle encore quelques traces de fresques religieuses, ainsi que les stigmates du violent incendie qui ravagea le monastère en 1571,(1) . La base de l'ancien clocher construit à l'intérieur de la cour du monastère demeure encore.

Au centre du monastère une partie de la cour carrée du cloître est en partie gazonnée, elle est malheureusement divisée en deux par un mur post -révolution, des constructions plus récentes recouvrent aussi une partie de cette fameuse cour (le sous-sol intact conserve le souvenir des religieux qui y reposent).

L’ancien jardin, que cultivaient les moines, aujourd’hui réunifié, est organisé en potager et en jardin à la française. Un majestueux séquoia géant domine les environs et semble veiller au bien-être et à la sérénité de cet ensemble.

La majorité des constructions de l'ancien monastère ceinturant la cour du cloître dont les bases sont assurément du 14ème siècle n'ont pas subis de remaniements importants,ils possèdent une surface d’aménagement importante sur trois niveaux, qui permettrait beaucoup de créations.

Vue aèrienes du site de l'emsemble des batiments du monastère en 2024
Vue aérienne de l'ensemble des bâtiments du monastère en 2024 et du jardin de l'ancien couvent. Crédits : Hermelin René Jean ((7)

Quelques témoins du passé médiéval demeurent sur place, retenons par exemple : en premier l’église classée, entièrement restaurée en 1985, et affectée en salle de concerts, mais aussi, les murs vénérables de l’ancien couvent sur lesquels était adossé le cloître, rappelons que le monastère abritait vingt cinq moines, ces espaces de vie et d'activités multiples comprenant : réfectoire, dortoirs, bibliothèque, atelier, salle du chapitre, oratoire , cuisines, etc.. existent, au moins dans leur bases, le sous-sol de la galerie du cloître où reposent encore de nombreux religieux,( des travaux récents ont révélé la présence de nombreux ossements ).(7)


la rosace aux meneaux flamboyants
La rosace aux meneaux flamboyants (7)

Il reste également une très belle fenêtre à meneaux qui ornait sans doute la salle capitulaire, ajoutons une magnifique rosace à meneaux insérée dans un mur de l’ancien couvent, on l’appelait "la rosace aux meneaux flamboyants" décrite ainsi à l’époque médiévale.

"Elle formait un grand cercle de près de trois mètres de diamètre entourant trois ogives enlacées aux côtés gracieusement contournés, les vides étaient garnis de vitraux de couleurs variées qui laissaient entrer une lumière adoucie, faisant à l’autel, noyé dans la pénombre du chœur, comme une auréole mystique." (1)

La pierre originale de l'autel, toujours conservée aujourd'hui, fut découverte enfouie dans le sol de la cour de l’ancien cloître. C’est un vénérable témoin, orné des cinq croix traditionnelles et de la cavité qui renfermait une petite parcelle de la vraie croix du Christ ou d'une relique provenant des tout premiers chrétiens.(7)

Le jardin clos figurant sur les anciennes cartes (2) attenant au monastère où fut découverte en sous-sol une épaisse couche de chaux éteinte attestant l’ancienne présence d’une fosse commune, dernière étape des victimes de la peste aux époques douloureuses.(7) (travaux de décaissement réalisés en 1994) est réuni sur une mème parcelle aujourd'hui (extrait cadastral de Tarbes 65)

La rosace aux meneaux flamboyants
Eglise du monastère des carmes restaurée et transformée en salle de concerts en 1985. (7)

Le joyau de cet ancien monastère reconstitué en 1934 par le "Métropolitan muséum of art" de New-York, accueille depuis 1938 des visiteurs du monde entier au Fort Tryon Park où le cloister muséum conserve de nombreuses œuvres d'art .médiévales.(6) Tous les documents transmis par le curateur de ce musée ont approfondi nos connaissances et sont un trait entre nos deux pays. Les archives départementales des Hautes Pyrénées conservent « lettres, archives photos et plans ayant servi à la reconstitution du cloître de Trie ». 'L’essentiel' demeure tout de même dans le village d’origine :Le sol ou reposent encore les moines carmes, l'église et la base de son clocher,,les anciens murs abritant les espaces de vie de 25 religieux , et surtout :la mémoire de ces lieux vénérables.

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Sources :

1-( Livre) Création de la bastide de Trie .(pages 1 et 2) –Histoire du canton de Trie par charles Brun(imp guillemotet de la Mothe

2- Appellation Trie "sur Baîse" Historique administratif ( archives municipales de Trie sur Baîse)

3 Retranscription du contrat de paréage Trie /Baïse ,par Stéphane Abadie (http// abadielmdo.com/ bastides-bigourdan)

4-Fondation de la Bastide de Trie :fondation de la Bastide page 1 et 2 Histoire du canton deTrie

5 origine des Carmes: ordre des carmel wikipédia.org art consulté le 14 mars 2023

6 Histoire du couvent des carmes à Tarbes (manuscrit de 1662 par P.Richard art: Marie pierre Manet http// passion.bigorrehp.org


(1) page 61 manuscrit d'Aignant vol 71 pages 1073 et 1124)

5 Ouvrage : The closters au musée des cloîtres ( archives du musée à Ford Tryon park,New York

Livre : AWALK THROUGH THE CLOISTERS by du Metropolitan Museum de New-York.(pages 96 à101) ( composed by Joseph Ascher, printed by Mondadori cmpagny,inc, verons,italy.)

Livre :citation de Dom de Brugeles doyen du chapitre de Chimorre (ouvrage de Marie Pierre Manet)

PAGE  ‘Culture et patrimoine ‘ Histoire de Trie  _8ème paragraphe le Monastère http// tourismecoteaux 65.fr

Article : La collégiale Notre Dame de Trie sr BaÏse (page 39 ) par Stéphane Abadie (consulté le 10/décembre 2022)

:Ouvrage : La monographie de Trie en 1817 de Alcide Curie Siembres

ART/ The Closters : Ordre du carmel "art wikipédia"

Lettre du 16/10/1906.( négociation entre : Xavier de Pardaillac et le représentant de Mr Gray Barnard ). Archives départementales des Hautes Pyrénées et archives du fond documentaire du cloister muséum de New-York

LIvre Histoire du cloître de Trie ( page 32) -de RJ Hermelin () ISBN 9786269592529607 )

Carte de 1717: Carte générale de la terre et seigneurie de Trie Duché d'Antin dans le Haut Armagnac (. / Musée de St-Germain en Laye )

Croquis Haut : par Charles Brun auteur de l'histoire du canton de Trie.(1)

Croquis bas: par l'auteur vivant sur place depuis 1977.

Photos : de l'auteur, l'histoire du cloître de Trie  : ISBN 2-9592529-07978- par René jean Hermelin

photos des deux chapiteaux ( fond documentaire du Closter Museum de New-York

(1)( Livre) L'histoire du canton de Trie par Charles Brun imp Guillemot et Lamothe.

(6)) ( livre ) AWALK THROUGH THE CLOISTERS by du Metropolitan Museum de New-York.(pages 96 à101) composed by Joseph Ascher, printed by Mondadori cmpagny,inc, verons,italy.


(8) (lettres) du 16/10/1906 négociation entre : Xavier de Pardaillac et le représentant de Mr Gray Barnard (livre de René jean Hermelin ISBN 9786269592529607Histoire du cloître de Trie ( page 32) -

(8 )( lettre ) Archives départementale des Hautes Pyrénées

(2) ( carte de 1717 ) Musée de St-Germain en Laye ( Carte générale de la terre et Se(6)) THROUGH THE seigneurie de Trie Duché d'Antin dans le Haut Armagnac).

(1)Le croquis s Haut : par Charles Brun auteur de l'histoire du canton de Trie.

(5) Les photos des deux chapiteaux et du cloître source fond documentaire du Closter Museum de New-York conservées aux archives départementales de Tarbes 65


(7) Notes, dessin et photos de l'auteur, l'histoire du cloître de Trie  : ISBN 2-9592529-07978- par René jean Hermelin