Utilisateur:Poischiche19/Brouillon
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Conditions de travail[modifier | modifier le code]
Les vêtements issus du mouvement Fast Fashion sont vendus à très bas prix contrairement à ceux qu’on retrouve dans des magasins haut de gamme. Cependant, bien que ce soit bénéfique pour les consommateurs de changer leur garde robe à très bas prix, les ouvriers qui eux les fabriquent en paye largement le prix[1].
Les pays en voie de développement comme le Bangladesh sont pour de nombreuses marques l’endroit de prédilection pour la confection de leurs vêtements grâce aux ouvriers sous payés. Par exemple, au Bangladesh un employé gagne environ 3$/jour de travail, ce qui rend peu cher la confection des accoutrements qu’ailleurs[2]. En comparaison, si un employé travail 7h/jour au Québec, avec un salaire de 13,50$/h, la compagnie devra le payer 87,75$ et lui attribuer une pause pour dîner d’une demi-heure tandis qu’au Bengladesh, la journée de travail de l’ouvrier ne coûtera que 3$ à la compagnie. Cela exprime donc une économie faramineuse que de fabriquer ces vêtements dans un pays pauvre.
Les conditions de travail y sont extrêmement mauvaises. Le travail s’effectue dans des ateliers[3], ou les fenêtres sont obstruées par des draps afin de bloquer la lumière du soleil et d’empêcher les gens de se distraire de leur travail en regardant à l’extérieur.
Ils doivent travailler dans la chaleur et le froid extrême puisqu’il n’y a ni chauffage ni air climatisé[4]. Leur lieu de travail est insalubre et tous les murs sont fissurés et peine à s'écrouler. Il n’est pas rare non plus qu’ils aient à utiliser des produits chimiques et ce sans protection ou même qu’on voit travailler des enfants dans les ateliers[5].
- « Fast Fashion, les dessous de la mode à bas prix - Arte et #Investigation » (consulté le )
- « The True Cost: Who Pays the Real Price for YOUR Clothes | Investigative Documentary » (consulté le )
- Nicoletta Giusti, « Le travail en atelier comme forme d’organisation du processus de création dans la Mode », Sociologie et sociétés, vol. 43, no 1, , p. 149–173 (ISSN 0038-030X et 1492-1375, DOI 10.7202/1003535ar, lire en ligne, consulté le )
- « Fast Fashion, les dessous de la mode à bas prix - Arte et #Investigation » (consulté le )
- Chiara Baruta, « Les effets néfastes de la fast fashion sur les droits de l’enfant », sur Humanium, (consulté le )