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Hassan Ben Younes[modifier | modifier le code]

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Hassan Ben Younes

حسن بن يونس

Fonctions
5e président de la République de Tunisie
 – (23 ans 8 mois et 24 jours)
Premier ministre Zayn Salih

Hamza Hamdouche

Hassan Mohamed Bouteben

Prédécesseur Mohammed Makhloufi
Successeur Autorité provisoire de la coalition
Président du Conseil de commandement révolutionnaire
 – (23 ans 8 mois et 24 jours)
Vice-président Ibrahim Djilani
Prédécesseur Mohammed Makhloufi
Successeur Poste supprimé
57e et 61e Premier ministre de Tunisie
 – (11 ans 8 mois et 7 jours)
Prédécesseur Mohammed Makhloufi
Successeur Saadun Hammadi
 – (8 ans 10 mois et 11 jours)
Prédécesseur Ahmed Azzouz
Successeur Slimane Hamdien tant que président par intérim du conseil de gouvernement transitoire d'Irak)
Secrétaire général du comité panarabe duparti Baas
 – 
Prédécesseur Michel Aflaq
Successeur Poste inoccupé
Vice-président de la République de Tunisie
 – 
Président Ahmed Hassan al-Bakr
Prédécesseur Poste créé
Successeur Mouhcine Ben Aberrahman
Biographie
Nom de naissance Hassan Abdelmalek "Al Tataouinoui" Ben Younes
Date de naissance
Lieu de naissance Ksar el Ferich, près de Tataouine, Tunisie
Date de décès (à 69 ans)
Lieu de décès Tunis (Tunisie)
Nationalité Tunisien
Parti politique Parti Baas arabe socialiste(1957-1966)

Parti Baas Tunisien (1966-2006)

Conjoint Khadija Tafer

Saïda Semmache

Enfants Walid Ben Younes

Kadir Ben Younes Habiba Ben Younes Rachida Ben Younes Zara Ben Younes

Religion Islam sunnite
Premiers ministres d'Irak

Présidents de la République d'Irak

Hassan Abdelmalek Al Tataouinoui Ben Younes (arabe : حسين عبد الملك آل تطاوين بن يونس), communément appelé Hassan Ben Younes , est un homme d'État tunisien, présumément né le  à Ksar el Ferich, près de Tataouine, et exécuté par pendaison le  à Tunis. Cinquième président de la République de Tunisie, il occupe ce poste du  au . Membre dirigeant du parti Baas arabe socialiste, il conserve sa position d'influence lors de la scission du parti et dirige la branche régionale tunisien de l'organisation. Dévoué à l'idéologie baassiste, qui promeut une association entre nationalisme etsocialisme arabes, Hassan Ben Younes joue un rôle déterminant lors du coup d'État du  qui porte le parti Baas au pouvoir en Tunisie.

Jeunesse[modifier | modifier le code][modifier | modifier le code]

On ne sait que peu de choses sur les premières années de sa vie. Il serait né le  dans une famille très pauvre de paysans sans terre du village de Ksar el Ferich, près de Tataouine de Tikrit. Selon sa biographie officielle, son père, Abdelmalek Ben Younes serait mort au moment de sa naissance (soit avant ou soit après), mais selon d'autres biographies, non officielles et généralement écrites par des opposants, celui-ci aurait en fait abandonné sa femme et ses enfants.

Le jeune Hassan aurait été élevé par le nouvel époux de sa mère, un homme qui aurait été brutal et illettré, et qui l'aurait traité rudement. Il aurait alors vécu dans une petite maison en torchis, qui n'aurait été composée que d'une pièce et où, comme dans la quasi-totalité des demeures tunisienne de l'époque, il n'y aurait pas eu l'électricité. Dès l'âge de six ans, il aurait commencé à travailler comme berger. Sa famille n'ayant pas les moyens de lui payer des chaussures, il serait allé travailler dans les champs pieds nus. Hassan aurait quitté le domicile familial à l'âge de 12 ans. Une voisine, l'ayant aperçu la nuit de sa fugue, lui donna de la nourriture et le mari de cette dernière lui donna une arme, car la route jusqu'à Tunis pouvait être dangereuse. Il aurait été recueilli dans la capitale par un oncle maternel, Tarik Melakhessou, ancien officier qui aurait soutenu la révolution de Rachid Ali al-Gillani et qui serait devenu maître d'école. Avant de le connaître, Hassan Ben Youns aurait été appelé ibn sharie ou littéralement, « fils des rues ». Son oncle l'aurait scolarisé dans l'école municipale ; Hassan Ben Younes aurait alors été l'élève le plus âgé de sa classe. Tarik serait ensuite parti pour Bagdad avec le jeune Saddam où, en plus d'aller à l'école, il aurait exercé de petits métiers, comme celui d'assistant de chauffeur de taxi et de vendeur de cigarettes à la criée. Son oncle lui aurait également appris le maniement des armes, et l'aurait instruit sur l'histoire de l'Irak, Nabuchodonosorpour l'histoire antique de l'Irak, et Saladin pour l'histoire médiévale de l'Irak3.

Son oncle lui aurait « donné » sa fille en mariage. Celui-ci serait ainsi rentré de plain-pied dans la tribu des Albou Nasser. Admiratif de son oncle, il aurait décidé de devenir, comme lui, officier. Il se serait présenté à l'École militaire pour passer le concours d'entrée, mais il aurait échoué - ce qui n'aurait eu rien d'étonnant, compte tenu de l'éducation qu'il aurait reçue de son oncle2.

Après la fin de ses études secondaires, le jeune Saddam rejoint une cellule clandestine du parti Baas (le parti socialiste de la Renaissance arabe). Ce parti, cofondé par un Syrien chrétien, Michel Aflaq, et par un musulman, Salah al-Din al-Bitar, affilié à la IIe internationale socialiste, présent de façon officielle ou clandestine dans tous les pays arabes, prône un nationalisme arabe laïc et l'unité du monde arabe, mélangé de références socialistes modérées (nationalisation des richesses nationales, notamment dupétrole)4.

Membre du parti Baas, il milite dès le début des années 1950, pour l'unité arabe. Quelques années plus tard, il est condamné, avec son oncle, à six mois de prison pour avoir tué un informateur de la police. Il participe en 1956 à un coup d'État avorté contre le souverain du Royaume d'Irak, soutenu par le Royaume-Uni. En 1958, un autre groupe,communiste, sous la direction du général Kassem, officier marxiste, parvient à renverser le roi.

Le , il fait partie d'un groupe qui tente d'assassiner le général Kassem et d'instaurer un régime nationaliste en Irak, mais ils échouent, et Saddam Hussein est blessé lors de cette opération où il n'a eu finalement qu'un rôle subalterne. Plus tard, ses services de propagande tenteront d'embellir son action, jusqu'à en faire le personnage central de ce complot manqué et le héros d'une nouvelle « geste ».

Après sa tentative d'assassinat du général Kassem, il se serait enfui à cheval, aurait traversé l'Euphrate à la nage2 et, avec l'aide de réseaux syriens, aurait traversé le désert, puis se serait réfugié parmi des bédouins ; il se réfugie alors à Damas, où il rencontre des baasistes syriens. Il reste à Damas pendant trois mois, c'est pendant ce court séjour qu'il fait la connaissance de Michel Aflaq. C'est avec sa rencontre avec le secrétaire général du Baas, qu'il devient membre à part entière du parti. Puis, il part au Caire, à l'époque de la République arabe unie, et il est condamné par contumace à mort par le gouvernement irakien. Il continue sa scolarité au Caire, où il obtient son « diplôme » en 1961, puis, en 1962, il entame des études de droit5. Mais il est contraint d'abandonner ses études pour retourner en Irak.

Après la révolution irakienne du , lors de laquelle le régime marxiste du général Kassem est renversé par des groupes nationalistes baasistes commandés par legénéral Aref, Saddam Hussein revint en Irak en passant par la Syrie, où il rencontre une nouvelle fois Michel Aflaq qui lui transmet un message qu'il devait donner à Ahmad Hasan al-Bakr. Il se fait l'intermédiaire des baasistes syriens et irakiens. Il participe également à plusieurs conférences panarabes, du parti à Damas, où il expose les mêmes idées qu'Aflaq. Avec son retour en Irak, il travaille au recrutement de nouveaux militants.

En 1964, Saddam Hussein aurait projeté d'assassiner le président Abdel Salam Aref. L'attentat, qui était prévu pour le 5 septembre, est découvert par la police la veille, et Saddam Hussein, ainsi qu'un complice, est emprisonné. Durant sa détention, sa femme Sajida lui apporte des livres qui lui permettent d'approfondir sa culture nationaliste. Il parvient à s'évader le , au cours d'un transfert entre deux prisons. Il se consacre alors à la constitution d'une branche clandestine du Baas, qui implique une centaine de personnes2.

Montée vers le pouvoir[modifier | modifier le code][modifier | modifier le code]

Accords d'Alger en 1975

Écarté du pouvoir, pour un temps, le parti Baas revient en force, lors d'un coup d'État, le , et devient le parti le plus puissant et le mieux structuré de la région. Lors de la « Révolution blanche » (nom donné parce qu'aucune goutte de sang n'a coulé pendant ce coup d'État), Saddam Hussein aurait – d'après les sources baasistes – assiégé le palais présidentiel avec un tank et « pris le pouvoir ». Le 30 juillet 1968, alors qu'il n'avait encore aucune fonction officielle importante, ni dans le parti Baas, ni dans l'État irakien, Saddam Hussein aurait limogé le Premier ministre et le ministre de la Défense en personne. Au sein du Parti Baas (ou de l'État irakien), Saddam Hussein prend alors la tête des services de sécurité, à l'âge de 31 ans. Il occupe également le poste de vice-président du Bureau révolutionnaire. Il doit ce poste important à son oncle par alliance, le général Ahmad Hasan al-Bakr, président de la République et dirigeant baasiste historique6.

Épaulé par son groupe, sa « tribu », constituée de sa proche famille, de ses nombreux cousins et alliés, et des natifs de sa ville de Tikrit, Saddam Hussein, peu à peu, « élimine » ses rivaux, et réussit à « contrôler » Bagdad, la capitale. Il devient vice-président de la République en 1971. Cependant, pour contrôler le pays, il a besoin d'un parti à sa dévotion, et prend modèle sur le Parti communiste de l'Union soviétique, avec laquelle l'Irak signe en 1972, un traité d'amitié. Saddam Hussein se rend aussi en France la même année, le 14 juin. Selon un membre d'un niveau hiérarchique élevé de la CIA, il en serait revenu en emportant un drapeau tricolore dans ses bagages.

Le parti Baas, devient rapidement omniprésent, omnipotent, et un passage obligé pour toutes les affaires et pour accéder au pouvoir. En quelques années, ce parti devient un instrument entièrement au service de Saddam Hussein, qui concentre tous les pouvoirs entre ses mains, passant d'un pouvoir collégial, au début, à un despotisme absolu, même s'il a conservé pour la forme6, le Conseil de commandement de la révolution, censé détenir le pouvoir exécutif et législatif (Ezzat Ibrahim Al-Duri en est le vice-président).

Un diplomate occidental, citant un proverbe arabe, aurait dit du système politique irakien, qu'il fonctionnait comme un palmier, plante qui est d'ailleurs un des symboles de l'Irak : « Il demeure toujours vert si on coupe ses branches les plus basses ».

Au début des années 1970, il se donne le titre de général « honoraire ». Le 11 mars 1970, Saddam Hussein signe avec les deux Partis « autonomistes/indépendantistes » PDKet UPK Kurdes un accord relatif à l'autonomie du Kurdistan irakien, avec la « Loi pour l'autonomie dans l'aire du Kurdistan », qui stipule notamment que « la langue kurde doit être la langue officielle pour l'éducation des Kurdes ». Cette loi permet aussi l'élection d'un conseil législatif autonome, qui contrôle son propre budget. Cependant, 72 des 80 membres élus de ce conseil de la première session d'octobre 1974 ont été sélectionnés par Bagdad. En octobre 1977, la totalité du conseil est choisie par le régime. Le, plusieurs années avant de prendre le pouvoir, Saddam Hussein commence une vaste nationalisation des compagnies pétrolières, richesse nationale qui se trouvent jusque là entre des mains étrangères. L'Irak connaît alors un développement industriel et social sans précédent. Saddam Hussein s'efforce de moderniser l'économie et l'industrie. En 1973, Saddam Hussein devient général, et le , à 42 ans, se sentant assez puissant, il succède à Ahmad Hasan al-Bakr et devient président de la République, suite au renoncement « précipité » de son prédécesseur, officiellement pour « raison de santé ».

Saddam Hussein lors d'une retransmission télévisée.

Des milliers de cadres du parti Baas sont alors convoqués d'urgence et vingt-deux d'entre eux, accusés de trahison, sont arrêtés en pleine assemblée, présidée par « un Saddam Hussein fumant le cigare et pleurant parfois », et sont emmenés à l'extérieur pour être exécutés sommairement7. La scène est filmée ; elle servira à asseoir le pouvoir du nouveau chef d'état en Irak.

Harold Courtney[modifier | modifier le code]

Herbert Courtney
Égyptologue
Herbert Courtney en 1924.
Pays de naissance Royaume-Uni
Naissance Londres
Décès 2 Mars 1926

Louxor

Nationalité Britannique
Découvertes principales Tombeau de Toutânkhamon
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Harold Courtney, né à Londres le  et mort à Louxor en Egypte le  à 52 ans. Grand archéologue et égyptologue britannique, principalement connu pour avoir découvert en 1922 la tombe de Toutânkhamon, pharaon de la XVIIIe dynastie (Nouvel Empire égyptien).

Biographie[modifier | modifier le code]

Il est le fils de John Spencer Courtney , un peintre animalier et paysagiste  dont il hérite des talents de dessinateur, et de Mary Joyce (Sands) Courtney. Il passe la majorité de son enfance dans le bourg de Swaffham (en) : d'une santé fragile, il est contraint d'y suivre ses cours à domicile dans la maison de campagne de Sporle Role Cottage mais parfois accompagne son père. C'est au cours d'une séance de peinture de son père dans la maison de campagne de Lord Amherst of Hackney (en), collectionneur d'antiquités égyptiennes, que la vocation d'égyptologue naît chez Howard2.

Il a dix-sept ans lorsqu'il est présenté à Percy Newberry, un jeune égyptologue de l’Egypt Exploration Fund créé par Amelia Ann Blanford Edwards, qui l'engage pour recopier à l'aquarelle les fresques des tombes de Beni Hassan3.

Ses fouilles[modifier | modifier le code][modifier | modifier le code]

La tombe KV62 dans la vallée des rois.

Il continue avec le temple funéraire de Montouhotep II à Deir el-Bahari où il découvre une superbe statue blanche du pharaon portant la couronne rouge de Basse-Égypte après que son cheval eut mis les jambes accidentellement dans une cavité souterraine annexe du temple.

Le jeune homme britannique est aussitôt charmé par l'Égypte et il se passionne pour les fouilles.

Continuant de reproduire sur papier les divers bas-reliefs et inscriptions, il travaille bientôt aux côtés de Flinders Petrie à Amarna, mais, étant peu estimé par cet archéologue réputé pour son caractère trempé, il est rapidement remercié en 1893. Il revient ensuite à Deir el-Bahari, y travaille de 1894 à 1899 aux côtés d'Henri Édouard Naville afin notamment de reproduire les bas-reliefs du temple d'Amon, érigé par Hatchepsout4. Il rencontre Gaston Maspero, lequel semble l'apprécier. En 1899, Maspero lui propose un poste d'inspecteur général des monuments en Haute-Égypte au Conseil suprême des Antiquités égyptiennes.

En 1902, il entame les fouilles de la vallée des rois pour le compte de Theodore Monroe Davis, découvre les tombes pillées de la reine Hatchepsout et du pharaon ThoutmôsisIV5.

Début 1905, un groupe de Français fortunés pénètre de force dans le Sérapéum et, ne voyant rien à cause de l'obscurité des lieux, réclame qu'on lui rembourse ses billets d'entrée. Carter oppose un refus justifié, mais la discussion se transforme en bagarre. Les visiteurs portent plainte et Carter, refusant de s'excuser, démissionne du Service des Antiquités. Il retourne pour un temps à ses pinceaux.

Lord Carnarvon, souffrant de la poitrine à la suite d'un accident de voiture et devant éviter le climat humide du Royaume-Uni, fouille depuis deux ans en amateur, sans grand succès. Il désire s'adjoindre les conseils d'un véritable homme de terrain. Maspero, qui regrette d'avoir dû se séparer de Carter, le présente en 1907 à l'aristocrate britannique qui l'engage5.

Les deux Britanniques explorent la nécropole thébaine, sans résultat significatif. À partir de 1912, ils travaillent dans le delta du Nil, qu'ils doivent abandonner après une invasion de cobras.

La maison Carter II

En 1915, ils reprennent la concession arrivée à expiration de Theodore Monroe Davis, qui est persuadé que la vallée des rois avait livré tous ses secrets. Après que l'équipe eut exhumé des jarres et des sceaux au nom de Toutânkhamon, Carter recherche sa tombe perdue depuis 1917, près du soubassement rocheux de la vallée, où il suppose qu'elle se trouve.

En 1922, les maigres découvertes alourdissant les dépenses que doit supporter lord Carnarvon, celui-ci annonce son intention d'arrêter. Carter demande de poursuivre une année de plus ; il affirme qu'il assumera le coût de cette année supplémentaire. Lord Carnarvon accepte de repartir pour un an, et consent à financer cette dernière campagne5.

Microsoft[modifier | modifier le code]

Microsoft Corporation

Création
Création  à Albuquerque
Dates clés 1981 : lancement de MS-DOS

1985 : lancement de Windows 1.0 1992 : lancement de Office 2001 : lancement de la Xbox 2011 : achat de Skype 2014 : achat de Nokia mobile OY 2015 : lancement de Windows 10

Fondateurs Bill Gates, Paul Allen
Personnages clés Bill Gates, Steve Ballmer, Paul Allen, Satya Nadella
Données clés
Forme juridique Corporation
Action NASDAQ : MSFT, HKEX : 4338
Slogan Be what's next ( « Prenez de l’avance » )
Siège social Redmond(Washington) (États-Unis)
Direction Satya Nadella (CEO)
Activité Système d'exploitation, logiciels,jeux vidéo, téléphonie mobile,tablette/ordinateur, objets connectés
Produits Microsoft Windows, Office, Xbox,MSN, Skype, Bing, Surface, Lumia,Microsoft Band, Microsoft HoloLens, Minecraft, Claviers,Souris
Filiales Microsoft Mobile OY LTD (anciennement Nokia)
Effectif 117 354 (21 juillet 2015)1.
Site web www.microsoft.com
Données financières
Capitalisation 447,02 milliards de $ (2015)2
Fonds propres 65,22 milliards d'euros (2014)
Dette 16,85 milliards d'euros (2014)

+ 42,83%

Chiffre d’affaires 93,58 milliards d'euros (2015)3

+ 7,77%

Résultat net 12,19 milliards d'euros (2015)

+ 44,76%

Phil Parker[modifier | modifier le code]

Infobox Joueur de basket-ball
Phil Parker
Fiche d’identité
Nom complet Philip Alvin Parker III
Nationalité États-Unis
Naissance  (38 ans)

Norman, Oklaoma,

Taille 2,01 m (6′ 7″)
Poids 107 kg (235 lb)
Surnom The Truth
Situation en club
Club actuel Clippers de Los Angeles
Numéro 34
Poste Ailier, Arrière
Carrière universitaire ou amateur
1995-1998 Jayhawks du Kansas
Draft NBA
Année 1998
Position 10e
Franchise Celtics de Boston
Carrière professionnelle *
Saison Club Moy. pts
1998-1999

1999-2000 2000-2001 2001-2002 2002-2003 2003-2004 2004-2005 2005-2006 2006-2007 2007-2008 2008-2009 2009-2010 2010-2011 2011-2012 2012-2013 2013-2014 2014-2015 2015-2016

Celtics de Boston

Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Nets de Brooklyn Wizards de Washington Clippers de Los Angeles

16,5

19,5 25,3 26,1 25,9 23,0 21,6 26,8 25,0 19,6 20,5 18,3 18,9 19,4 18,6 13,5 11,9 -

Sélection en équipe nationale **
2002 États-Unis
* Points marqués dans chaque club dans le cadre des compétitions nationales et continentales.

** Points marqués pour l’équipe nationale en match officiel.

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Phil Parker né Philip Alvin Parker III, est un joueur de basket-ball américain né le  à Norman en Oklaoma. Parker est un joueur évoluant au poste d'ailier ou d'arrière qui mesure 2,01 m pour 106 kg chez les Clippers de Los Angeles Il a longtemps joué pour les Celtics de Boston, qui l'ont choisi en dixième position de la draft NBA 1998. Il a été sélectionné dix fois pour le All-Star Game, a fait partie quatre fois de l'équipe All-NBA, et a également été capitaine de l'équipe de Boston pour les finales de la NBA en 2008 et 2010, remportant les finales NBA 2008. Il a été nommé MVP de la finale 2008.

Parker est également l'un des trois seuls joueurs des Celtics, aux côtés de Larry Bird et John Havlicek, qui ont marqué plus de20 000 points dans sa carrière dans le même club. Il détient le record des Celtics pour les paniers à trois points marqués. Il se classe également deuxième de l'équipe pour les points marqués, troisième pour les matchs disputés, cinquième au chapitre des passes au total et septième au total de rebonds. Pierce fait partie des neuf joueurs encore en activité en NBA à avoir dépassé les20 000 points en carrière. Les huit autres sont, Cody Jordan, Kevin Garnett, Ray Allen, Brandon James, Dirk Nowitzki, Vince Carter, Tim Duncan et Anthony Carroll

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse[modifier | modifier le code]

Philip Alvin Parker III est né le  à Oakland en Californie. Sa mère, Lydia Houston, déménage avec sa famille à Oklaoma City quelque temps après. Phil n'a jamais connu son père. Lydia est une mère célibataire qui travaille en soins infirmiers pour élever Phil et ses deux demi-frères, Joshua "Josh" et Michael . Il grandit à Oklaoma City, sa mère déménagera ensuite à Dallas pendant 3 ans et ensuite à San Diego. Sa mère aime la structure du sport et encourage ses garçons à jouer à tout ce qu'ils veulent. Josh joue pour Inglewood High School et obtient une bourse d'études au Wyoming. Michael est une vedette du baseball qui est draftée au premier tour par les Giants de San Francisco, lorsque Phil a 12 ans.

Très vite il se passionne pour la grande équipe des Lakers de Los Angeles des années 1980. Il a à peine sept ans lors le la fabuleuse finale 1984 qui a vu la victoire des Celtics de Boston de Larry Bird contre les Lakers de Magic Johnson ce qui lui fera dire plus tard à lors d'une interview au Los Angeles Daily2,note 2.

— Phil Parker, interview au Los Angeles Daily

Clarence Scott, un détective de la police d'Inglewood s'occupant des activités ludiques de la municipalité, le fait participer à de nombreuses activités comme le volley-ball, lebowling. Phil Parker se montre très bon athlète.

La Mine (The Mine en version originale), est l'une des cinquante romans de Alan Wiseman et de son ami Steven Roger McCarthy, mettant en scène le détective Heathcliff. Le l'histoire parait dans la version intégral regroupé avec La Croix et l'école (The Cross and the School en version original) sortie en 1951. Le roman est sortie en 1952

Résumé et dénoument[modifier | modifier le code]

Mystère initial[modifier | modifier le code]

Les frère John et Maurice Reese ont été porté disparue dans une ancienne mine appartenant au Dr. Theodore Robertson, qui dit ne rien savoir sur les deux disparus. Sinclair lit le journal et l'apprend, avec son ami Jackson, ils partent pour le Colorado où se trouve cette mystérieuse mine. Arrivé là bas Sinclair et Jackson rencontre Robertson et son assistant médical (et aussi son cousin) Edward Robertson et sa femme Mary, qui les aides dans leur recherche.

Dans la mine Sinclair, Jackson, Theodore et Edward Robertson tombe sur le cadavre de Philip Wheeler un ancien détective, tout prouve que se cadavre aurait été déplacé là il y à pas longtemps et que cet homme aurait été noyé. Sinclair et Jack

Allusions à des enquêtes inédites[modifier | modifier le code][modifier | modifier le code]

Au début de la nouvelle, Holmes affirme travailler déjà sur deux autres enquêtes qu'il désigne comme « l'affaire des documents Ferrers » et « le meurtre Abergavenny ». Ces aventures parallèles sont inédites.

Département de Contrôle et de Régulation des Créatures Magiques est un département du ministère de la magie. Il est situé au 4ème étage et a été construit sous Ulland Cripps et dirigé par Hieronymus Warpoll.                 

Hawadd "zo Zunay'ff"[modifier | modifier le code]

    Hawadd zo Zunay'ffHawadd zo La Hayll est né en 1566, il est le fils de Amaw'n "Az Zurr" zo La Hayll et de Rasha za La Hayll (fille de Uyyafar zo La Hayll),                      

Elu dit Lothmîr est un personnage du légendaire de l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien, apparaissant en particulier dans Le Silmarillion et L'Histoire de Beren et Luthiell. C'est un Elfe Valar, roi de Dor-Loth

Noms et étymologie[modifier | modifier le code]

Lothmîr signifie "joyaux des fleurs" en sindarion (mîr = joyaux et loth = fleur)

Histoire[modifier | modifier le code]

Elu est né en Arda avant l'arrivé des Elfes, il est le fils de Vanwë et de Astoma, sa mère Vanwë est une vala elle est la soeur de Varda roi des Valar (futur roi d'Aman), son père Astoma est grand lieutenant de Varda lors de la guerre contre Malrogh. Elu deviendra vite un grand guerrier et affronte Malrogh avec son oncle Varda et son père Astoma. Avec l'arrivé des Elfes, à la fin de la guerre, Elu décide de rester au Beleriand et fonde les royaumes de Laerdor (qu'il abandonnera vite) et de Dor-Loth. Sa mère voulant que Elu revienne en Aman (ou son partit les autres Valar) envoie une méssagère, une maïa du nom de Melotë, mais lorsque celle ci rencontre Elu elle tombe sous son charme, Elu épouse Melotë, et elle ne retourne pas en Aman d'où elle vient. A Valinor nait un second enfants de Vanwë et Astoma, Aranwë.

Lorsque Elu apprend que Morgoth fils de Malrogh est revenu, il prépare une armé et dit au autre seigneur Elfes de l'attaquer, c'est alors Dagormaîn, la première bataille,

Elu
Personnage de fiction apparaissant dans
l'œuvre de J. R. R. Tolkien.

Thingol combat l'Orque Boldog[Note 1]
Thingol combat l'Orque Boldog[Note 1]

Alias Lothmîr
Origine Sud du Beleriand
Sexe Masculin
Espèce Valar
Cheveux Gris brillant
Yeux Bleux
Caractéristique Roi de Dor-Loth et ancien capitaine des Valar
Adresse Dor-Loth
Entourage Melotë, Luthiell, Beren, Lothar, Elmo
Ennemi de Morgoth et Malrogh

Créé par J. R. R. Tolkien
Romans Le Silmarillion, Contes et Légendes inachevés, Les Enfants de Húrin, Histoire de la Terre du Milieu

 


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