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Utilisateur:Nathan C LycéePrévert 2nde6/Brouillon

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Page de brouillon sur Jean Gaument

Jean Gaument[modifier | modifier le code]

Biographie[modifier | modifier le code]

Jean Gaument de son vrai nom Ferdinand, Louis, Alphonse Verdier est né le 19 novembre 1879 à Rouen.

En 1890 il va a l'école communale de garçon André Poittier à Rouen. En 1891 il s'inscrit comme interne en 5e à Corneille de Rouen. Le 29 juillet 1892 il obtient le 5e prix de grammaire et de la langue française, le 4e prix de lecture, le 8e prix d'arithmétique. Il se lie d'amitié avec l'élève Camille Chemin (1878-1959), son futur partenaire littéraire sous le pseudonyme "Camille Cé". Ils ont condisciple le futur auteur elbeuvien Charles Muller. Lors de sa dernière présence au Lycée Corneille (1895-1896) Il est inscrit comme demi pensionnaire en 1er de lettre modernes. Il reçoit le premier prix de la littérature en 1896. Il est reçu à la première partie du baccalauréat en 1896. Puis il rentre comme commis aux écritures chez un transitaire du port de Rouen.

En 1898 il est répétiteur à Bayeux jusqu'à pâques, puis il retourne à Rouen en juin. Ses parents le place un temps commis chez un quincailler rue d'Amiens à Rouen alors qu'ils sont domicilié 31 rue Héault à Mont-St-Aignan. Le 3 juillet 1899 il est reçu au baccalauéat (deuxième partie). Il passe le concours des bourses de licence. Il s'inscrit à la faculté de lettre a Caen, il suit les cours de G.Rudler, Gasté, Maurice et Souriau. Il y retrouve Camille Chemin préparant une agrégation d'anglais. Celui-ci l'encourage à poursuivre ses études de grec et de latin. Il réside impasse de Cauvigny à Caen.

Le 5 juillet 1901 il est reçu à la licence ès-lettre de la faculté de Caen. Sa bourse d'agrégation est refusé.

En 1900 et 1901 il fait un service militaire. Il est incorporé au 39e R.I. de Rouen le 14 novembre 1902, à la caserne Hatry, où il fait la connaissance de Roger Martin du Gard. Il est réformé temporairement le 24 avril 1903 pour "aménie et imminence tuberculose pulmonaire".

En 1903 il est nommé répétiteur au collège de Falaise le 1er mai. De juin a octobre 1904 il est répétiteur à Flers.

Puis de juin 1904 a octobre 1905 il est surveillant d'internat au lycée Lakhal de Sceaux. Il en profite pour suivre des cours à la Sorbonne et préparer l'agrégation. Il signe avec Camile Cé des chroniques dans la presse locale normande.

Puis il est en 1905-1906 professeur d'anglais et de français au collège de Château-Thierry. Le 29 juin 1906 il renonce de se présenté à l'agrégation le jour du concours. Le 10 septembre 1906 il se marie avec Marie-Louise Béranger (1888-1969) originaire d'Elbeuf, dont la famille est dans le commerce du charbon.

Le 8 mai 1907 on trouve la naissance et la mort de son premier enfant, Jacques.

Il est professeur d'anglais au collège de Loudun jusqu'au 28 novembre 1907. Le 29 novembre il est professeur de lettre au Lycée d'Argentan en première, puis au lycée de Pontarlier.

Le 16 octobre 1908 il est enseignant au lycée d'Honfleur. Où il demeure 56 rue St-Léonard à Honfleur. Le 11 ocobre 1909, il reprend une correspondance avec Roger Martin du Gard qui vient de faire paraître Devenir.

Le 3 octobre 1910, il est professeur de lettres au collège de Lisieux, où il demeure 161 rue de Caen à Lisieux

Le 7 octobre 1912 naissance de son fils Jean à Lisieux.

Le 14 juillet 1913 il est nommé Officier d'Académie.

Le 25 1914 mai naissance de son fils Claude à Lisieux qui décède le 26 décembre de la même année. En Août il débute son journal de guerre. Il est bénévole à la mairie de Lisieux pour l'aide d’urgence aux réfugiés. Il hébergera plusieurs d'entre eux à son domicile tout au long de la guerre.

En 1916 son activisme envers ses élèves ou les familles lexoviennes en faveur des efforts citoyens pour la guerre déplaît au point que des plaintes parvienne a sa hiérarchie. En octobre il est nommé au petit Lycée Corneille d'Elbeuf, chargé des classes de quatrième et troisième. Il installe sa famille dans une grande maison 145 rue de Rouen à Elbeuf.

En 1917 il repasse le conseil de révision militaire le 5 avril. Il est maintenu réformé pour "bronchite chronique". Il continue seul la rédaction de La Grand' route des hommes tandis que Camille Cé est mobilisé à Malte au service de l'Etat-major comme interprète

Œuvres[modifier | modifier le code]

Le bonheur n'est pas de ce monde [1]