Utilisateur:MrSpockito/Brouillon
| Gama Space | |
| Création | 2020 |
|---|---|
| Dates clés | 2023 : envoi en orbite de la voile solaire de Gama par Falcon 9 |
| Fondateurs | Louis de Gouyon Matignon, Thibaud Elziere, Andrew Nutter |
| Forme juridique | Société par action simplifiée |
| Siège social | Ivry-sur-Seine France
|
| Président | Louis de Gouyon Matignon |
| Directeurs | Andrew Nutter |
| Activité | Recherche et développement spatial |
| Partenaires | Centre National d'Etudes Spatiales |
| Effectif | ~50 employés |
| SIREN | 890751654 |
| TVA européenne | FR34890751654[1] |
| Site web | https://www.gamaspace.com/ |
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Gama Space, également dénommée Gama, est une entreprise aérospatiale française crée en 2020 Basée à Ivry-sur-Seine, cette startup francilienne
Gama Alpha[modifier | modifier le code]
La première phase du développement de la voile solaire de Gama consistait en la mission de démonstration Gama Alpha, qui visait à tester le déploiement et le contrôle de la voile en orbite LEO (Low Earth Orbit) ou orbite basse terrestre.
Le 3 janvier 2023, la voile de Gama fut lancée depuis la Floride dans le cadre de Transporter-6, la première mission de l'année réalisée par SpaceX : il s'agissait d'une mission dite rideshare, "de covoiturage" en français, pour laquelle le lanceur est doté sous sa coiffe d'une multitude de charges utiles, en l'occurrence 114. Ce jour-là, Falcon 9 décolla du SLC-40 de Cap Canaveral à 14:56 UTC.[2] Alors que le premier étage de la fusée, le booster B1060, s'est posé sur le LZ-1 à la suite de son 15è vol, le second étage a délivré ses charges utiles sur une orbite SSO, ou héliosynchrone, de 525 km d'altitude et inclinée à 97°.[3]
Destiné à une orbite de 550 km d'altitude, le satellite Alpha, plus précisément un nanosatellite 6U, a été construit par l'intégrateur et le manufacturer de bus de nanosatellites lithuanien NanoAvionics.[4] D'une masse de 12 kg, il fait la taille d'une boite à chaussures au contraire de la voile contractée à l'intérieur qui, une fois déployée, couvre une superficie de 73,3 m2.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « GAMA », sur Societe.com, extrait de sa base de données [1]
- (en) « Transporter-6 Mission », sur SpaceX (consulté le )
- (en) Danny Lentz, « SpaceX rings in 2023 with Transporter-6 rideshare mission », sur NASASpaceFlight.com, (consulté le )
- (en) « SpaceX Transporter-6 successfully launched Europe‘s first solar sail mission », sur NanoAvionics, (consulté le )
Liens externes[modifier | modifier le code]
| Genre(s) | Anticipation, science-fiction, uchronie |
|---|---|
| Auteur(s) | Edgar P. Jacobs |
| Année de création | 1946 |
| Pays d’origine | Belgique |
| Langue d’origine | Originellement le français |
| Support d’origine | Bande dessinée |
| Inspiration(s) | Seconde Guerre mondiale |
L'Empire Jaune, figurant pour la première fois dans l'album de bande dessinée Le Secret de l'Espadon, dessinée et scénarisée par Edgar P. Jacobs, est un état fictif, autoritaire et vraisemblablement fasciste, originaire du Tibet et dont la capitale est Lhassa. Dirigé par un monarque despotique et malfaisant du nom de Basam-Damdu, qualifié d'"usurpateur", il se manifestera agressivement et subitement sur la scène internationale en lançant une attaque éclair contre le reste du monde, soutenue par un envoi massif de fusées sur les capitales étrangères puis par leur prise à l'aide d'unités aéroportées. Bien qu'ayant soumis l'intégralité du globe à son autorité, l'Empire Jaune fera face à une résistance farouche. Ses membres parviendront à développer une arme redoutable et réputée invincible, l'Espadon, qui entrainera la chute de l'Empire Jaune au terme de la Troisième Guerre Mondiale que celui-ci aura déclenché, l'atomisation de Lhassa ainsi que la mort de son empereur.