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Utilisateur:Maxyme bussey/Brouillon

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La violence conjugale en temps de pandémie[modifier | modifier le code]

La violence conjugale est un phénomène qui peut prendre plusieurs formes dont physique, psychologique, sexuelle, verbale et économique. Ce type de violence est intentionnelle et préméditée, elle vise à dominer et terroriser sa victime. La violence conjugale n'a pas de frontière elle peut être subit à toute âge et elle se présente dans tout les types de relations.

Selon un article de la Press écrit par Nicolas Bérubé[1], il affirme que le nombre de déclarations faites à la police par des victimes de violence conjugale est en hausse. Depuis la pandémie, les individus ont pris davantage conscience de la violence faite dans les lieux plus privés. Les mesures sanitaires ont fait en sorte que les femmes soient piégées dans leurs lieux de résidence en permanence avec leurs agresseurs de plus, la perte d’emploi, l’économie et l’anxiété propagée par la population crée pour certains une atmosphère peu agréable à la maison. Claudine Thibaudeau, porte-parole de l’organisme SOS violence conjugale, dit que le nombre d’appels téléphoniques que reçoit son organisme est passé de 41 000 par année en 2020-2021 à 58 000 pour l’année qui s’est terminée en mars 2022. « C’est une hausse importante », dit-elle. De plus, elle affirme que ces chiffres ne démontrent pas nécessairement plus de cas de violence, mais il y a une plus grande dénonciation de la part des victimes.

La violence conjugale est majoritairement vécue par les femmes, peu importe la culture, le statut social ou le revenu. Selon le site du gouvernement du Québec[2], il affirme que la violence conjugale est issue de rapports historiquement inégaux entre les hommes et les femmes.

Selon un article du Devoir rédiger par Marie-France Coallier[3], elle explique et je site: "Le lien direct tracé entre la violence conjugale et les mesures de confinement s’explique par le fait que les comportements violents envers les femmes auraient atteint un sommet en février et octobre 2021, lors de vagues intenses de propagation du virus où des restrictions sévères étaient imposées. À l’inverse, les taux étaient à leur plus bas en juin de la même année alors que le Québec profitait d’un relâchement estival accompagné d’un déconfinement." Toute les ressources d'aide était beaucoup moins accessible pendant ce temps pandémic.

  1. « Les cas déclarés de violence conjugale encore en hausse », sur La Presse, (consulté le )
  2. « Définition de la violence conjugale », sur www.quebec.ca (consulté le )
  3. Ugo Giguère, « Une nouvelle étude lie directement la violence conjugale aux mesures de confinement », sur Le Devoir, (consulté le )