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Utilisateur:Marion Knikman/Brouillon

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Les transports en commun autonomes[modifier | modifier le code]

Contexte[modifier | modifier le code]

Depuis la diffusion massive de l’automobile dans les années 1920, les innovations technologiques autour de celle-ci n’ont jamais cessé. Il n’est pas rare aujourd’hui de conduire des véhicules capables d’allumer leurs phares en cas de pénombre, de freiner en cas d’obstacles ou de maintenir leurs vitesses sur des centaines de kilomètres. Mais les innovations technologiques ne s’arrêtent pas à des « gadgets » ; les voitures sont maintenant capables de manœuvrer seules. Cette transformation dans notre façon de construire des automobiles a été rendu possible par l’arrivée des capteurs. En effet, grâce à eux, chaque véhicule peut se situer dans l’espace en fonction de ce qu’il l’entoure et alors se déplacer de façon autonome dans son environnement par le biais de caméras et de capteurs lasers. Cette prouesse technologique est rendu possible par la présence de programme d’intelligence artificielle dans les voitures. L’autonomisation est sur le point de devenir totale, cette autonomisation ne se limite pas aux voitures particulières ; les transports en communs se mettent eux aussi à l’automatisation. Pour plus d'informations voir l'article : Véhicule autonome

De nombreuses pays et villes mettent en place des séries de test grandeur nature.

Test des véhicules autonomes sur les transports en commun[modifier | modifier le code]

Pour les transports en commun la technologie reste identique à celles utilisées pour les voitures particulières. Si nous prenons l’exemple d’Helsinki en Finlande : les bus n’ont ni frein, ni pédale d’accélérateur, ni volant. Il n’y a même plus de chauffeur, juste une personne présente prête à actionner le bouton rouge de « Stop » en cas d’urgence. L’avantage des transports en commun autonomes restent le même que les transports en commun traditionnels, ils permettent de réduire le nombre de voitures dans les villes et désengorger les rues. Cette volonté est soutenue par le projet Sohjoa qui cherche à limiter les embouteillages et les gaz à effet de serre. Ces autobus sont en test dans des endroits qui regroupent beaucoup de monde, les campus, les zones industrielles (pour Helsinki) mais aussi dans des quartiers d’affaire comme à Paris ou à Lyon. Ces essais sont toujours mis en place sur de courtes distances et à des vitesses modérées. Cependant, ces nouvelles technologies pourraient arriver dans notre quotidien rapidement.

[1] A Slow Ride Toward the Future of Public Transportation - nytimes (2016)