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Utilisateur:MammaMia23/Brouillon

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Tout commence avec Julie Miville-Dechêne. Cette femme, présidente du Conseil du statut de la femme, fait une révélation sous #BeenRapedNeverReported sur les ondes de Radio-Canada. Elle dénonce son agression sexuelle pendant l’adolescence. Par la suite, Alexa Conradi, présidente de la Fédération des femmes du Québec (FFQ), livre sur Twitter qu’elle a été agressé à trois répétition.[1]

Le 5 novembre 2014, sur Twitter, des centaines de femmes révèlent chacune leur histoire d’agressions sexuelles sous #AgressionNonDénoncée.[2] Cet hashtag québécois a été créé par le FFQ et la fondatrice du blogue Je suis indestructible. Cette alliance a permis de créer un endroit qui permet aux femmes de dénoncer et de rompre le silence sur leurs agressions sexuelles. De plus, ce mouvement permet de déconstruire les fausses croyances sur les agressions sexuelles ainsi que de sensibiliser à la culture du viol.

Le 16 octobre 2017, les québécoises ont suivi la vague de dénonciation qui se produisait entre autres aux États-Unis et en France. Sous le #MoiAussi et #MeToo, elles ont raconté leur histoire. À la suite de cette vague de dénonciation, deux semaines se poursuit. Le Regroupement québécois des centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)[3] fait paraître un communiquer qui exprime l’ampleur de la masse des révélations sous les hashtags. De plus, il y a un manque d’argent pour répondre aux appels d’aides des victimes. Aussi, il y a un engorgement dans les RQCALACS ce qui entraine un délai d’attente. À la ressources Viol-Secours, il y a une liste d’attente qui se créer. C’est un première pour les quarante dernières années. Plus précisément, c’est surtout suite aux agressions sexuelles et aux intrusions à l’Université de Laval au pavillon Alphonse-Marie-Parent.

Sur les campus universitaire[modifier | modifier le code]

En 2012, à la suite des manifestations du « printemps érable », plusieurs étudiantes dénoncent leurs agressions. Des scénarios tels que des militantes conduites à l’extérieur du groupe qui se font agresser par d’autres militants sont racontés.[4] Plus précisément, la vague de dénonciation est plus concentré en 2013. C’est par dizaines que les femmes dénoncent. En premier lieu, cela est sur les réseaux sociaux sur leur page personnelle. Par la suite, la gent féminine dénonce anonymement sur la plateforme crée par Alerta feminista. [5]

  1. « Le courage de dénoncer », sur La Presse+, (consulté le )
  2. Zone Société- ICI.Radio-Canada.ca, « #AgressionNonDénoncée : des victimes brisent le silence », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  3. « Les CALACS - Regroupement Québécois des C.A.L.A.C.S | Centres d'aide aux agressions sexuelles », sur rqcalacs.qc.ca (consulté le )
  4. « Dénonciations à l'UQAM: l'origine de la colère », sur La Presse, (consulté le )
  5. Brigitte Paquette, La déferlante #MoiAussi, Saint-Joseph-du-Lac, M Éditeur,