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Utilisateur:LycéeZolalisa.l/Brouillon

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L'enquête[modifier | modifier le code]

En 2006, les commissions spéciales employées pour les recherches étaient dirigées par l'organisation spéciale (BAO) du Bosphore de Nuremberg. Elle coordonnait 50 fonctionnaires, tous sous la direction du directeur de la criminel (LKD) Wolfgang Geier. Cette équipe était composée d'enquêteurs considérés comme les meilleurs d'Allemagne. A certains moments jusqu'à, 160 fonctionnaires de plus, venant de plusieurs Etats ont été mobilisés sur l’enquête. Sept commissions spéciales ont étés crées. 35000 traces et preuves , 11 000 personnes et des millions de données téléphoniques et de cartes de crédit ont été examinées. Les Membres des familles de victimes ont accusé les autorités allemandes de menée une enquête unilatérale. Ils cherchaient dans la mauvaise direction, en effet, les motifs, indices racistes n' ont pas étés pas pris en compte.

Les armes[modifier | modifier le code]

( exemple ) Un Česka 83, calibre 7,65 mm Browning.

La seule véritable piste faite, a été la liaison entre les différentes affaires, c'est a dire une unique trace d'arme, utilisée lors de chaque action. C'est une arme de type CZ de calibre 7.65mm browning du fabricant Ceská zbrojo. Il s'agit d'une fabrication spéciale avec baril étendu et modérateur de son, seules 55 pièces ont étés produites dont 31 exemplaires sont employés en tant qu'arme de fonction au ministère de la défense. Par conséquent, les armes utilisées lors des meurtres ne pouvaient être issues que d'une livraison spéciale de 24 armes datantes de 1993 pour le canton de la Soleure en Suisse. En 2010, une demande fut déposée aux services publics suisses pour clarifier le séjour des armes en Suisse. Le commerçant d'armes de nationalité suisse Jan Luxik qui faisait alors l'acquisition d'arme Ceskás , se manifesta auprès de la police. Celle-ci put donc examiner chaque arme. Aucune d'entre elles n'était l'arme du crime. Malgré les recherches, les 8 dernières armes n'ont pas étés retrouvées.

Le 11 novembre 2011 le ministère public fédéral expliquait dans une déclaration de presse que dans les ruines d'un appartement ayant explosé le 4 novembre 2011, une des armes Česká retrouvées, aurait été utilisée lors des meurtres. Après reconstruction des agents, le Ceska a été vendu par la société Luxik le 9 avril 1996 à la société Schläfli et Zbinden à Berne puis a été revendu légalement deux jours plus tard à un citoyen suisse. Remonter la trace du Ceska a été possible car certains accusés ou coaccusés ont fait des déclarations au sujet de l’acquisition de l'arme tout au long de l’enquête et du procès.

Parmi les autres armes retrouvées dans les ruines, à coté du Ceska, il y avait le pistole Bruni 315 Auto qui a été utilisé dans l'assassinat de Enver Şimşek le 9 Septembre 2000 à Nuremberg et de Süleyman Taşköprü le 27 Juin 2001 à Hambourg.

Recherches de septembre 2000 jusqu'à juin 2005[modifier | modifier le code]

Au-delà de l'arme utilisée, chaque action avait la particularité de se dérouler en journé, dans de petits magasins ou dans des stands mobiles, toutes les victimes étaient d'origine étrangère, surtout turques.

Dans aucunes scènes , on a retrouvés de véritables pistes utilisables. Aucun magasin n'a été saccagé et fouillé dans le but de voler de l'argent. En raison de l'absence de traces, les enquêteurs ont estimé que les auteurs des meurtres sont généralement rentrés dans les magasins, ont tirés et sont disparus très rapidement. Les actions peuvent avoir étés réalisé en moins d'une minute. Au cours des recherches aucunes traces concrètes, ni liaisons proches entre les victimes, ni motif commun n' ont été retrouvés. Longtemps la police a soupçonné le crime organisé dans le domaine de la drogue, en contact avec la Turquie. A la suite de ces événements, la presse a parlé d'une mafia turque ou du croissant-Mafia, des organismes intimement liés à la mort de Habil Kilic en 2001. Les enquêteurs se sont même rendue en Turquie pour interroger les parents de Kilic.

photo à droite:

Dans ce magasin à l'angle de la rue Gyula / Siemensstraße Abdurrahim Özüdoğru a été abattu le 13 Juin 2001. Le magasin était anciennement un tailleur, aujourd'hui il est une boutique d'artisanat asiatique (photo 2012).

Dès la première action, le meurtre d' Enver Simsek un fleuriste, à Nuremberg en septembre 2000, les autorités ont supposé qu'étant un acheteur régulier dans les marchés de fleurs néerlandais, la victime aurait pu être mêlée à des affaires de drogue. Cette hypothèse n'a abouti à rien. La façon dont les meurtres on été réalisés révèle plutôt un acte amateur, car la victime a été tuée par huit coups de feu. L'arme du crime établie est l'unique liaison avec le deuxième meurtre : Abdurrahim Özüdogru a été tué le 13 juin 2001 par deux coups de feu précis dans la tête, il est mort sur le coup. Le crime se déroula au sud de Nuremberg, en pleine banlieue. Tandis que Simsek était considéré comme un homme d'affaires couronné de succès, Özüdogru lui ne gagnait qu'un modeste salaire en tant que tailleur. la suite des recherches, rien n'a prouvé que les deux victimes entretenaient des relations entre elles, ni même qu'elles se connaissaient. Le troisième crime, celui de Süleyman Tasköprü, un marchand de légumes, le 27 juin 2001 à Hambourg ,dans son magasin peu fréquenté. La police pensait détenir un début de piste car des ressemblances avec les précédents meurtres on été retrouvées. La police à supposée que Tasköprü aurait été en contact avec le milieu criminel de Saint Pauli. Les policiers ont pensé qu'il s'agissait à lors de trois actions pénales internes dans le domaine de la criminalité. La thèse fut par la suite abandonnée. La police à expliquée à la presse que le véritable motif se trouvait certainement dans la criminalité organisée, liée au trafic de drogue et que la dureté des actes était liée à un code d'honneur pratiqué à la suite d'un probable d'échec dans l'organisation. Les experts en criminologie ont déclaré que dans la quatrième scène, à la différence des précédentes, aucune enveloppe de balle n'a été retrouvées . Les criminels devaient désormais se servir de sacs en plastique qu'ils enroulaient autour de leurs bras pour attraper les manches des pistolets afin d'en faire une utilisation plus discrète. Ils notent également une professionnalisation croissante dans le mode de réalisation des meurtres.

Après les quatre premiers actes qui ont tous eu lien en un an et demi, il aura fallu attendre deux ans et demi pour qu'une nouvelle victime soi faite : Mehmet Turgut le 25 Février 2004 à Rostock. Turgut a vécu une dizaine de jours à Hambourg avant d'être abattu, la police a cherché des connexions avec Süleyman Taşköprü, lui aussi assassiné à Hambourg, cette recherche n'a donné aucun résultat. Cependant une similitude a été trouvée avec le meurtre de İsmail Yaşar le 5 Juin 2005 à Nuremberg. Des témoins auraient aperçus deux cyclistes qui étudiaient une carte dans les environs de la scène du crime. Dans l'autre scène de crime ont aurait également aperçus des personnes charger des bicyclettes dans une sombre voiture de livraison aux vitres teinteés. Des descriptions et portraits robots ont été faits. Et étonaement, on aurait reconnu l'auteur d'un attentat a la bombe à clousàa Cologne. Les autorités ont prst contace avec les agents de à Cologne. Aucune autre instructions sur les rapportr n'on tété retrouvées.

Expressions « meurtres du Kebab » et « meurtres du Bosphore »[modifier | modifier le code]

Die Mordserie wurde erstmals am 31. August 2005 in der Überschrift eines Artikels der Nürnberger Zeitung als „Döner-Morde“ bezeichnet. Ab dem 8. April 2006 verbreitete sich diese Bezeichnung nach dem Mord an Halit Yozgat bundesweit durch eine DPA-Meldung, die zuerst durch die Frankfurter Allgemeine und die Neue Zürcher Zeitung, einige Tage später durch die Boulevardmedien Abendzeitung und Bild aufgegriffen wurde, woraufhin sich die Bezeichnung in der deutschsprachigen Medienlandschaft – bis hin zur taz – etablierte.

Pour la première fois, ele 31 o ût 200,5à la nedd'un ' ridu journaremberg,lla série de meurtre est qualifié de aerr comme des "meurtres de Döner". Aaiu 8 avil 0 ctemaru répandaitaès l mur 'aliozgat au nveau natonal annce qétat saisrd éraeot ele ue Zrce e jonalras jour pstar rlsias ebonal de soir el'uh lamaque a le sage auulgnophe ju'z - établissait.

Am 17. Januar 2012 wählte die Jury der Sprachkritiker aus der Gesellschaft für deutsche Sprache den Begriff „Döner-Morde“ zum deutschen Unwort des Jahres 2011:

Zuvor waren die Bezeichnung sowie verschiedene falsche Spekulationen zu den Taten („Wettmafia“, „Halbmond-Mafia“) unter anderen vom Vorsitzenden der Türkischen Gemeinde in Deutschland, Kenan Kolat, kritisiert worden, da sie wenig mit der Realität (nur zwei der Opfer arbeiteten in einem Dönergeschäft) zu tun hätten, allerdings eine stereotype Meinung der Mehrheitsgesellschaft über Migranten, insbesondere aus der Türkei, widerspiegeln würden. Die Vorsitzende der Amadeu Antonio Stiftung, Anetta Kahane, bezeichnete die Begriffe „Döner-Morde“ und „Mordserie Bosporus“ als „stereotype rassistische Klassifikationen“ und verletzend für die Opfer und ihre Angehörigen. Als die Hintergründe der Taten durch die Ermittlungen seit November 2011 aufgedeckt wurden, hinterfragten auch Medien ihre Begrifflichkeiten. Unter der Überschrift „Ausgrenzung durch Sprache“ nannte Stefan Kuzmany im Nachrichtenmagazin Der Spiegel den Begriff „Döner-Morde“, den das Magazin selbst lange verwendet hatte, einen „traurigen Beweis für den latenten Rassismus der deutschen Gesellschaft.“ Er sei entmenschlichend, klischeehaft und ausgrenzend.

Die Tagesspiegel-Journalistin Hatice Akyün attestierte dem Begriff, er sei so gewählt, dass er „wie eine interne Angelegenheit unter Türken wirkt“. Er berge die Versuchung, sich von den Geschehnissen distanzieren zu können, ohne die Deutungshoheit über sie verlieren zu müssen. Das Deutsche Institut für Menschenrechte erklärte, Begriffe wie „Döner-Morde“ würden „mindestens Vorurteile, womöglich rassistische Einstellungen“ spiegeln und das Erkennen rassistischer Motive erschweren.

Auch die Bezeichnung Mordserie Bosporus nach dem Namen der von 2005 bis 2008 ermittelnden Sonderkommission wurde nach der Identifizierung der mutmaßlichen Täter kritisch hinterfragt: Damit sei das Klischee der Ausländerkriminalität bedient und zugleich die lange verfolgte Täter-Theorie des aus dem Süden kommenden organisierten Kriminellen verfestigt worden. Der Generalbundesanwalt bezeichnete die Verbrechen im November 2011 als Ceska-Morde.