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La maltraitance des aînés, de façon économique, est un objectif au Québec par le comité national d’éthique. Des études ont été fait en 1989 et 2015 montrant l’évolution du phénomène dans le contexte socio-économique de nos société actuel. Les études du comité national d’éthique montrent que la deuxième forme de maltraitance envers les aînées la plus fréquentes est la maltraitance économique avec 2,6% à travers le Canada, tout juste derrière la maltraitance psychologique avec 2,7%, et que chaque augmentation de 0,1% constitue une hausse d’environ 180 000 personnes âgées entre 60 et 70 ans âgées, à travers le pays, qui sont atteint de maltraitance. La maltraitance au niveau économique peut être vécue de différente façon. L’une de ces façons peut se traduire par vol ou utilisation frauduleuse de l’argent par des biens ou propriétés appartenant aux personnes âgées. L’utilisation de la personne est vue comme une maltraitance financière auprès de la personne âgées. Aussi, le contrôle des actifs dû à l’ignorance et l’incompréhension de la personne âgée est considéré comme un abus financier puisque la personne en charge des actifs de l’aîné peut cacher ou modifier des informations pour ensuite bénéficier de celle-ci. Le comité national d’éthique vise à donner des ressources, comme recadrer la loi visant à lutter contre la maltraitance envers les aînés et toute autre personne majeure en situation de vulnérabilité aux personnes âgées, afin qu’ils ne se retrouvent plus dans des situations d’abus financier et de réagir face à cela.

Au niveau psychologique

Sur le site du gouvernement du Québec la maltraitance psychologique est défini comme « les attitudes, les paroles, les gestes ou le défaut d’actions appropriées qui constituent une atteinte au bien-être ou à l’intégrité psychologique et ce par le chantage affectif, la manipulation, humiliation, insultes, le rejet, menace verbale, etc. ».  Sur le plan psychologique cela peut mener aux personnes de la dépression, anxiété, tristesse, honte, solitude et ainsi de suite. Plusieurs aspects peuvent être pris en considération lorsqu’il est question de maltraitance psychologique, par exemple des gestes et des actions qui ont été commis de façon répétitive ou tout ce qui porte sur le bien-être et l’intégrité de la personne. Le début de toute maltraitance (violence physique ou émotive, abus matériel et financier, abus bénéficiaire ou encore violation de droits) commence par une violence psychologique et ensuite les autres forment de maltraitance peuvent se rajouter à la suite et que 4% des personnes âgées de 65 et plus subissent de mauvais traitement au Québec. La violence psychologique est aussi le type de maltraitance la plus fréquente au Canada, avec 2,7% dans l’étude mené par le comité national d’éthique en 2015 mais elle est toutefois moins visible que les autres types de maltraitance.