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Wharf de la Salie[modifier | modifier le code]

Wharf de la Salie
Wharf de la Salie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Aquitaine
Département Gironde
Siège Syndicat Intercommunal du Bassin d’Arcachon (SIBA)
Président Michel Sammarcelli (Président de la SIBA)
Budget 16 121 000 euros 
Date de création 1974
Démographie
Population 144 519 hab.[1] (2014)
Géographie
Coordonnées 44° 30′ 55″ nord, 1° 15′ 30″ ouest
Liens
Site web http://www.siba-bassin-arcachon.fr/

Le Wharf est une structure technique, longue de 800 mètres, installée sur la plage de la Salie sur la commune de la Teste de Buch. Le mot " wharf " vient de l'anglais qui signifie "quai". C'est un appontement avançant perpendiculairement au rivage dans la mer, il peut donc être apparenté à une jetée. Sous le wharf se trouve le tuyau qui rejette entre 60 000 m³ et 70 000 m³ d'eaux usées dans l'océan[2].

Il est situé sur la plage de la Salie Sud à la limite entre les communes de La Teste de Buch dans le département de Gironde et Biscarosse dans le département des Landes.

Accès[modifier | modifier le code]

Pour se rendre sur le site du Wharf de la Salie depuis le centre d'Arcachon, vous pourrez au choix :

  • Utiliser une voiture via la D218 puis la D259 en direction de Biscarosse-plage.
  • Utiliser un bus (Baia ligne 6) depuis la Teste de Buch reliant le Port du Teich jusqu'au terminus de la Salie Sud.
  • Utiliser la piste cyclable vélodyssée Arcachon/Biscarosse-plage[3] qui débute au rond-point des Miquelots - Route D259 sur la commune de la Teste de Buch.

Historique[modifier | modifier le code]

Depuis sa création en 1967, le Wharf de la Salie a été la cible de nombreuses modifications techniques et arrêtés préfectoraux qui limitent ses débits et tentent de réduire son effet polluant, aujourd'hui encore il est au centre de nombreux débats.

Le projet initial[modifier | modifier le code]

En 1967 : Début des travaux des réseaux d'eaux usées d’origine urbaine et industrielle.

Construction d’un collecteur général d’une longueur 65 km, fonctionnant en pression, le refoulement est assuré par plusieurs stations de refoulement.

Après 1971 : Les premiers rejets en mer devaient avoir lieu, sans aucun traitement par l’intermédiaire d’une canalisation souillée de 4 500 m. Ce projet utopique échoua, laissant derrière lui au fond de l’océan 1 500 m de tuyau.

La continuité du projet[modifier | modifier le code]

Le 4 Janvier 1971: Les effluents industriels de SMURFIT, sont rejetés du haut de la dune de la plage de la Salie, directement sur le sable, provoquant une étendue de mousse recouvrant les plages à perte de vue.

En Juin 1971 : Un émissaire provisoire de 400 m fut mis en service.

En 1972 :Le « Comité Interministériel d’Action pour la Nature et l’Environnement » imposa la construction de stations d’ épuration. Les effluents urbains et industriels devraient donc subir un traitement primaire avant d’être évacués.

Le 16 Janvier 1973 : La solution d'une structure sur pilotis fut adoptée par la réunion interministérielle. C’est ainsi que fut pris la décision de créer « Le Wharf de la Salie ».

En 1974 : Réalisation d’un émissaire au Sud de la plage de la Salie. Il s’ agit d’ une construction métallique sur pilotis de 792 m de long avec possibilité de prolongement…

De 1976 à 1991, aucun arrêté n’a autorisé les rejets.


Réglementation du projet à partir de 1991[modifier | modifier le code]

Le 8 août 1991 : un arrêté préfectoral donne l’ autorisation « d’établir un dispositif de rejet en mer »

Il impose :

- des conditions techniques à l’ utilisation de l’ouvrage.

- un flux de pollution maximum pour une durée de 24 h qui est de 8 800 kg pour les matières en suspension ( MES )

- de 25 000 k pour la demande chimique en oxygène ( DBO )

-un débit maximum instantané de 12 000 m3 par heure

-un débit maximum moyen de 16 000 m3 pour 2 heures ( soit 8000/ H)

-un débit de 110 000 m3 pour 24 heures soit une moyenne de 4 600 m3/H.

- la concentration de l’effluent doit être inférieur ou égale, en moyenne sur 24 h, à 80 mg/l pour les MES et 250 mg/l pour la DBO.

- les polluants rejetés doivent être non conservatifs c'est à dire qu'ils disparaissent à long terme (comme les matières organiques par exemple).

Le 23 Novembre 1994 : le Bassin d’ Arcachon a été classé en « Zone sensible » par un arrêté ministériel.

Le 22 décembre 1994 : un arrêté fixe des normes de rejet pour les stations d’épuration, obligeant le SIBA a procédé à l’étude et aux travaux de mise conformité.

Le 27 Février1998 : un arrêté préfectoral porte délimitation de l’agglomération des communes du Bassin d’ Arcachon.

Le 21 Septembre 2000 : un arrêté préfectoral proroge la durée de cette autorisation jusqu’ au 30 décembre 2001

Le 19 décembre 2000 : un arrêté préfectoral du 19 décembre impose une réduction des substances polluantes de l’agglomération du Bassin d’Arcachon.

Le 31 décembre 2001 : date d’expiration de l’autorisation de rejets

Le 12 juillet 2002 : un arrêté préfectoral met en demeure le SIBA, il lui impose :

  • de déposer un dossier de demande d’ autorisation avant le 31 décembre 2002
  • de mettre en conformité les systèmes d’ assainissement avant le 31 décembre 2005
  • de fournir avant le 31 décembre 2002 une nouvelle convention de raccordement du rejet de la papeterie SMURFIT.

Mais les différentes enquêtes menés sur le Wharf et ses dangers ont des bases faussées :

-car le SIBA n'a pas donné d'estimation sur la population du Bassin d'Arcachon pendant l'été,[4]

-car le rejet des cliniques d'Arcachon et d'Andernos reste inconnu,

-car il n'y a aucune technique efficace contre les mousses et les odeurs,[5]

-car le Wharf n'est pas en très bon état de fonctionnement [6]

L'usine Smurfit[modifier | modifier le code]

L'usine de Facture-Biganos,"Cellulose des Pins" qui appartenait à l'entreprise Saint-Gobain, fabriquait du papier Kraft ce qui ne nécessite pas de chlore. Sur ce site industriel, au moment où les bassins étaient renouvelés, l'eau usée était jetée dans le fleuve local la Leyre qui emportait ces rejets industriels dans le bassin d'Arcachon. Suite à l'augmentation des quantités d'eaux polluées rejetées, la mairie d'Arcachon prit l'initiative aux frais des contribuables de faire débuter un projet ayant pour but de traiter les déchets contenus dans les eaux dites "usées". Une entreprise néerlandaise avait été retenue pour son projet technique de construire une canalisation de 400 mètres d’où déboucherait un long tuyau enterré dans le sable de telle façon que le rejet se fasse à 4 km 500 au large de La plage de La Salie. Lors du chantier initial de construction de l'ouvrage, une tempête venue du golfe de Gascogne remis en question cette construction. [7] Depuis il est devenu un récif sous marin artificiel très fréquenté par la faune marine, c’est-a-dire riche en biodiversité mais malheureusement en voie de régression.

Avant 1997 SMURFIT rejetait directement les effluents industriels, les médicaments et les produit ménagers des particuliers dans le basin d'Arcachon.

En 1997 SMURFIT réalise sa propre station d’ épuration avec un bassin d’ une capacité de 100 000 M3. Il réduit sensiblement de 20 000 M3 son rejet en mer.

En 2003 SMURFIT complète son traitement physico-chimique par un traitement biologique en anaérobie.

Un référé à été mis en place pour arrêter les rejets en mer de l'Usine Smurfit Kappa et ainsi que plus de 500 personnes s'opposant à ses rejets.

La construction actuelle[modifier | modifier le code]

Activité[modifier | modifier le code]

Depuis 35 ans, le wharf rejette directement en mer à 400 m seulement du rivage, et même plus près à marée basse, un mélange traité des effluents de la papeterie Smurfit de Biganos et les effluents des communes limitrophes du bassin d'Arcachon.

Ce sont pas loin de 20 millions d'euros[réf. nécessaire] qui sont dépensés chaque année pour l'assainissement de l'eau, la restauration du réseau de collecte des eaux ainsi que l'augmentation des capacités du réseau d'épuration.

Le wharf est le point de sortie en mer d'une canalisation de 65 km qui collecte des effluents des communes situées sur le pourtour d'un bassin d'Arcachon. Ce collecteur est pour l'essentiel de son trajet enterré mais il est possible de le voir le long de son parcours lorsqu'il doit enjamber des cours d'eau comme c'est le cas à l'entrée de la commune de la Teste de Buch le long de l'autoroute A660 qui se transforme en N250.

Le long de ce trajet, deux stations d'épuration traitent les eaux usées pour éliminer les déchets. La première station est située sur la commune de Facture-Biganos, la deuxième sur celle de la Teste de Buch. Le budget pour les différentes amélioration du site est • Coût de l'opération : 36,74 millions d'euros (valeur 03/2005) • Financement : − Agence de l'eau Adour Garonne : 25% − Région Aquitaine : 2% − Conseil général de Gironde : 8% − SIBA : complément de financement 65% [8]

Le Wharf de la Salie est constitué de 65 km de canalisations dans lesquelles circulent les eaux usées ou traitées, 390 postes de pompage avec 1 000 pompes, grâce au système de pompage, les eaux circulent dans le collecteur principal du Cap Ferret vers le Wharf de La Salie, les bassins de rétentions peuvent contenir 250 000 m3 d’eaux usées, ils servent de trop-plein au réseau et peuvent aussi être utilisés comme réservoirs en cas de travaux ou d’accidents interrompant la circulation de l’eau dans les canalisations. Les stations d'épurations traitent en moyenne 30 000 m3 d’eaux usées par jour, ce qui correspond à la consommation en eau de 200 000 habitants.

Impact sur l'environnement[modifier | modifier le code]

Depuis sa mise en service officielle en 1974, le wharf suscite de nombreuses polémiques sur la qualité des eaux rejetées et l'impact environnemental. Le Wharf de la Salie constitue l’exutoire en mer des efficients des communes du Bassin. Le rejet a pour nature les effluents urbains, traités dans quatre stations mais aussi industriels provenant de la papeterie de Facture « la Cellulose du Pin », traités en interne.

Les rejets ont conduits à la création de 2 stations d'épuration en 2007. Mais toutes les pollutions ne seraient pas toutes traitées. En effet, ces stations ne traitent pas les composés chimiques comme les détergents par exemple. De plus, en période estivale ces stations ne sont pas en capacité de traiter la totalité des effluents urbains rejetés par le wharf.

Ces eaux bien que traitées et conformes aux normes en vigueur, contiennent un grand nombre de substances.[réf. nécessaire] Le déversoir du Wharf de la Salie rejette des eaux susceptibles d'être polluées directement en mer où la baignade et la pêche sont interdites et où des surfeurs de tous les âges domptent les vagues. Entre eaux usées concentrées sur un seul point de rejet et rejets industriels mal traités, les usagers locaux du littoral constatent régulièrement les effets de cette pollution sur les plages: eaux noirâtres, mousses marron; odeurs nauséabondes.Différentes germes issus de ces substances se sont développés et peuvent provoquer diverses maladies tel que la gastro-entérite mais jusqu'à aujourd'hui aucun cas n'a été signalé.[9]

L’établissement génère un certain nombre de déchets appelant des traitements identiques à ceux de

la plupart des activités industrielles.

Officiellement la baignade et la pêche sont interdites autour de la structure comme l'indiquent les règlements de police affichés à l'entrée du site.

Il existe plusieurs types de polluants:

1. les polluants non conservatifs qui, à terme, disparaissent :

-> organiques tels que les sels nutritifs, les bactéries ou encore les virus.

-> inorganiques comme les hydrocarbures, détergents.

2. les polluants conservatifs qui ne seront pas éliminés par l’océan

-> organiques tels que le PCB et le TBT

-> inorganiques comme les métaux (mercure, plomb…)

3.Une analyse effectuée en 2000 a mis en évidence à la sortie du déversoir la présence :

-> de métaux

-> d’hydrocarbures provenant du port du Bassin

4. Le Wharf de la Salie pose des problèmes [10]

-> le choix de son emplacement, il se situe a la limite du département des Landes dans un courent Nord-Sud

-> sa distance par rapport a la plage (800 m)

-> plus de 1 milliard par mètres cubes d'effluents on été déverse sans traitements biologiques depuis 1974 a deux pas du rivage

-> les stations sont psycho-chimiques sans traitements biologique ( L’océan n'a pas un pouvoir dépuration )

Conséquences : Dans un échantillon de moules de la Salie, un total de 43 000 coliformes fécaux (bactéries se développant dans les matières fécales) pour 100g de chair a été relevé.

Le wharf de la Salie rejette une longue traînée noire toxique dans l'océan.

Pour rendre les rejets plus blancs, les stations utilisent du polychlorure d’aluminium. Cependant ce produit est toxique et cancérigène.

Ces rejets ont des impacts directs sur l’écosystème. Les coquillages subissent un imposexe, c’est-à-dire un changement de sexe. D’autres espèces comme certains poissons fuient ces eaux.

L'Impact est direct sur les pécheurs qui ne peuvent plus pécher à la Salie, réputée pour de magnifiques prises.

Les surfeurs non plus ne peuvent plus profiter de ce spot pourtant mondialement connu. Des sondages nous indiquent que, malgré les interdictions, certains irréductibles continuent à surfer ici. Ils avouent avoir des maux de têtes et des vertiges en sortant de l’eau. (témoignages)

Le wharf de la Salie déverse en mer des eaux susceptibles de polluer le littoral tandis que la baignades et la pêche y sont interdites. Les habitants vivant à proximité du Wharf déclarent constater des effets de cette pollution, comme une coloration de l'eau ou encore des odeurs désagréables. Si des stations d'épurations ont été construites, les composés chimiques restent cependant intraités; pour preuve, les effets constatés dans la mer persistent et les stations sont dans l'incapacité de traiter l'ensemble des effluents estivaux.

Activité de l'usine Smurfit-Kappa[modifier | modifier le code]

L’établissement génère un certain nombre de déchets appelant des traitements identiques à ceux de la plupart des activités industrielles. Il produit cependant une catégorie de déchets particuliers, issus du tri interne de la matière première « papiers de récupération » ; ce sont principalement des plastiques et des petits déchets métalliques provenant des emballages usagés reçus.

Environ 1 200 tonnes de pâte Kraft, 1 500 tonnes de papiers et 300 tonnes de pâte de fibres recyclées issues du traitement de caisses en carton de récupération sont produites par jour. Les capacités de production de pâte de fibres recyclées issues de celles-ci sont limitées à 500 tonnes/jour d’après la lettre d’accord du Préfet en date du 12 juin 1997.

Activités de plage[modifier | modifier le code]

L'endroit est connu comme un bon spot de surf mais, d'après la Surfrider : "Ces stations ne traitent pas les composés chimiques comme les détergents par exemple. Pour preuve les grande quantités de mousses marron observées très régulièrement sur les plages de Biscarrosse[2]. Les déchets rejetés par le wharf empêchent la pratique du surf sur la plage de la Salie [11]

Toujours d'après la Surfrider fondation : "en période estivale et face à l'affluence des vacanciers dans les communes du bassin d'Arcachon et de ses environs, les stations d'épuration ne sont plus en capacité de traiter la totalité des effluents urbains"[2].

Les études les plus récentes ont démontré qu'avec des capteurs placés au pied du wharf, la présence de substances dans l'eau est révélée, preuve que, même les dernières stations d'épuration ne parviennent pas à tout filtrer.

Écosystèmes marins[modifier | modifier le code]

Un rapport de l'IFREMER (Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la MER) de 2008 a montré que la contamination des mollusques du Bassin d’Arcachon par les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) était importante par rapport aux autres sites côtiers du littoral Manche-Atlantique et qu’elle augmentait depuis que ces composés étaient recherchés dans les huîtres. Les hydrocarbures aromatiques polycycliques sont des composés organiques largement distribués dans l’atmosphère et sont parmi les premiers polluants atmosphériques à avoir été identifiés comme cancérigènes.

ADREMCA est l'Association pour la Défense, la Recherche et les Études Marines de la Côte d'Aquitaine. L'Adremca a pour but de promouvoir l'étude des fonds marins au large de la côte d'aquitaine, de rechercher les moyens de reconstituer la faune marine et de contribuer à la protection de la mer et de son environnement.

L'Adremca à mise en place le premier grand récif artificiel sous-marin de la côte d'Aquitaine, le Récif du Porto à MIMIZAN, par 25 mètres de fond, commencé en 1990, le suivi biologique de l'environnement du récif, la diffusion médiatique des résultats de cette expérience originale. L'Adremca a mise en place, avec la participation de la région Aquitaine des actions pour la protection marine

Les rejets dans le Bassin d'Arcachon sont donc remis en cause notamment suite à la disparition estivale des huîtres. Depuis il est devenu un récif sous marin artificiel très fréquenté par la faune marine, c’est-a-dire riche en biodiversité mais malheureusement en voie de régression.

Un parc marin est en voie de création.

Ecosystème fluvial, la Leyre[modifier | modifier le code]

La Leyre est un fleuve côtier des Landes de Gascogne se jetant dans le Bassin d'Arcachon en Gironde, d'une longueur d'environ 115,9 km. Elle prend sa source dans le département français.

Ce sont les eaux de la nappe phréatique peu profonde qui, affleurant en de multiples sources, donnent naissance à la Grande Leyre. Sa principale source est le drainage du marais du Platiet, au sud-ouest de Sabres.

La création du Wharf de la Salie a été entreprise en 1967 afin d'éviter le rejet des eaux useés de l'usine de Facture-Biganos dans celle-ci, entraînant la pollution directe du bassin.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. D'après l'article du journal Sud-Ouest du 13 janvier 2015 [[1]] et des chiffres officiels de l'INSEE[[2]].
  2. a b et c « Wharf de la Salie : Va-t-on pouvoir surfer en eaux claires ? - France 3 Aquitaine », sur France 3 Aquitaine (consulté le )
  3. « Le parcours à vélo Arcachon / Biscarrosse-plage — La Vélodyssée », sur www.lavelodyssee.com (consulté le )
  4. =http://www.siba-bassin-arcachon.fr/sites/siba/files/rapport_2011.pdf}}
  5. =http://renecapo.blogspot.fr/p/le-wharf-de-la-salie.html}}
  6. =http://renecapo.blogspot.fr/p/rapport-du-commissaire-enqueteur.html}}
  7. =http://www.bassindarcachon.com/histoire_locale.aspx?id=14}}
  8. document donné par le professeur
  9. document donné par le professeur
  10. « Problèmes liés au Wharf de la Salie »
  11. « "Certains viennent surfer et repartent avec des trachéites ou des conjonctivites." », sur Sud Ouest (consulté le ) "]