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Utilisateur:Latelier.mb/Brouillon

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Action directe non violente : occupation d’une zone à défendre ou de logements vides par des squats, camps de protestation, désobéissance civile, aide aux migrants souvent qualifiée d’illégale, création de coopératives ou de systèmes d'échanges locaux... Exemples de structures collectives : Action mondiale des peuples, Groupe d'actions non violentes antinucléaires, Clan du Néon, Act Up-Paris, Pink Bloc.

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Ajout rétabli, correction refusée car 1°/ Nul·le n’est illégal·e – c’est l’aide qui peut être qualifiée d’illégale. 2°/ Il est (heureusement) discutable que cette aide soit ainsi qualifiée puisque 3°/ toute loi implique son interprétation (du ressort de l’appareil judiciaire) et son application. Laquelle 4°/ peut entrer en contradiction avec… d’autres loi. Quoi qu’il en soit, la plupart des aidant·e·s aux dits migrants rappellent que ce sont les États qui ne respectent, entre autres, ni les traités internationaux qu’ils ont signés et ratifiés en empêchant des exilé·e·s forcé·e·s de déposer des demandes d’asile ni, a fortiori, les lois immémoriales de l’humanité en refusant de secourir des personnes en détresse en mer ou en montagne alors qu’ils en ont les moyens.

Paris, 15_IX_18

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Utilisation[modifier | modifier le code]

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En outre, certains auteurs notent que l’arbre produit des adventices et qu’il peut aussi croître sans le concours des humains, ce qui aurait contribué aux XVIIe et XVIIIe siècles à assurer la survie de populations amazoniennes contraintes d’abandonner leurs villages où se pratiquait l’agriculture, pour échapper aux razzias des marchands d’esclaves et aux épidémies qu’ils propageaient. En s’éloignant des côtes et des voies de communication le long des grands fleuves, ces populations auraient ainsi peu à peu “régressé” au stade de la cueillette, en subsistant « dans une “jungle” qui se composait essentiellement des vergers plantés par leurs ancêtres[1] », alors que les chercheurs la définissent généralement comme une forêt primaire. Avec le strict distinguo européen entre “sauvage” et “cultivé”, cette hypothèse invite à réviser plusieurs récits ethnographiques sur le caractère “primitif” de certains indigènes d’Amazonie, notamment les Yanomamis et les Nambikwara chers à Lévi-Strauss.

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Notes et références[modifier | modifier le code]

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The Scotts College in Montpellier, France, from the terrace of the Indians pavillon, June 2012

Effectivement, c’était une erreur, merci d’avoir rectifié… et d’avoir rétabli la photo.

Cordialement, latelier.mb

Paris, 13_XII_15

Le collège des Écossais à Montpellier, depuis le toit en terrasse du pavillon des Indiens, juin 2012
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Il me semble que si vous aviez pris le temps de lire ce que j’étais en train de mettre en ligne (1°_X_14), au lieu de le bloquer en moins d’une minute, vous n’auriez pas eu à poser ces questions.

Ayant souvent des problèmes de connexion, j’ai préféré m’appliquer à cette mise en ligne avant de prendre le temps de vous répondre, avec un retard dont, je l’espère, vous voudrez bien m’excuser.

En vous remerciant de votre attention, latelier.mb, 13_X_14

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  1. Charles C. Mann, 1491 – Nouvelles révélations sur les Amériques avant Christophe Colomb, traduit par Marina Boraso, Albin Michel, 2007, citant notamment l’archéologue William Balée, « Native Views of the Environment in Amazonia », in Nature Across Cultures: Views of the Environment in Non-Western Cultures, Kluwer Academic, 2003, Pays-Bas.