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La santé mentale dans le milieu scolaire[modifier | modifier le code]

La santé mentale est une préoccupation sociétale majeur mais elle est souvent perçu comme étant un souci affectant majoritairement les adultes, cependant, entre 10 et 15 % des enfants et adolescents en France éprouvent des soucis avec leurs santé mentale[1]. De plus, d'après l’OMS, 50 % des troubles psychologiques se déclarent avant l'age de 14 ans et dans le monde quel que soit le territoire environ 20 % des enfants et adolescents ont des fragilités psychologiques[2]. Des affectations de la santé mentale peuvent poser d’énormes problèmes en ce qui concerne la réussite académique et sociale dans le milieu scolaire ; de l’enseignement primaire à l’enseignement supérieur.

Tout les différents systèmes éducatifs de chaque pays traitent ce sujet différemment, de façon direct, par les nombreuses politiques éducatives et indirectement, par les vues culturelles sur la santé mentale et le bien être.

La France, en comparaison à d'autres pays développés accuse de nombreux retard en ce qui concerne la santé mentale[3], de l’accès aux soins et aux procédures diagnostiques à la sensibilisation au sujet.

la santé mentale chez les jeunes (titre à revoir)[modifier | modifier le code]

fréquence des fragilités psychologiques[modifier | modifier le code]

le passage de l'enseignement primaire à l'enseignement secondaire[modifier | modifier le code]

“Middle school malaise” est un terme anglophone décrivant un phénomène lié à la santé mentale des enfants qui transitionnent de l’enseignement primaire à l’enseignement secondaire. En effet ces enfant font face à de nombreux changements biologiques, psychologiques et environnemental. De nombreuses études concluent que après l’arrivée au collège, les enfants montrent moins d'intérêt dans leurs études ainsi qu’une diminution dans la confiance qu’ils ont en leurs capacités.

Ce qui contribue à une baisse significative des notes plus spécifiquement la première année, et cette baisse peut aussi avoir une influence sur leur manque de motivation et confiance en soi.

Comparée à l’école primaire où les enseignants sont plus concentrés sur le fait même d’enseigner et apprendre aux enfants le collège est plus centré la performance et la cible est l’obtention d’une certaine note. Un tel changement de but peut se refléter à des effets négatifs sur les élèves comme une basse confiance en soi et perte de rendement. Des études ont aussi identifiés un décalage développemental, alors que les enfants développent plus de capacité cognitive neurologique, l’augmentation des contraintes et de la discipline au collège ne propose moins d’opportunité pour la prise de décision et un moindre participation cognitive. En plus d’être plus compétitif, l’environnement du collège est aussi plus complexe et impersonnel que le primaire : ce qui fait de la vie sociale un autre challenge durant la transition.

APA montre aussi que de nos jours, un nombre de psychologues pense que les enfants pensant que leur intelligence peut changer s’adapte mieux que ceux qui la pensent fixe durant la transition.  

le passage de l'enseignement secondaire à l'enseignement supérieur[modifier | modifier le code]

Le passage à l'enseignement supérieur est rempli de changement pour les élèves et peut donc avoir un impact negatif sur leurs santé mentale. C'est pour eux une peridode de transition vers la vie adulte, qui laissent les élèves en manque de repères et en recherche de soi. Ces bouleversements peuvent souvent être accentué par leurs environnement scolaire que ce soit pour les élèves qui rentre en classe préparatoire ou en université les différences de fonctionnements des institutions de l’enseignement supérieur avec le lycée. On constate une montée dans la solitude des élèves et dans la pression scolaire, ainsi qu'une augmentation des suicides et des pensées suicidaires.

Après le syndicat UNEF[1] le manque de soutien familial pour les étudiants vivant loin de chez eux peut aggraver la situation, ainsi que le poids économique que représente une prise en charge psychologique sont des obstacles à la diminutions des fragilités psychologiques de ces étudiants.

Après une étude fais conjointement pars deux universités[4] (19 500 élèves y ont participé). Parmi eux, 6 % à 9 % déclarent avoir fait une tentative de suicide. Plus d'1/5 des étudiants ont eu des pensées suicidaires dans l'année écoulée mais seulement la moitié en ont parlé à leurs proches, un sur trois à un médecin. Ils sont 30 % à avoir été pris en charge.

Les effets sur la scolarité (encore titre a revoir)[modifier | modifier le code]

Troubles anxieux et phobie[modifier | modifier le code]

Il existe de nombreux troubles anxieux : le trouble d'anxiété généralisé, la phobie sociale, et la phobie scolaire, et ils peuvent tous avoir des impacts négatifs sur la scolarité.

En l'absence ou en présence de stress psychologique, l'anxiété peut créer des sentiments envahissants de peur, d'inquiétude et de crainte3. L'anxiété est considérée comme une réaction « normale » dans une situation stressante. Lorsque l'anxiété devient excessive, elle peut être classifiée sous la dénomination de « trouble de l'anxiété ». Un élève peut rencontrer de nombreuses situations déclencheuses d'anxiété dans un cadre scolaire, tel qu'un changement d'emploi du temps, un changement de prof ou même un changement total d'environnement lors d'une arrivée dans un nouvelle établissement. La pression parentale ou interne lié à la réussite scolaire peut aussi être une source de forte anxiété.

Des études montrent que les élèves avec des troubles anxieux sont moins susceptibles de continuer vers l'enseignement supérieur que leurs pairs sans troubles anxieux et ceux qui souffrent de phobie sociale sont deux fois plus susceptibles de ne pas finir leur éducation secondaire. L'anxiété à des symptômes en commun avec le TDAH, et de nombreux élèves en souffrant ont des problèmes de concentration, ont une plus faible capacité a filtrer les stimulations sensoriels extérieur et a comploter des taches avec plusieurs étapes ou des taches plus compliquées. De plus, les troubles anxieux peuvent empercher les élèves de chercher a former des nouvelles connexions sociales, ce qui impacte négativement leurs impression "d'appartenance" dans un établissement scolaire et à terme leurs expérience de l'école et leurs performances académiques.

Il y'a aussi le cas de la phobie scolaire, qui est une forme d'anxiété lié à l'environnement scolaire en lui même, la phobie scolaire se manifeste par une peur de environnement et une vive anxiété à l'idée d'aller à l'école, elle peut prendre de nombreuses formes comme des crises de paniques, un mutisme sélectif ou même des symptômes psychosomatiques comme des nausées voir des vomissements. La phobie scolaire constitue environ 5 % des motifs de consultation en pédopsychiatrie et toucherait entre 1 et 2 % des enfants d’âge scolaire[5].

Dépression et suicide,[modifier | modifier le code]

Trouble développementaux[modifier | modifier le code]


  1. a et b « Mission bien-être et santé des jeunes », sur Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse (consulté le )
  2. OMS, « La santé mentale : renforcer notre action », Aide-mémoire, n° 220, septembre 2010
  3. Prévention des maladies psychiatriques : pour en finir avec le retard français, étude, Octobre 2014 de la fondation fondaMental et de l’Institut Montaigne.
  4. « La santé de 30 000 jeunes à la loupe pendant dix ans », Quotidien,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « La phobie scolaire », sur www.franceinter.fr (consulté le )