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Ma simple journée[modifier | modifier le code]

Les sons et musiques de la compositrice canadienne Hildegard Westerkamp apparaissent dans douze films, dont neuf films canadiens et trois films des États-Unis d’Amérique.

On répertorie douze filme qui sont :

  • 1982 :  This Borrowed Land, National Film Board, director, Bonnie Kreps (Canada).
  • 1982 :  One Woman Waiting, film director, Josephine Massarella (Canada).
  • 1985 : Streetkids, National Film Board, director, Peg Campbell (Canada).
  • 1985 :  Still Sane, a film production by Women in Focus (Canada).
  • 1985 : Ranch, film directors/producers Steven Denure and Chris Lowry (Canada).
  • 1995 : Bones of the Forest, film directors/producers Heather Frise,Velcrow Ripper (Canada).
  • 2000 :  A Time of Love and War, film director, Sabrina Matthews (Canada).
  • 2003 : Elephant, film director, Gus van Sant (USA).
  • 2004 : Last Days, film director, Gus van Sant (USA).
  • 2012 : Beneath the Forest Floor, video Mario Côté, (Montreal, QC).
  • 2015 : Waiting for Spring – Persephone and the Pomegranate, director Nicole Dextras (Canada).
  • 2016 :  Koneline – Our Land Beautiful, director Nettie Wild (Canada).


La compositrice Hildegard Westerkamp réalise de nombreuses musique qui ont été utilisé dans des films tels que :

- Elephant, sorti en 2003 parle des différentes facette de l’adolescence et va intégrer de multiples son électroacoustique dont ceux de la compositrice Hildegard Westerkamp. Des sons qui auront pour but de se fondre dans l’univers visuel du film et représenter «  le non-dit » à travers des musiques qui accompagne les adolescents dans leurs solitudes.[1]

- Last Day, sorti en 2005 parle des derniers jours de vie du chanteur Kurt Cobain du groupe américain Nirvana avant son suicide. Nous retrouvons dans ce filme "Türen der Wahrnehmung (Doors of Perception)" qui est le titre d'un morceau réaliser par Hildegard Westerkamp qui dure 21:11 minutes. Musique qui va plonger le spectateur dans une ambiance reconstruisant la souffrance psychologique et le mal-être du chanteur[2].

-

  1. Gaspard Vignon, « Ludwig Van Beethoven – Gus Van Sant : vers un idéal romantique », Décadrages. Cinéma, à travers champs, no 19,‎ , p. 30–47 (ISSN 2235-7823, DOI 10.4000/decadrages.306, lire en ligne, consulté le )
  2. « Last Days », dans Wikipédia, (lire en ligne)