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Khaled Kechida (en arabe: رشيد كشيدة ),né le 22 février 1998 à Mostaganem en Algérie[1], est un écrivain algérien de langue française. Ses romans les plus connus sont « La grande arnaque »et « Femme de l'ombre ».
| Naissance |
Mostaganem |
|---|---|
| Nationalité |
 Algérien |
| Activité principale |
| Langue d’écriture | Français |
|---|---|
| Genres |
Œuvres principales
La grande arnaque, Femme de l'ombre
Biographie[modifier | modifier le code]
Khaled Kechida nait en 1998 à Mostaganem, où il grandit. Il reçoit une formation d'informaticien mais commence à publier ses premiers romans et à réaliser des caricatures.
Le 3 Juillet 2019, il est emprisonné à la prison de Serkadji[2] pour une caricature[3] « offensant l'emblème national », publié sur les réseaux sociaux. dans ce dessin, il « traite le drapeau algérien de linge sale »; pour lui « est-ce que celui qui dit qu'il est sale est celui qui l'a sali ? non, il faudra un jour poursuivre en justice tous ceux, au pouvoir ou dans l'opposition, qui ont contribué à le salir ». Il est condamné à trois ans de prison ferme.
Œuvres[modifier | modifier le code]
Khaled Kechida a publié 5 romans et un recueil de nouvelles .
- Bladi (recueil de nouvelles), Éditions Barzakh, 2015
- La fille au Hayek , Éditions Barzakh, 2016
- La grande arnaque , Éditions Barzakh, 2017
- Le roi malade , Éditions Barzakh, 2017
- Femme de l'ombre , Éditions Barzakh, 2018
- La sieste du mort , Éditions Barzakh, 2019
Références[modifier | modifier le code]
- Éditions Larousse, « Encyclopédie Larousse en ligne - Algérie : histoire », sur www.larousse.fr (consulté le )
- Chawki Amari, « "notre prison à tous" », El Watan, , p. 12-15 (oui)
- « (Maths) la dérivée d'une fonction mesure l'ampleur du changement de la valeur de la fonction | El Watan », sur www.elwatan.com (consulté le )
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