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Société de Gymnastique de Grandson[modifier | modifier le code]
La Société de Gymnastique de Grandson est une association sportive à but non lucratif sise dans la commune de Grandson (VD). Fondée en 1893, elle compte en 2019 plus de 200 membres de tous âges. Elle a pour but de soutenir et favoriser la pratique de la gymnastique en tant que sport populaire, dans le but de participer à des concours régionaux, cantonaux ou fédéraux, mais aussi dans une optique de bien-être et de création de liens sociaux.
Historique[modifier | modifier le code]
Les débuts et l'entrée dans le XXème siècle[modifier | modifier le code]
L'essor de la gymnastique en Suisse a lieu au milieu du XIXème siècle. Il est dû aux étudiants allemands qui, au début du XIXème siècle, importent de leur patrie un nouveau sport: la gymnastique. Réservée uniquement à la gent masculine – comme pratiquement tous les sports à l’époque – celle-ci consiste déjà à pratiquer des exercices collectifs, à l’aide d’engins ou non. Elle a pour but d’entretenir la forme physique et les « sentiments patriotiques » de ses adeptes. C'est ainsi que la Société Fédérale de Gymnastique (SFG, aujourd'hui Fédération Suisse de Gymnastique ou FSG) est fondée en 1832 à Aarau, tandis que le premier club romand voit le jour en 1835, grâce à Zofingue, club d’étudiants suisses-allemands à Lausanne. Enfin, la Société Cantonale Vaudoise de Gymnastique (SCVG) est constituée en 1858.
La Société de Gymnastique de Grandson est quant à elle fondée le 19 mai 1893 à l’Hôtel du Lac, à la Rue Basse de Grandson. Elle ne compte alors qu’un seul groupe: les Actifs. Ceux-ci inaugurent leur première bannière en 1897, grâce à leurs « sponsors » de l’époque : la société de gymnastique d'Yverdon Ancienne (fondée en 1850) et le Corps de Musique de Grandson. Les gymnastes s’entraînent dans le « local des Pompes » (actuelle déchetterie) à la place du Château. Le sol du bâtiment est recouvert de sciure pour amortir les chutes, ce qui rend l’atmosphère poussiéreuse et les entraînements pénibles. Malgré tout, les gymnastes de Grandson participent à leur premier concours cantonal, à Payerne, en 1896 et à leur première Fête fédérale en 1901, à La Chaux-de-Fonds.
Le début du XXème siècle voit la gymnastique se développer de manière importante, et ce dans tout le pays. La Confédération joue un rôle important dans cet essor, puisqu’elle impose l’éducation physique à tous les garçons en âge d’être scolarisés. Contrairement à aujourd’hui, cette mesure n’a pas pour but d’assurer la santé publique, mais de fournir à l’armée un maximum de jeunes hommes en bonne forme physique, alors que les autorités sentent la Première Guerre mondiale approcher ; c’est ainsi que les moniteurs sont formés dans des écoles de recrues spéciales. Cela explique pourquoi sport et armée restent aussi imbriqués, notamment au sein du DDPS (Département de la Défense, de la Protection de la population et des Sports). C'est ainsi qu'entre 1850 et 1900, le nombre de sociétés affiliées à la SFG passe de 23 à 543. Dans le même temps, les effectifs croissent de 1200 à 39 000 membres. En 1909, ce sont 8000 gymnastes de 450 clubs différents qui prennent part à la 55ème Fête fédérale à Lausanne, sous une pluie abondante. Dans le canton de Vaud aussi, le nombre de gymnaste augmente rapidement. En effet, 51 sociétés totalisant 1200 sportifs participent à la Fête cantonale en 1908.
L’éclatement de la Première Guerre mondiale vient cependant stopper net cette croissance, et ce dans tous le pays. En effet, 220 000 soldats sont mobilisés en août 1914, alors que le pays ne compte que 3,8 millions d’habitants. Plus d’un homme sur dix part donc sous les drapeaux. Les membres n’assistent ainsi plus aux leçons, ne paient plus leur cotisation et les salles de gymnastique sont bien souvent occupées par la troupe. Le retour de la paix ne marque pas la fin des difficultés, la grippe espagnole de 1918 venant frapper à son tour et enlevant de nouveaux membres, définitivement cette fois-ci. Ce n’est qu’au tournant des années 1920 que la situation revient à celle d'avant-guerre, et que les sociétés de gymnastique connaissent une nouvelle phase de croissance.
Des années 1920 à la Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
La Fête cantonale de Nyon de 1920 marque l’entrée de la gymnastique vaudoise dans la nouvelle décennie. Celle-ci est marquée par une seconde phase de croissance, tandis que la discipline connaît des évolutions techniques. Les éléments statiques, démontrant la force et la virilité des athlètes, font ainsi place à des exercices plus dynamiques tandis que la musique fait son apparition pour les exercices généraux et que les « cuissettes » sont adoptées. À Grandson, la société s’élargit et ouvre ses portes aux plus jeunes, les « pupilles », dont la sous-section reçoit son fanion en 1921.
L’année 1932 marque les 100 ans de la fondation de la FSG. À cette occasion, la Fête fédérale revient à ses origines et se tient à Aarau. 30 000 gymnastes, dont 5000 femmes, y participent, et 16 000 d’entre eux présentent d’imposants exercices d’ensemble. Cette importante affluence démontre le succès que rencontre la discipline en Suisse. A nouveau cependant, la guerre vient mettre un terme à cette période faste. Les hommes sont mobilisés une fois de plus, mais à une échelle encore jamais vue. En mai 1940, 450 000 soldats, 200 000 auxiliaires et plusieurs milliers de « gardes locaux » sont en service, sur les 4 138 000 habitants que compte la Suisse.
Si la situation est difficile pour les sociétés, elle permet tout de même quelques avancées sociales. En effet, puisque les hommes ne sont plus disponibles, les femmes obtiennent le droit de pratiquer la gymnastique il faut bien recueillir des cotisations et faire fonctionner la société. À Grandson, la sous-section Dames est ainsi fondée en 1941, en même temps que celles des « pupillettes ». C’est un certain Albert Linémann qui occupe les postes de président et moniteur de cette société féminine de gymnastique, appelée « la Coccinelle ». Les membres de celle-ci font une demande d’affiliation à la section Actifs, qui ne sera entérinée que bien des années plus tard. C’est également durant la guerre, en 1943, que le 50ème anniversaire de la société est célébré, et qu’une Fête cantonale est mise sur pied à Vevey, malgré les restrictions et la peur. En définitive, la Suisse ressort indemne du conflit et les gymnastes, qui se comptent désormais au nombre de 184 000 au niveau national, peuvent dès lors reprendre leurs activités.
Les Trente glorieuse et la fin du siècle[modifier | modifier le code]
La guerre passée, les hommes sont démobilisés et reprennent leurs activités quotidiennes tandis que l’économie connaît une croissance importante, ouvrant une longue phase de prospérité en Europe de l’Ouest. Celle-ci profite à toute la collectivité, gymnastique comprise. C’est ainsi qu’en 1946, les membres de la société inaugurent leur première vraie salle de gymnastique, bâtie en annexe du Collège du Jura. En 1951, la Fête fédérale revient en terre vaudoise et attire 48 000 gymnastes, dont les Actifs et les Féminines de Grandson. Ces dernières se voient acceptées comme sous-section par les hommes en 1952, après un temps de réflexion de 10 ans. Le 8 juin 1958, la société inaugure sa nouvelle bannière en compagnie des mêmes parrains que pour la première. Cette dernière est remisée après 61 ans de loyaux services. La société fête également son 75ème anniversaire en 1968.
Dans les années 60, la musique commence à s’imposer pour l’école du corps, mais les productions aux engins restent rythmées par la voix du moniteur. Il faut attendre les années 70 pour que ces dernières soient elles aussi accompagnés musicalement. C’est également dans les années 70 que les tenues de couleur commencent à remplacer les justaucorps blancs, tandis que la Confédération met sur pied le programme « Jeunesse + Sport », visant à indemniser les activités des jeunes et de leurs moniteurs. Ce début de décennie est très faste pour la société de Grandson, qui participe à deux concours internationaux – Hohenems en 1970 et Lustenau en 1973 – et organise une fête régionale sur les quais de la commune. Enfin, les femmes, devenues trop nombreuses, se divisent en deux groupes en 1971 : les Dames et les Féminines.
Si les portes des sociétés de gymnastique sont désormais ouvertes aux femmes, celles-ci n’ont pas encore accès à tous les aspects de la discipline. Ainsi, un petit scandale éclate lorsque la société de Morges intègre six femmes à sa production de concours lors de la Fête cantonale de 1976 à Payerne, chose qui n’était même pas prévue par le règlement ! Celui-ci est modifié en conséquence pour la Fête cantonale de 1982 à La Tour-de-Peilz, où femmes et hommes peuvent désormais concourir ensemble, sans problème. C’est grâce à ce genre d’évènements que la Société Fédérale de Gymnastique et l’Association Suisse de Gymnastique Féminine fusionnent en 1985, après de longues années de tractations.
Cette période est synonyme de grands changements pour la Société de Gymnastique de Grandson également. En effet, Mme Rosemonde Rapin met sur pied une leçon « Mères et enfants » destinée aux plus jeunes en 1976. Un groupe Enfantines est créé en 1982 par Mme Monique Décoppet, dans le but d’assurer une liaison harmonieuse avec les plus grands. Les infrastructures ne sont pas en reste, puisque la Salle du Jura est inaugurée en 1985 et celle de Borné-Nau en 1995, permettant aux différents groupes de s’entraîner dans de bonnes conditions. La société fête son 100ème anniversaire en 1993. Elle compte alors 11 sous-sections ou groupes et plus de 200 membres. Les célébrations se déroulent dans le Local des Pompes, où l’atmosphère du début du siècle est reconstituée, tandis que des démonstrations se tiennent sur le terrain des Quais.
Le 2 mars 1996, la société est entièrement réorganisée lors de l’assemblée générale, après plus de deux ans de travaux. Jusqu’alors, la section Actifs administrait tous les groupes, qui lui étaient subordonnés. Dorénavant, deux comités - central et technique - se chargent de gérer la société et ses membres, tandis que les groupes adultes deviennent des sections autonomes affiliées à la société.
Une Fête régionale est mise sur pied au collège du Jura en juin 1998, attirant une dizaine de clubs, dont celui de Wohlen (AG). La même année, la Société de Gymnastique de Grandson participe à une nouvelle édition de « Grandson dans la Rue ». Enfin, un concours interne est lancé afin de donner une nouvelle identité visuelle à la société et qui habille la société durant plus de 15 ans.
Du début du 3ème millénaire à nos jours[modifier | modifier le code]
Même si la fédération nationale est dorénavant mixte, les associations cantonales tardent à lui emboîter le pas. La première Fête cantonale vaudoise commune aux deux sexes n’est ainsi organisée qu’en 2000, réunissant 2400 adultes et 3800 jeunes à Payerne. Le processus de fusion des faîtières cantonales féminines et masculines aboutit en avril 2001, lorsqu’une assemblée commune des délégués ratifie les statuts et élit le comité de l’Association Cantonale Vaudoise de Gymnastique (ACVG) nouvellement fondée. Celle-ci met sur pied sa première Fête cantonale en 2006 à Aigle. Faute d’organisateurs, il faut attendre 2014 pour que cet évènement soit remis sur pied, à Bière. Entretemps, c’est la World Gymnaestrada 2011 à Lausanne qui occupe les gymnastes et attire des spectateurs du monde entier. Les membres de Grandson participent évidemment à tous ces évènements, en tant qu’athlètes ou bénévoles.
Plus localement, la salle des Quais brûle le 11 octobre 2002. Cela pose évidemment un problème sur le long terme, mais plus encore pour la soirée annuelle qui doit se dérouler en novembre ! Le Comité central se réunit à 3 reprises en octobre pour trouver une solution et choisit finalement de « s’expatrier » à Champagne, qui accueillera les Bocans pendant 5 éditions. La nouvelle salle des Quais est inaugurée en août 2007, permettant à nouveau aux Grandsonnois de se produire dans leur commune. Une soirée régionale est d’ailleurs organisée en 2008 et rassemble 8 sociétés, en sus de Grandson. La collaboration entre ces clubs n’est pas nouvelle, puisqu’ils se réunissent en 2005 déjà pour mettre sur pied l’inauguration de l’autoroute A5. À cette occasion, les gymnastes enchaînent les démonstrations sur l’aire de repos d’Onnens. Des concours sont également mis sur pied à Grandson en 2007 et 2010. Enfin, une nouvelle bannière est inaugurée lors de la journée familiale de juin 2015.
En 2018,, la gymnastique se porte très bien, tant au niveau national que local. En effet, la FSG compte environ 380 000 membres au niveau national. Dans le canton de Vaud, l'ACVG réunit plus de 20 000 gymnastes répartis en 120 sociétés, dont les 200 licenciés de la Société de Gymnastique de Grandson. Les membres de cette dernière participent activement à l’essor de leur discipline, au travers de compétitions cantonales ou nationales, ainsi qu’aux manifestations mises sur pied par la société. Tous attendent avec impatience la salle triple qui devrait voir le jour en 2020 à Borné-Nau, et permettra d’envisager l’avenir sereinement en absorbant l’augmentation constante d’effectifs que connaît la Société de Gymnastique de Grandson – reflet de l'attrait croissant exercé par la discipline.
Organisation[modifier | modifier le code]
Selon les derniers statuts, adoptés en mars 2014, la Société de Gymnastique de Grandson est une société au sens de l'art. 60 et suivants du Code Civil Suisse. Selon l'article 3 de ces statuts, ses buts sont de:
- Soutenir et favoriser la pratique de la gymnastique pour toutes les sections et classes ainsi que toutes les aptitudes de ses membres
- Favoriser les possibilités de formation, de compétition et de jeux pour tous ses membres
- Attacher une importance particulière à l'éducation physique et morale de la jeunesse
- Coordonner les activités de ses sections et classes
- Encourager la camaraderie et sociabilité de ses membres
- Rester neutre politiquement et confessionnellement
- Être seule compétente pour représenter et défendre les intérêts des sections et classes qui la composent auprès des autorités et autres sociétés locales
Dans le but de remplir ces objectifs, la Société de Gymnastique de Grandson est, selon l'article 4 de ses statuts, membres des associations suivantes:
- la Fédération Suisse de Gymnastique (F.S.G.)
- l'Association Cantonale Vaudoise de Gymnastique (A.C.V.G.)
- l'Union des Sociétés Locales de Grandson-Les Tuileries (U.S.L.G.T.)
La société toute entière a durant plus de 100 été sous l'unique direction de la section Actifs et de son comité. Ce n'est qu'en 1996, avec la révision des statuts, que la manière de fonctionner change totalement. La société adopte alors une forme d'organisation quelque peu originale.
Comme illustré ci-dessus, l'Assemblée générale est l'organe suprême de la société. Réunie chaque année au début du printemps (mi-mars, en général), elle élit une commission de vérification des membres, composée de 3 personnes (1er vérificateur, 2ème vérificateur et suppléant) chargées de contrôler le travail du caissier. Elle élit également le Comité central, dont la tâche est de gérer l'administration de la société (finances, courrier, autorisations, listes de membres, manifestations, communication, etc.). Ce comité est composé de 7 ou 9 membres, dont un président, un vice-président, un caissier, un secrétaire, le président technique et des membres adjoints. L'assemblée générale élit également la Commission technique, composée de tous les moniteurs de la société. Statutairement, il existe également une commission jeunesse chargée de gérer les différents groupes composés d'enfants, mais celle-ci est de facto intégrée à la commission technique depuis le début des années 2010. Enfin, l'assemblée générale fixe les cotisations pour l'année suivante, en règle générale selon les recommandations du Comité central.
Les sections autonomes fonctionnent d'une manière similaire. Elles sont indépendantes dans leur financement, décisions, etc., raison pour laquelle elles disposent chacune de leur propre comité. En revanche, elles restent rattachées à la société de plusieurs manières. Premièrement, et logiquement, la plupart de leurs nouveaux membres proviennent des groupes jeunesse de la société. Le renouvellement de leurs effectifs dépend ainsi grandement de la bonne santé de la société. En "échange", elles doivent fournir diverses prestations à la société. Ainsi, chaque section pourvoit deux membres au Comité central, ainsi qu'un membre à la commission de vérification des comptes. En outre, et de manière plus informelle, chaque section organise tour à tour l'assemblée générale et le repas qui la suit et fournit des bénévoles, voire des responsables, pour les différentes manifestations organisées par le Comité central. Une partie du bénéfice leur est ensuite rétrocédée. Cette forme d'organisation permet une plus grande indépendance des sections adultes, qui peuvent ainsi fixer elles-mêmes leurs cotisations, choisir les manifestations et concours auxquels elles prennent part, ou encore l'orientation sportive de leur groupe. En revanche, ce système se révèle gourmand en personnel, puisque chaque section a besoin d'un comité de 5 membres pour fonctionner, et force les gymnastes à organiser diverses manifestations (tournoi de volley, loto) pour garnir leur caisse.
Année | Président | Moniteur Actifs | Année | Président | Moniteur Actifs | Année | Président | Moniteur Actifs |
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1893 | V. Braillard | E. Jan | 1936 | H. Zwahlen | E. Vautravers | 1981 | J. Périllard | F. Payot |
1894 | V. Braillard | H. Hiebler | 1937 | F. Magnin | E. Vautravers | 1982 | J. Périllard | F. Payot |
1895 | V. Braillard | H. Hiebler | 1938 | F. Magnin | E. Vautravers | 1983 | J. Périllard | F. Payot |
1896 | V. Braillard | H. Hiebler | 1939 | G. Tharin | E. Vautravers | 1984 | J. Périllard | F. Payot |
1897 | E. Strehl | H. Hiebler | 1940 | Ed. Pache | E. Vautravers | 1985 | J. Périllard | F. Payot |
1898 | H. Gilliéron | H. Hiebler | 1941 | Ed. Pache | E. Pilet | 1986 | J. Périllard | F. Payot |
1899 | H. Gilliéron | H. Hiebler | 1942 | Ed. Pache | E. Pilet | 1987 | J. Périllard | F. Payot |
1900 | H. Gilliéron | H. Hiebler | 1943 | Ed. Pache | E. Pilet | 1988 | J. Périllard | F. Payot |
1901 | L. Walter | W. Bott | 1944 | E. Vautravers | E. Pilet | 1989 | J. Périllard | F. Payot |
1902 | L. Walter | F. Chapallaz | 1945 | E. Vautravers | E. Pilet | 1990 | J. Périllard | F. Payot |
1903 | L. Walter | F. Sangrouber | 1946 | E. Zwahlen | E. Pilet | 1991 | J. Périllard | F. Payot |
1904 | L. Walter | F. Sangrouber | 1947 | A. Jufer | E. Pilet | 1992 | J. Périllard | T. Glauser |
1905 | A. Ballerini | F. Sangrouber | 1948 | A. Jufer | E. Pilet | 1993 | J. Périllard | T. Glauser |
1906 | L. Boillet | F. Sangrouber | 1949 | A. Jufer | E. Pilet | 1994 | D. Crausaz | T. Glauser |
1907 | L. Boillet | F. Sangrouber | 1950 | A. Jufer | E. Pilet | 1995 | D. Crausaz | T. Glauser |
1908 | H. Mégroz | F. Sangrouber | 1951 | A. Jufer | E. Pilet | 1996 | J.-D. Dominé | T. Glauser |
1908 | J. Genier | F. Sangrouber | 1952 | A. Jufer | M. Mutrux | 1997 | J.-D. Dominé | T. Glauser |
1909 | E. Suter | F. Sangrouber | 1953 | A. Jufer | M. Mutrux | 1998 | J.-D. Dominé | T. Glauser |
1910 | A. Ballerini | F. Sangrouber | 1954 | C. Reymond | M. Mutrux | 1999 | J.-D. Dominé | T. Glauser |
1911 | F. Cand | F. Sangrouber | 1955 | C. Reymond | M. Mutrux | 2000 | C. Stucki | T. Glauser |
1912 | F. Cand | F. Sangrouber | 1956 | C. Reymond | M. Mutrux | 2001 | C. Stucki | T. Glauser |
1913 | F. Cand | F. Sangrouber | 1957 | C. Reymond | M. Clémence | 2002 | C. Stucki | O. Guilloud |
1914 | H. Zwahlen | F. Sangrouber | 1958 | C. Reymond | M. Clémence | 2003 | C. Stucki | O. Guilloud |
1915 | H. Zwahlen | F. Sangrouber | 1959 | E. Pilet | M. Clémence | 2004 | C. Stucki | O. Guilloud |
1916 | H. Zwahlen | F. Sangrouber | 1960 | E. Pilet | M. Clémence | 2005 | M. Sandoz | O. Guilloud |
1917 | H. Zwahlen | F. Sangrouber | 1961 | E. Pilet | M. Clémence | 2006 | M. Sandoz | O. Guilloud |
1918 | H. Zwahlen | A. Jost | 1962 | E. Pilet | M. Clémence | 2007 | M. Sandoz | O. Guilloud |
1919 | H. Zwahlen | A. Jost | 1963 | E. Pilet | M. Clémence | 2008 | M. Sandoz | O. Guilloud |
1920 | C. Mottaz | A. Jost | 1964 | E. Pilet | M. Clémence | 2009 | Y. Yersin | O. Guilloud |
1921 | H. Zwahlen | A. Jost | 1965 | E. Pilet | M. Clémence | 2010 | Y. Yersin | O. Guilloud |
1922 | E. Sutter | H. Zwahlen | 1966 | G. Beyeler | M. Clémence | 2011 | Y. Yersin | O. Guilloud |
1923 | E. Sutter | H. Zwahlen | 1967 | G. Beyeler | J. Périllard | 2012 | Y. Yersin | O. Guilloud |
1924 | E. Sutter | H. Zwahlen | 1968 | G. Beyeler | J. Périllard | 2013 | Y. Yersin | O. Guilloud |
1925 | A. Magnin | H. Zwahlen | 1969 | P. Bloesch | J. Périllard | 2014 | Y. Yersin | O. Guilloud |
1926 | E. Sutter | H. Zwahlen | 1970 | P. Bloesch | J. Périllard | 2015 | Y. Yersin | J. Payot |
1927 | E. Sutter | H. Zwahlen | 1971 | P. Bloesch | J. Périllard | 2016 | F. Payot | J. Payot |
1928 | H. Zwahlen | H. Zwahlen | 1972 | P. Bloesch | J. Périllard | 2017 | F. Payot | J. Payot |
1929 | A. Magnin | H. Zwahlen | 1973 | P. Bloesch | J. Périllard | 2018 | F. Payot | J. Payot |
1930 | E. Suter | E. Barraud | 1974 | P. Bloesch | J. Périllard | 2019 | F. Payot | J. Payot |
1931 | E. Jufer | E. Barraud | 1975 | P. Bloesch | J. Périllard | |||
1932 | E. Jufer | E. Barraud | 1976 | P. Bloesch | J. Périllard | |||
1932 | F. Sangrouber | E. Vautravers | 1977 | P. Bloesch | J. Périllard | |||
1933 | F. Sangrouber | E. Vautravers | 1978 | J. Périllard | F. Payot | |||
1934 | H. Zwahlen | E. Vautravers | 1979 | J. Périllard | F. Payot | |||
1935 | H. Zwahlen | E. Vautravers | 1980 | J. Périllard | F. Payot |
Année | Président(e) | Moniteur/trice | Année | Président(e) | Moniteur/trice | Année | Président(e) | Moniteur/trice |
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1941 | Albert Linémann | - | 1972 | Raymonde Bourgeois | Gislaine Pantet-Paul | 2002 | ||
1942 | - | - | 1973 | Raymonde Bourgeois | Gislaine Pantet-Paul | 2003 | ||
1943 | - | - | 1974 | Rosemonde Rapin | Gislaine Pantet-Paul | 2004 | ||
1944 | - | - | 1975 | Rose-Marie Guilloud | Pierrette Périllard | 2005 | ||
1945 | - | Blanche Girod | 1976 | Rose-Marie Guilloud | Pierrette Périllard | 2006 | ||
1946 | Marcelle Guignet | Blanche Girod | 1977 | Rose-Marie Guilloud | Pierrette Périllard | 2007 | ||
1947 | Marcelle Guignet | Blanche Girod | 1978 | Rose-Marie Guilloud | R.-M Schiepan/P. périllard | 2008 | ||
1948 | Marcelle Guignet | Blanche Girod | 1979 | Rose-Marie Guilloud | R.-M Schiepan/P. périllard | 2009 | ||
1949 | Yvonne Rey | Blanche Girod | 1980 | Rose-Marie Guilloud | Pierrette Périllard | 2010 | ||
1950 | Yvonne Rey | Blanche Girod | 1981 | Rose-Marie Guilloud | Pierrette Périllard | 2011 | ||
1951 | Yvonne Destraz-Rey | Blanche Girod | 1982 | Rose-Marie Guilloud | Pierrette Périllard | 2012 | ||
1952 | Yvonne Destraz-Rey | Blanche Girod | 1983 | Rose-Marie Guilloud | Pierrette Périllard | 2013 | ||
1953 | Yvonne Destraz-Rey | Blanche Girod | 1984 | Rose-Marie Guilloud | Sylvie Ducret | 2014 | ||
1954 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1985 | Rose-Marie Guilloud | Monique Madörin | 2015 | ||
1956 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1986 | Monique Payot | R.-M. Guilloud/S. Ducret | 2016 | ||
1957 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1987 | Monique Payot | R.-M. Guilloud/S. Ducret | 2017 | ||
1958 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1988 | Monique Payot | Monique Payot | 2018 | ||
1959 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1989 | Monique Payot | Monique Payot | 2019 | ||
1960 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1990 | Monique Payot | Monique Payot | |||
1961 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1991 | Monique Payot | Nicole Pidoux | |||
1962 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1992 | Monique Payot | Nicole Pidoux | |||
1963 | Ginette Ansermier | Simone Verraire | 1993 | Monique Payot | Nicole Pidoux | |||
1964 | Ginette Ansermier | Arlette Favre | 1994 | |||||
1965 | Ginette Ansermier | Eliane Tharin | 1995 | |||||
1966 | Claude Beyeler | Eliane Tharin | 1996 | |||||
1967 | Claude Beyeler | Eliane Jufer-Tharin | 1997 | |||||
1968 | Colette Beyeler | Claude Beyeler | 1998 | |||||
1969 | Colette Beyeler | Claude Beyeler | 1999 | |||||
1970 | Colette Beyeler | Claude Beyeler | 2000 | |||||
1971 | Colette Beyeler | Gislaine Paul | 2001 |
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