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Utilisateur:AntonyB/Brouillon6

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affiche https://www.wim-shop.fr/affiches-30x40cm/86-affiche-le-touquet-la-rue-saint-jean-30x40cm.html

RCS https://www.societe.com/entreprises/rue%20saint%20jean/62520_LE%20TOUQUET%20PARIS%20PLAGE.html

https://lejournaldemontreuil.nordlittoral.fr/99109/article/2020-11-06/au-touquet-des-travaux-dans-la-rue-saint-jean

https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:4WEY4zMaDcAJ:https://lejournaldemontreuil.nordlittoral.fr/99109/article/2020-11-06/au-touquet-des-travaux-dans-la-rue-saint-jean+&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr

https://lesechosdutouquet.nordlittoral.fr/92433/article/2020-08-15/le-touquet-les-regroupements-de-jeunes-la-nuit-rue-saint-jean-inquietent#popin-newsletters-form

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Constructions de la rue Saint-Jean

  • no 1 : au rez-de-chaussée, commerce L'atelier éphémère
https://www.societe.com/societe/blue-lagoon-342443199.htmlBlue Lagoon (restauration de type traditionnel)
  • XMaille (
    Les Touquettoises
    Tamaris'Aide gadget' (Geox en 2019)
  • no 5 : au rez-de-chaussée, commerce (Le Comptoir du fruit)

passage

  • no 7 : au rez-de-chaussée, commerce Juju s'amuse au Touquet
  • no 9 : au rez-de-chaussée, commerce La maison du Touquet dite L’Oliveira St Jean[1].
  • no 11 : villa Les Verveines
  • no 13 : au rez-de-chaussée, commerce Superdry
  • no 15 : au rez-de-chaussée, commerce Lollypops
  • no 17 : au rez-de-chaussée, commerce Pharmacie des 4 saisons

rue de Paris

  • no 19 : villa Le Cactus, au rez-de-chaussée, commerces
    Au Caprice touquettois
    La Bonbonnière
  • no 21 : au rez-de-chaussée, commerce Jean-Pierre Chemisier et Barque en ciel
  • no 23 : au rez-de-chaussée, commerce Philip
  • no 25 : au rez-de-chaussée, bar night-club Chatam
  • no 27 : au rez-de-chaussée, commerce Nocibé
  • no 29 : au rez-de-chaussée, commerce Street Café
  • no 31 : au rez-de-chaussée, restaurant Le Paris-Plage
  • no 33 : au rez-de-chaussée, commerce Norway Expedition (auparavant : XMaille)
  • no 35 : au rez-de-chaussée, commerce Comptoir des cotonniers
  • no 37 : au rez-de-chaussée, commerce Insolite
  • no 41 : au rez-de-chaussée, commerce BNP

rue de Londres

  • no 43 :
  • no 45 : au rez-de-chaussée, commerces
    pharmacie Côte d'Opale
    Superdry
    Catimini
  • no 47 : au rez-de-chaussée, commerce Au Chat Bleu
  • no 49 : au rez-de-chaussée, commerce Marionnaud
  • no 51 : au rez-de-chaussée, commerces
    Lacoste (auparavant Olens)
    Touquet Optique

rue de Metz

  • no 53 : au rez-de-chaussée, commerce La Taverne Royale(*)
  • no 55 : au rez-de-chaussée, commerces
    Notshy(*)
    Zapa (auparavant Orijean's)(*)
  • no 57 : au rez-de-chaussée, commerce Eden Park(*)
  • no 57 bis : au rez-de-chaussée, commerce LCL(*)
  • no 59 : au rez-de-chaussée, commerce Promod(*)
  • no 61 : au rez-de-chaussée, commerce La Mascotte(*)
  • no 63 : au rez-de-chaussée, commerce La Mascotte(*)
  • no 65 : au rez-de-chaussée, commerce Yves Rocher(*)
  • no 67 : au rez-de-chaussée, commerce IKKS(*)
  • no 69 : au rez-de-chaussée, commerce étr'ange(*)
  • no 71 : au rez-de-chaussée, commerce Maison Larnicol (chocolats) (*)
  • no 73 : au rez-de-chaussée, commerce Saint-James(*). Auparavant le rez-de-chaussée était occupée par le commerce La Boîte à joujoux, très prisée des enfants.

rue de Moscou Hôtel Excelsior (75 et 75 bis) https://www.pss-archi.eu/immeubles/FR-62826-79674.html

  • no 75 : au rez-de-chaussée, commerce Jack (auparavant Prestige)(*)
  • no 75 bis : au rez-de-chaussée, commerce ESSENTIEL (vêtements femme)(*) (auparavant les Piplettes et avant une librairie de livres d'occasion)
  • no 77 : au rez-de-chaussée, commerce Galerie de la Forêt(*)
  • no 79 : au rez-de-chaussée, commerce Sandro (vêtements femme)(*)
  • no 81 : au rez-de-chaussée, commerce La Storia(*)
  • no 83 : au rez-de-chaussée, commerce Sale Gosse(*) (auparavant Kinou Shoes et Paris Vog)
  • no 85 : au rez-de-chaussée, commerce Papa Pique et Maman Coud(*)
  • no 87 : au rez-de-chaussée, commerce Pierre-Yves renommé Espace coiffure au masculin(*) en 2021), Atelier Café-Coton
et Hamilton (vêtements homme) depuis 202X
  • no 89 : au rez-de-chaussée, commerces
    Latitude Boutique[2] et La Pince à linge
    Cogedim Club (auparavant Je craque encore)
    ORPI (auparavant chaussures Delcourt)


  • no 2 : au rez-de-chaussée, commerce Decathlon (auparavant : office de tourisme), discothèque Touquet's Club (auparavant de 2010 à 2020[3] bar discothèque Le Mezzo)[4].
  • no 4 : au rez-de-chaussée, commerce Chaussures FAJ et Galerie des Dunes
  • no 6 : au rez-de-chaussée, commerce La petite sirène.
  • no 8 :
  • no 10 : au rez-de-chaussée, commerce Comptoir des îles et au-dessus restaurant Les 2 Moineaux https://www.restaurant-les2moineaux.com/
  • no 12 : au rez-de-chaussée, commerce MAT'S et ORPI. Auparavant Diapason (artisanat local, cadeaux)[5].
  • no 14 : au rez-de-chaussée, restaurant Casseroles et Bouchons
  • no 16 : au rez-de-chaussée, commerce Carat
  • no 18 : résidence Le Centre, au rez-de-chaussée commerces
    La Fée maraboutée, auparavant Galerie de Villiers
    Des Lys du Touquet
    Brasserie Saint-Jean (auparavant Café Leffe) depuis 1999[6]
  • no 20 : au rez-de-chaussée, crêperie Aux Mignardises Saint-Jean
  • no 22 : au rez-de-chaussée, commerce Café des Sports et Kokoa
  • no 24 : Auparavant Du Pareil au même[7].
  • no 26 : Casino[8] et Philae
  • no 28 : restaurant Le Grill, au rez-de-chaussée, commerce Eric Dupont / Una Storia
  • no 30 : Auparavant Di Camilla (chaussures)[9].
  • no 32 : au rez-de-chaussée, commerce Les Barachois

rue de Londres

  • no 34 : au rez-de-chaussée, commerce Jean's Café
  • no 36 : au rez-de-chaussée, commerce La Petite Charlotte
  • no 38 : au rez-de-chaussée, commerces
    American Vintage
    Jean Trogneux (depuis 2020). Auparavant Platinium (vêtements).
    Les ptits branchés
  • no 40 : au rez-de-chaussée, commerces Janet Chaussures et La Belle Illoise

rue de Metz

  • no 42 : au rez-de-chaussée, commerce Gant(*)
  • no 44 : au rez-de-chaussée, commerce Gant(*)
  • no 46 : au rez-de-chaussée, commerce Claudie Pierlot(*)
  • no 48 et 50 : résidence Sylvia : au rez-de-chaussée, commerces Sud-Express(*)et The Kooples(*)(auparavant Fiftea's Room)
  • no 52-54 : au rez-de-chaussée, commerce IKKS Junior(*)
  • no 56 : au rez-de-chaussée, commerce IKKS Women(*)
  • no 56 :
  • no 58 : architecte Boissel
  • no 60 : au rez-de-chaussée, commerce Mango(*)
  • no 62 : au rez-de-chaussée, commerce Arthur(*)
  • no 64 : au rez-de-chaussée, commerce Caroll(*)
  • no 66 : au rez-de-chaussée, commerce Escales(*)
  • no 68 : au rez-de-chaussée, commerce Lol'shop(*)
  • no 70 : au rez-de-chaussée, commerce des petits hauts(*)
  • no 72 : au rez-de-chaussée, commerces La Petite Boutique(*) (auparavant The Vintage) et Vicomte A(*)

rue de Moscou

  • no 74 : au rez-de-chaussée, commerce vanessabruno(*) (auparavant Carnaby Gallery)
  • no 76 : au rez-de-chaussée, commerces Je craque encore...(*) (auparavant Surfline) et Gérard Darel(*)

passage

  • no 78 : au rez-de-chaussée, commerce Speakers 2pecialist (auparavant L'atelier du lunetier)
  • no 80 : au rez-de-chaussée, commerce Texti devant les n°80-82-82bis
  • no 82 :
  • no 84 : au rez-de-chaussée, commerces
    Carré d'Artistes(*) (auparavant Jean Trogneux[a] et auparavant Shorts)
    Les Garçons(*) (auparavant Intemporel Store et avant V&J)
    K-Way(*)
  • no 86 : au rez-de-chaussée, commerce Jean street (auparavant Swing (vêtements homme))
  • no 88 : au rez-de-chaussée, commerce FAGUO(*). Anciennement La Suite (ferme en 2019).
  • no 90 : au rez-de-chaussée, commerce Crédit mutuel(*)

Notes et références

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  1. Quelque chose nous dit pourtant que ça va changer dès ce samedi 6 avril. Actuellement en travaux, le local du 84 rue Saint-Jean (ex magasin de chaussures) sera, en effet, bientôt à croquer ! C’est la 6e génération, incarnée par Jean-Baptiste Trogneux, qui a souhaité s’installer au Touquet... Un choix qui ravi son papa, Jean-Alexandre, qui, en ce lundi 1er avril, était au milieu des ouvriers pour régler la lumière : « La meilleure nouvelle pour moi c’était déjà de savoir que mon fils souhaitait poursuivre l’aventure familiale. Il est arrivé plein d’énergie et d’idées et avec sa connaissance des réseaux sociaux il a révolutionné le commerce ! Qu’il veuille ouvrir au Touquet ça allait de soi. Je vais vous faire une confidence, il y a 50 ans mon grand-père, qui habitait non loin de là, a eu l’opportunité de racheter Le Chat Bleu et il a répondu Ah non je ne veux pas qu’on m’embête le week-end ! Dire qu’on pouvait se permettre de répondre ça à l’époque ! » s’amuse Jean-Alexandre Trogneux. À deux semaines de Pâques, l’enseigne « Jean Trogneux » aura donc sa 7e boutique avec, on le promet, à l’instar des Cœurs d’Arras ou des Macarons d’Amiens, une signature 100 % touquettoise « On y travaille ! »[10]

Références

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Macroner est la forme française de « макронити » (makronyty), un néologisme ukrainien par antonomase pour désigner le fait de se montrer très inquiet d'une situation, de le dire haut et fort, mais de ne rien faire pour résoudre le problème[a].

Origine et définition

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L'origine de ce mot vient des réseaux sociaux en Ukraine où, très populaire[2], il est utilisé pour dénoncer l’immobilisme français[3],[4],[5],[6].

Ce terme a été défini par les Ukrainiens sur le réseau Telegram comme « se montrer inquiet d’une situation, mais ne rien faire »[7].

L'usage de ce mot fait par le président ukrainien Volodymyr Zelensky reflète son point de vue vis-à-vis de l'attitude du président français Emmanuel Macron, accusé de manque d'efficacité pour endiguer l'Invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022.

Initialement utilisé par les combattants « Entre combattants, on l’utilise à chaque fois que quelqu’un parle pour ne rien dire. »[8], le terme pourrait aussi être utilisé avec la signification plus large de « faire semblant d’aider » comme dans la phrase : « Tu me dis si tu veux que je te macrone avec le dîner de ce soir ? »[9].

Ce néologisme a été créé de façon péjorative vis-à-vis d'Emmanuel Macron[10],[7],[2].

Expression dérivée

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Ce néologisme a donné naissance à l'expression « arrête de macroner »[11],[12].

Liens externes

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Notes et références

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  1. Ne pas confondre avec la définition humoristique créée par Bernard Pivot en 2016 : « Macroner. Verbe irrégulier. Déf.: marcher, marcher surtout de gauche à droite. Syn.: zigzaguer. Ex.: sur l'eau Jésus macronait-il ? »[1].

Références

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  1. |https://twitter.com/bernardpivot1/status/723371706379694080?lang=fr Tweet de Bernard Pivot.
  2. a et b Morgane Masson, « “Macroner”, ce néologisme très populaire en Ukraine n'est pas vraiment valorisant pour Emmanuel Macron », sur le site du quotidien Midi libre, (consulté le ).
  3. Benjamin Quénelle, « Présidentielle : le débat Macron-Le Pen suivi avec intérêt mais circonspection à Moscou », sur le site du quotidien Les Échos, (consulté le ).
  4. « Guerre en Ukraine. « Macroner », le terme utilisé par les Ukrainiens pour dénoncer l’immobilisme français », sur le site du quotidien Ouest-France, (consulté le ).
  5. Jules Fresard, « Les Ukrainiens inaugurent le verbe "macroner" pour fustiger l'immobilisme français face à l'invasion russe », sur le site de la chaîne BFM TV, (consulté le ).
  6. Xavier Martinage, « Les Ukrainiens ont inventé le verbe "macroner" », sur le site du magazine Capital, (consulté le ).
  7. a et b Aliénor de Pompignan, « « Macroner »: ce nouveau mot (pas très flatteur) venu d’Ukraine », sur le site du quotidien Le Figaro, (consulté le ).
  8. Thomas d'Istria, « Emmanuel Macron, allié mal aimé des Ukrainiens », sur le site du quotidienLe Monde, (consulté le ).
  9. Lucie Alexandre, « Le soutien de Sarkozy, le voyage de Mélenchon, la générosité de Lassalle », sur le site du magazine L'Obs', (consulté le ).
  10. Soraya Idbouja, « « Macroner » : Quel est ce mot utilisé en Ukraine pour se moquer du président français ? », sur le site d'actualités PleineVie, (consulté le ).
  11. Christel Brigaudeau, « « Arrête de macroner ! » : en Ukraine, la France perd la cote sur le terrain », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  12. « "Arrête de macroner !" : que signifie cette expression devenue populaire dans la langue ukrainienne ? », sur le site du quotidien La Dépêche du Midi, .