Aller au contenu

Utilisateur:AlexeBiabani/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Histoire sociale du Luxembourg, maladies et mort

Introduction[modifier | modifier le code]

La maladie est une altération des fonctions ou de la santé d’un organisme, et donc l'accès aux soins de santé de qualité constitue dans notre société l'un des principes fondamentaux. Tout individu est concerné sans faire de différence de sexe, de culture ni d’âge. Cela crée des liens forts dans la recherche d’amélioration dans l’assistance sanitaire, pour décliner au maximum l’inévitable, la maladie et la mort précoce. L’individu concerné, peut vite se retrouver acteur principal dans la constitution des nouvelles règles et des nouvelles institutions sanitaires. L’idée que l’état de santé et la mort d’un individu dépend du nombre des médecins et du nombre des hôpitaux pousse l’Etat luxembourgeois à lutter à plusieurs niveaux : au niveau social et médical, mais aussi au niveau politique et socio-économique. La maladie, et son non traitement peut causer à un individu des graves lésions, la mort et des problèmes sociaux. Dans certains cas, il s’agit des maladies qui engendrent uniquement l’excommunication d’un individu de la société, car souvent les diagnostiques jouent un grand rôle dans leur statut sociétal. Pour combattre cette exclusion, plusieurs mesures sont prises. Elles visent de remettre en question la maladie, qu’elle soit psychique ou physique, et d’adoucir l’impact qu’elle peut avoir sur un individu malade ou sur la société avoisinante.

Définition[modifier | modifier le code]

La maladie se définit par une altération de l’état de santé. De façon générale le terme maladie désigne un état morbide dont on connait le plus souvent la cause. Ce terme doit être différencié des termes syndrome, handicap, blessure et affection. La mort, se définit la cessation complète été définitive de la vie d’un être humain ou d’un animal.

Terminologie[modifier | modifier le code]

Le terme maladie provient du latin male habitus qui signifie en mauvais état.


Histoire[modifier | modifier le code]

Dans la catégorie des maladies nées, ou maladies survenues après la naissance, il existe deux autres grandes catégories que l’individu est susceptible d’être atteint: maladies mentales et maladies physiques. Après la deuxième guerre mondiale, un nouvel modèle surgit à savoir mette le bien-être d’un individu comme but ultime. C’est pourquoi, le Grand-Duché du Luxembourg est souvent amené à entamer des nouvelles stratégies sociales en ce qui concerne sa population atteinte d’une maladie, mais aussi des stratégies de prévention. Avec le progrès médical et psychosocial, l’Etat luxembourgeois à reconsidéré la prise en charge du malade psychique en limitant l’internement au profit d’une prise en charge volontaire, et finalement à concevoir la réhabilitation comme fin en soi et non plus l’écartement de la vie sociale. Les facteurs explicatifs de l’état amènent dans les années 1970 à la réformation de la Maison de Santé luxembourgeoise. C’est ainsi que prit naissance un hôpital, socialement responsable, au nom d’Hôpital Neuro-Psychiatrique de l’Etat (HNPE), localisé dans la ville d’Ettelbrück, au nord-ouest du Grand- Duché. Il vise la réhabilitation du malade afin de lui permettre une vie équilibrée avec une autonomie maximale. Le 30 juillet 1976, le politologue et journaliste Mario Hirsch publie dans le journal Letzebuerger Land comme que la notion de maladie comme histoire sociale s’est constitué à partir du modelé de vie quotidienne du malade:

  «La vie quotidienne à Ettelbrück est affligeante. Tout y paraît essentiellement réglé dans le but de contenir le malade. Au moindre détail, au moindre geste, correspond une stipulation d'un règlement d'une logique implacable, déterminée par la crainte de l'incident, de l'évasion. La liberté des patients, même pour des gestes anodins, tout comme leurs contacts avec le monde extérieur sont étroitement contrôlés. La fonction thérapeutique n'existe pratiquement pas. Le personnel soignant et traitant est réduit aux rôles de porte-clés, de femme de ménage et de distributeur de médicaments – des calmants, des neuroleptiques, presque exclusivement. Ce régime, plus disciplinaire que thérapeutique, est de nature à décourager le personnel soignant. Mais il est surtout permis de penser que l'atmosphère carcérale pèse encore davantage sur l'état du malade. Dans cet univers clos, les malades sont condamnés à ressasser leurs obsessions, leurs échecs. Isolés, désarmés, rien ne les prépare à se réadapter à une vie normale. Signe révélateur, la comparaison avec la prison ne joue guère en faveur d'Ettelbrück.»[1]

A travers cet article il critique le laxisme politique de l'état qui n'appliquent pas de politique cohérente de la santé mentale. Donc besoin des changements lies à la vie et à la maladie d'un patient.

Classification[modifier | modifier le code]

La maladie[modifier | modifier le code]

En ce qui concerne les maladies mentales, au Grand-Duché il existe un centre de neuropsychiatrie l’Hopital Neuro-Psychiatrique de l’Etat. Il opère dans les domaines des soins neuropsychiatriques et dans l’accueil gérontologique et de l’accompagnement socio-pédagogique des personnes handicapées. Dans les années 1950, la Ligue luxembourgeoise d’Hygiène mentale est fondée, avec son premier centre de Santé Mentale gratuit et ambulatoire en 1960. Cette évolution témoigne de la capacité de réagir des responsables médicales et politiques et dès 1960 la construction d’un nouveau bâtiment de 8 étages est mise en place. Il est conçu pour les patients avec un traitement de courte durée. D’autres unités spécifiques ont été créés, comme par exemple des unités pour les alcooliques, à Useldange, en 1978. Le potentiel psychique des malades de l’alcool, ainsi que leur motivation de guérir ne correspondait plus au système sanitaire d’avant. A Useldange les patients étaient libres de pratiquer des petits travaux et donc de garder une vie sociale malgré l’enfermement. Cette unité psychologique était géré par M. Simon pour le traitement des femmes et Paul Neuberg pour le traitement des hommes. Cette initiative est cultivée par les succès obtenus et visent à rendre au patient une nouvelle confiance en lui-même.[2]

L'adaptation des programmes selon une nouvelle vision Paul Neuberg, lui-même l'évoque:
  «La vie communautaire favorise les échanges verbaux entre les patients et cherche à remédier à l'isolement des alcooliques qui par leur carrière toxicomaniaque ont souvent brisé tous les rapports sociaux pour s'installer de plus en plus dans un isolement angoissant et culpabilisant»[3].  

Au cours des années 1980 des nombreux textes législatifs ont eu impact sur les patines de l’Hôpital Neuro-Psychiatrique de l’Etat, notamment la loi de 1982 sur les incapables majeurs.[4] C’est une loi de protection juridique de droits et des biens matériels des personnes majeures souffrant des détériorations de leurs facultés mentales. Cette loi a permis de dissocier la collocation pour motifs psychiatriques de la perte d’un certain nombre des droits civils. A la même année, ont été d’avantage organisés les loisirs et thérapies occupationnelles des malades. Il est désormais autorisé d'engager du personnel qui a pour mission uniquement de s'occuper d'organiser ces activités. L'accroissement des dépenses de santé collaborent, dans les deux sens, à l’amélioration de la santé des populations. L’inégalité sociale devant la maladie est mise en question avec la loi de 1986, et l’institution d’un revenu minimum garanti, RMG[5]. Par cela, la situation financière d’une grande majorité des patients est c'améliorée, et en même temps, elle diminue la difficulté des ressources pécuniaires des hôpitaux. Si la réhabilitation psychiatrique se doit d’intégrer dans ses plans individuels de thérapie la dimension socio-éducative, le service Handicap Mental place cette dimension au centre de son travail. Entre 1970 et 1990, l’Hôpital Neuro-Psychiatrique d’Ettelbrück propose sur le marché des nouvelles emplois. En effet, il crée une Ecole d’infirmières psychiatriques qui offre au Grand-Duché du Luxembourg une génération de soignants compétents et autonomes mais surtout un meilleur soutien aux malades. C'est aussi pour cette cause qu'au fil du temps, cela favoris à la décentralisation de l’HNPE[6].

Le barrières financières, organisationnelles et du type de maladie mettent de plus en plus en cause la limitation des soins. C'est pourquoi, des nouvelles lois  pour l'égalité d'accès aux soins des malades, sont abrogés. C'est donc dans le Code du Travail qu'il est stipulé  que tout travailleur malade en incapacité d’assumer son travail à le droit au congé maladie. C'est le début d'une solidarité sociale et nationale , qui, sous certaines condition, vient en aide du malade. 

Des maladies, tels que l'alcoolisme, posent problèmes depuis bien avant la deuxième guerre mondiale. Cependant, il y a une nouvelle prise de conscience,

An final, il est important de noter que l'homme malade ou en pleine santé joue un rôle important dans le prises de décisions sociales. En effe, le document le Livre Blanc (L’alcool au Grand-Duché de Luxembourg, paru en 1989), mets non seulement en cause les maladies de la société luxembourgeoise. Il critique aussi les causes à cause pour lesquelles un individu tombe malade, notamment alcool. Le document dénonce de l'impact de l’alcool tant sur la santé physique, tant sur la santé mentale.

La mort[modifier | modifier le code]

L'infertilité est une maladie qui touche aussi la société luxembourgeoise. Si pendant les années 1950 – 1960 le Grand-Duché vit un baby-boom modéré, dans les années 1970, il connait une baisse considérable de nombre d’enfants par famille. De plus, les mesures pro natalistes adoptés à la fin de 1966 ont eu pour effet la croissance de taux de mortalité materne, et dès 1968 l’augmentation de la mortalité infantile[7].

La mort joue aussi un rôle clé dans le changement de la société luxembourgeoise car elle aide au rajeunissement de la population, elle joue un rôle clé dans la démographie du pays [8]. Après la deuxième guerre mondiale, non seulement les causes de mortalité changent, mais aussi l'avancement des recherches médicales et de la technologie. Cela offre plus d'opportunités dans le combat de mortalité générale. L'adoption d'une nouvelle loi, publiée dans le Mémorial A le 3 décembre 1982[9] et qui stipule que, chaque résident du Grand-Duché est un donneur potentiel d’organes. On remarque ici donc présomption de solidarité pour l’autrui et une mise en cause du malade. En effet, pour des raisons d'égalité des droits, des nombreuses décès mettent en question le droit du malade. Un alcoolique qui a le choix de s'en sortir ou d'y rester n'est pas traité de la même manière qu'un individu qui souffre car il est née malade. La mortalité infantile à l’état intra-utérine ou à l’état infantile est analyse est de même mise en analyse. Pour une espérance de vie plus longue, des solutions préventives mais non définitives que les mères enceintes se voient imposées. elle l’état luxembourgeois avait opté ce fut pour viser une espérance de vie plus longue. C’est pourquoi pour appréhender la dynamique de la tendance de mortalité du Grand-Duché entre 1950 à 2005 il faut noter que dans la globalité le rapport est positif.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp%7Cissue:1755063%7Cpage:3
  2. L. MISCHO, Maison de Santé Ettelbrück. Rapport 1969 , in: Bulletin de la Société de Sciences Médicales du Grand-Duché de Luxembourg, Vol. 108, N° 2 (October 1970), p. 346.
  3. http://eli.legilux.public.lu/eli/etat/leg/loi/1982/08/11/n3
  4. http://eli.legilux.public.lu/eli/etat/leg/loi/1993/02/26/n1
  5. http://www.elisabeth.lu/uploads/media/CSSE-20051201-COM__Gemengeblatt_Ettelbruck__150e_anniversaire_CHNP_.pdf
  6. LENERS J.C, Complications somatiques de l’alcoolisme, In: Livre Blanc, L’Alcool au Grand-Duché de Luxembourg, Conseil National de Lutte contre l’Alcoolisme, 1989
  7. Mario HIRSCH, “Notre Archipel du Goulag”, in Letzebuerger Land , Vol. 23, N° 31 (1976), p. 3.
  8. http://www.sante.public.lu/fr/droits/don-organes/loi-don-organes/index.html.
  9. http://www.statistiques.public.lu/fr/enquetes/espace-menages/recensement/index.html