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Utilisateur:AlekseyVidal/Brouillon

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Aleksey d'Havlcyon

Aleksey d’Havlcyon est une artiste et photographe née en 1993 en Provence. Française-espagnole, elle est également d'origine allemande russe.

Enfance

La petite Aleksey née d’une famille immigrée, de la classe ouvrière, où l’art, n’est pas une priorité. Pourtant, elle s’y intéresse, apprend à lire rapidement. Sa grand-mère paternel espagnole En réalité, Aleksey est une enfant qui s’épanouie au travers la lecture (elle lis la Dame au Camélia de Dumas à seulement 9 ans) de la peinture, la photographie, mais aussi l’écriture. On lui reconnait un français très soutenu pour son âge, certainement dû à ses lectures. Aleksey, dès son plus jeune âge, montre ses talents d’actrice devant la camera familiale. Elle observe beaucoup les jeux d’acteurs des années 50/60, et ceux du néo-réalisme italien photographie en cachette la petite Aleksey qui tient à peine assise. Elle la déguise, la maquille. « C’est en partie de là que me vient le goût du déguisement, que ce soit en photo, comme dans la vie de tout les jours. » L'enfant est extrêmement timide, et soufre de bégaiement. Elle ne parviens pas à tisser de liens avec les autres enfants. Ses institutrices convoque sa mère et sous entende qu’elle devrait être examinée (elles la pense autiste). Sur le plan scolaire, elle est en échec.


Les débuts dans l'Art

Son entrée au collège la pousse à s’intéresser aux autres. Dès l’âge de 14 ans, Aleksey commence à vendre ses peintures Au lycée, ses professeurs d’art plastique l’encouragent dans sa voie, et l’aide à developper sa culture artistique.

Lors d'un vernissage à la Maison Campredon, en 2013 elle est repérée par l'artiste plasticien Peter Henri Stein, qui l'invite à exposer aux Rencontres Internationales de la Photographie d'Arles Lucien Clergue se rend à l'exposition d'Aleksey d'Havlcyon, et il lui propose de poser pour lui. Après plusieurs hésitation, Aleksey accepte de poser pour le maître, et se convertira en sa dernière muse.

Aleksey est aux arts supérieur, une jeune artiste souvent en désaccord avec ses professeurs. Elle ne se sent pas s’épanouir au travers de la scolarité artistique. Elle communique ses doutes, sa tristesse, à Lucien Clergue, qui lui propose de venir rejoindre son atelier. Il devait s’agir d’un court stage. Ce sera 9 mois auprès de l’artiste et de son équipe (jusqu’a la mort de Lucien Clergue). Durant ces 9 mois, une complicité et une amitié naisse entre les deux artistes. Lucien est de bon conseil, l’équipe de Lucien Clergue est bienveillante. Lucien, et en particulier Katharine Cooper apprennent le tirage argentique à la jeune femme.

En 2014, Arte l'interview sur son travail pendant trois minutes, à sa seconde exposition aux Rencontres Internationale de la Photographie d'Arles. Le Prince Albert de Monaco, achète aux enchères une photographie d'Aleksey immergée dans la mer, réalisée par Lucien Clergue.

À la mort de Clergue, en novembre 2014, l'artiste se retire en Espagne. Elle est représenté par la PH BROKING GALLERY du broker d'art Giancarlo Fabbi.

Aleksey d'Havlcyon expose au travers le monde, Moscou, Bogota, New-York, Hong-Kong, Buenos-Aires... Elle est présente dans les collections privées, et également dans des musées. Elle est également publiée par l'Oeil de la Photographie, dans Vogue Italie, ainsi que dans Open Eye Magazine.

Plusieurs critiques d'art ont écrit à son sujet, comme Jean-Paul Gavard Perret et Valerio Dehò.

Sujets et modèles

Les modèles d’Aleksey d’Havlcyon sont soit professionnels, soit ses amis, ses amours, ou plus encore, des inconnus qu’elle rencontre pendant ses voyages/dans la rue. Elle réalise de nombreux portraits de son frère, et pose très souvent avec lui.

Dans un premier temps, le travail artistique d'Aleksey d'Havlcyon était marqué par les maltraitances qu'elle à subit durant son adolescence. Sa création est orchestrée par sa colère. Se sentant menacée et abandonnée, elle s’enferme dans un monde photographique onirique et obscur, dont l’issue sont des autoportraits sanglant.

Dès 2017, il y a une certaine rupture dans son travail. Ses compositions deviennent plus épurées, elle se dirige vers ses origines, dont le folklore l'inspire. En parallèle, elle continue son journal intime photographique intitulé "The wild of us". Progressivement, Aleksey retourne à l'autoportrait, seule, ou accompagnée de son frère. La photographie d'Aleksey d'Havlcyon pousse à la réflection, quant à la place de la femme, de son corps, dans la société. Ses photographies sont souvent accompagnés de textes, issus de ses journaux intimes.

Aleksey d’Havlcyon est également modèle. Elle fut la dernière muse du grand Lucien Clergue. Elle à également posé pour Kim Weston, Peter Henri Stein, Bernard Garo