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La Procession du cheval dans Troie, par Tiepolo

Dans la mythologie grecque, l'épisode du cheval de Troie est l'un des plus fameux de la guerre de Troie.

Sources :

Le mythe[modifier | modifier le code]

Les Grecs assiègent vainement Troie depuis dix ans lorsque Ulysse trouve une ruse pour prendre la ville : il charge l'architecte Épéios construit un cheval géant en bois creux, dans lequel se cache un groupe de soldats menés par Ulysse ; un espion grec, Sinon, réussit à convaincre les Troyens d'accepter l'offrande, malgré les avertissements de Laocoon et de Cassandre. Le cheval est tiré dans l'enceinte de la cité qui fait alors une grande fête. Lorsque les habitants sont pris par la torpeur de l'alcool, les Grecs sortent du cheval et ouvrent alors les portes, permettant au reste de l'armée d'entrer et de piller la ville. Tous les hommes sont tués, les femmes et les filles sont emmenées comme esclaves. Les enfants mâles sont tués eux aussi pour éviter une éventuelle vengeance.

Contexte[modifier | modifier le code]

Construction du cheval de bois[modifier | modifier le code]

Entrée du Cheval dans la ville[modifier | modifier le code]

Sacage de Troie par les grecs[modifier | modifier le code]

La consécration de la métis[modifier | modifier le code]

Dans l'épisode du cheval de Troie, Ulysse, personnage devenu célèbre pour sa métis (« intelligence rusée »), rend un conseil très apprécié dans la guerre de Troie à laquelle il participe. Ici il s'agit en fait d'une ruse. Elle se distingue de la triche mais aussi du délit (ou du crime) en cela que la ruse est autorisée par la loi ou les règles de l'usage, du jeu, de l'art, de la société, ou des accords internationaux. En l'espèce de l'art de la guerre chez les grecs, il s'agit plus particulièrement d'une ruse de guerre.

Listes des guerriers grecs cachés à l'intérieur du cheval[modifier | modifier le code]

Leur nombre varie selon les auteurs : Pseudo-Apollodore dit qu'ils étaient cinquante, mais ne cite aucun nom ; Tryphiodore cite le nom de vingt guerriers, et Quintus de Smyrne cite trente-et-un noms mais explique qu'ils étaient plus nombreux. Ovide quant à lui explique qu'ils sont tirés au sort parmi les plus valeureux, mais ne cite ni noms ni nimbres.