Sur les toits de New York

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Sur les toits de New York

Titre original Top of the Town
Réalisation Ralph Murphy
Sam White
Walter Lang
Scénario Robert Benchley
Acteurs principaux
Sociétés de production Universal
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre comédie
Durée 86 min
Sortie 1937

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

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Sur les toits de New York (Top of the Town) est une comédie américaine de 1937, réalisée par Ralph Murphy, Sam White et Walter Lang et mettant en vedette Doris Nolan[1].

Synopsis[modifier | modifier le code]

Une jeune fille dont les quatre oncles sont millionnaires, inspirée par un voyage en Russie, prépare une revue de music-hall avec des idées nouvelles et avant-gardistes. Le chef d'orchestre, dont elle est amoureuse, n'est pas d'accord sur le programme. La revue a lieu sur le toit du gratte-ciel. Le spectacle composé d'un mélange de musique classique, de danses simili-grecques et de récitation de Shakespeare, est si attrayant que le public s'endort. Mais le chef d'orchestre amoureux est là qui veille au grain… Il a tout prévu et le jazz et les girls arrivent à temps pour sauver la situation[2],[3].

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Critiques[modifier | modifier le code]

Écrivant pour Night and Day en 1937, Graham Greene a donné au film une mauvaise critique, le décrivant comme "l'une de ces comédies musicales affligeantes et insouciantes [...] où les seuls visages non gays sont parmi le public"[4].

Les critiques ne sont pas bonnes non plus à sa sortie en France, « le film le plus absurde qui ait jamais été réalisé à Hollywood… Un genre de film qui suffit peut-être pour amuser la population cosmopolite des bas-quartiers de New-York. Nous pensons et nous espérons qu'il ne s'acclimatera pas en France », peut on lire dans Ciné France[3]. La presse remarque la voix étrange de Gertrude Niesen[2],[5].

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Sandra Brennan, « Top of the Town » [archive du ], The New York Times, Baseline & All Movie Guide, (consulté le )
  2. ↑ a et b « L'Humanité », sur Gallica, (consulté le )
  3. ↑ a et b « Ciné France », sur Gallica, (consulté le )
  4. ↑ Greene, « Black Legion/Night Must Fall/Top of the Town/The Last Train from Madrid », Night and Day,‎ (reprinted in: The Pleasure Dome, Oxford University Press, (ISBN 0192812866), p. 154)
  5. ↑ « Paris-soir », sur Gallica, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

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