Rue Falconet (Nantes)
Cet article est une ébauche concernant Nantes.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) ; pour plus d’indications, visitez le projet Nantes.
| Rue Falconet | |
_02.jpg) Rue Falconet vue du quai de la Fosse | |
| Situation | |
|---|---|
| Coordonnées | 47° 12′ 37″ nord, 1° 33′ 51″ ouest |
| Pays |  France |
| Région | Pays de la Loire |
| Ville | Nantes |
| Quartier(s) | Centre-ville |
| Début | Quai de la Fosse |
| Fin | Impasse |
| Morphologie | |
| Type | Rue |
| Histoire | |
| Anciens noms | Rue Thomas |
|
|
|
modifier  |
|
La rue Falconet est une voie de la ville de Nantes, dans le département français de la Loire-Atlantique.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Située dans le centre-ville de Nantes, la rue part du quai de la Fosse pour aboutir en impasse. Ruelle étroite, elle est pavée et close d'une porte grillagée.
Origine du nom
[modifier | modifier le code]la rue porte les prénoms et nom du sculpteur Étienne Maurice Falconet (1716-1791)[1].
Historique
[modifier | modifier le code]Sur un document du , la rue est déclarée voisine du « Jardin du Gast Denier », au nord et au nord-est de la « cour des Richards ». Le coteau qui bordait jadis la Loire était couvert de vignes (on trouve un peu plus loin la rue des Vignes) et la « venelle des Gast Denier » serait devenue la rue des Cadeniers[1].
La rue porte ce nom depuis 1818, mais cette dénomination est toutefois déjà utilisée avant 1818, au moins dès 1807, notamment par la mention des adresses sur les actes d'état civil[2].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]
Références
[modifier | modifier le code]- Pied 1906, p. 115-116.
- Archives de la Ville de Nantes. (1807). Registre numérisé des actes de décès (p. 19). Consulté le 24 avril 2022, à l’adresse https://archives-numerisees.nantes.fr/v2/am441/visualiseur/etatcivil.html?id=451003066
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Édouard Pied, Notices sur les rues de Nantes, A. Dugas, , 331 p., p. 115-116.
