Réseau Orion

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Réseau Orion
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Le Réseau Orion est un réseau de renseignements de la résistance intérieure française créé dès par le Français Henri d'Astier de La Vigerie[1] et le Belge Georges Piron de la Varenne[2],[3].

Historique[modifier | modifier le code]

Le Réseau Orion tire son nom du hameau des Pyrénées-Atlantiques, Orion, qui lui a servi de base arrière, sur la ligne de démarcation.

Le Réseau Saint-Jacques intègre le Réseau Orion en mai 1941.

Alain Griotteray en prend le commandement en 1943. Le réseau se consacre en priorité aux évasions de Français par l'Espagne[4],[5].

Le , l'agent infiltré Serge Marcheret, permet à la Gestapo d'arrêter l'ensemble des dirigeants, à l'exception de Le Balle.

Membres du réseau[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Réseau Orion » sur larepubliquedespyrenees.fr.
  2. Henri d'Astier de La Vigerie et Georges Piron de La Varende (1888-1943), président les anciens combattants belges 1914-1918, créent la chaîne franco-belge dont est issu le Réseau Orion 1940-1945
  3. « Henri d'Astier de La Vigerie et Georges Piron de La Varende, chaîne franco-belge » sur ordredelaliberation.fr.
  4. « Résistance intérieure » sur archivesnationales.culture.gouv.fr.
  5. Stèle du Réseau Orion à la mémoire des évadés des trains de déportation sur cndp.fr.
  6. Nathalie Carré de Malberg, « Chapitre XVI. Les parcours militaires et patriotiques 1939-1945 », dans Le grand état-major financier : les inspecteurs des Finances, 1918-1946 : Les hommes, le métier, les carrières, Institut de la gestion publique et du développement économique, coll. « Histoire économique et financière - XIXe-XXe », (ISBN 978-2-11-128751-8, lire en ligne), p. 435–477

Liens externes[modifier | modifier le code]