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Portail de la chapelle Saint-Georges-de-Bouillé d'Avranches

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Chapelle Saint-Georges-de-Bouillé
Vue occidentale du portail de la chapelle Saint-Georges-de-Bouillé situé à Avranches, à l'état de ruines.
Présentation
Type
Construction
vers 1100
Propriétaire
Commune
Patrimonialité
Localisation
Pays
Département
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte de Normandie
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Localisation sur la carte de France
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Le portail de la chapelle Saint-Georges-de-Bouillé est le vestige d'une chapelle catholique situé à Avranches, en France[1].

Localisation

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Le portail est situé dans le département français de la Manche, dans le jardin des plantes d'Avranches.

Historique

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Ce portail est le vestige d'une chapelle construite à la fin du XIe siècle ou au début du XIIe au lieu-dit Bouillé, au bord de l'estuaire de la Sée, à l'ouest de l'actuelle commune du Val-Saint-Père, limitrophe d'Avranches. Il a été sauvé de la destruction par la Société d'archéologie et reconstruit dans le jardin des plantes d'Avranches[2] en 1843[3]. Le propriétaire de la chapelle, un dénommé Dupont, en a fait don et en a assuré le transport[4]. Le site choisi dans le jardin des plantes offre une vue sur le mont Saint-Michel et sur la grève, en particulier sur le hameau de Bouillé[4]. Le portail a conservé son orientation d'origine[4].

La chapelle de Bouillé

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La chapelle était dédiée à saint Georges et à saint Hubert[4]. On y venait rechercher l'influence de saint Hubert pour le traitement de la rage : une clé (référence à la clé de Saint-Hubert) touchant la représentation du saint, par la suite chauffée et mise en contact avec la plaie, était censée apporter la guérison[4].

Le chapelain était nommé par l'évêque d'Avranches qui en percevait la dîme[4].

Architecture

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Le portail roman est inscrit au titre des monuments historiques depuis le [1].

  • La façade orientale.
    La façade orientale.
  • Détail.
    Détail.

Notes et références

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  1. ↑ a et b « Chapelle Saint-Georges-de-Bouillé », notice no PA00110326, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  2. ↑ Édouard Le Héricher, Avranchin monumental et historique, t. 1, Avranches, Tostain, (lire en ligne), p. 208
  3. ↑ Plaque apposée sur place.
  4. ↑ a b c d e et f Jacques-François Boudent-Godelinière, Essai historique et statistique sur l'Avranchin, t. 1, Avranches, Tostain, (lire en ligne), p. 338-340

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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