Maciste und die chinesische Truhe

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Maciste und die chinesische Truhe

Réalisation Carl Boese
Scénario Richard Hutter (de)
Acteurs principaux
Sociétés de production Jakob Karol Film GmbH
Pays de production Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Genre Thriller
Durée 60 minutes
Sortie 1923

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Maciste und die chinesische Truhe (en français Maciste et le coffre chinois) est un film allemand réalisé par Carl Boese sorti en 1923.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Maciste est arrêté dans le port par deux Chinois pour les aider à retirer un lourd coffre chinois. L'homme musclé se rend vite compte que quelque chose cloche et remarque qu'il y a des objets dans la boîte qui lui ont été volés dans la maison d'un ami du club. L'ami est informé et la boîte est mise de côté. Mais les escrocs découvrent la cachette dans un bar du port et volent le coffre. Mais cette fois, la police est là, arrête les voleurs et sécurise le coffre. En l'ouvrant, il y a un choc : il n'y a pas d'objets à l'intérieur, mais un cadavre bien conservé d'un jeune Chinois. En conséquence, le véritable propriétaire du coffre est immédiatement soupçonné d'avoir commis un meurtre. Maciste entreprend immédiatement de prouver l'innocence de son ami.

Enfin, il s'avère que le Chinois embaumé est mort depuis longtemps, jadis assassiné par l'oncle du propriétaire du coffre, un professeur. L'oncle avait engagé l'Asiatique comme assistant lors de son voyage de recherche en Extrême-Orient, au cours duquel il avait également emmené sa fille avec lui. Lorsque le Chinois a violé la fille de son patron et qu'elle s'est suicidée par honte, l'oncle n'a plus pu se retenir, a riposté et étouffé l'Asiatique. Afin de cacher son corps, le professeur a mis le Chinois mort dans le coffre et a voyagé avec en Allemagne. Le meurtrier avoue son acte sanglant dans des fantasmes fébriles sauvages. La famille du Chinois tué se rend en Europe pour ramener le membre assassiné chez lui.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

et également Rudolf Lettinger, Grete Hollmann, Edwin H. Knopf, Elsie Fuller, Toni Wittels (de) , Karl Falkenberg, Ferdinand Martini, Jakob Tiedtke, Gerhard Ritterband (de), Sybill Morel (de), Nien Tso Ling, Li Chun Di.

Production[modifier | modifier le code]

Maciste und die chinesische Truhe est le dernier des quatre films allemands de Maciste réalisés en 1922 et 1923[1]. Ce film est tourné au printemps 1923, passe la censure les 7 et et est interdit aux jeunes. La légation chinoise s'était auparavant plainte de la représentation des Chinois en général et de celle des violeurs chinois en particulier[2].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Jacqueline Reich, The Maciste Films of Italian Silent Cinema, Indiana University Press, , 432 p. (ISBN 9780253017482, lire en ligne), p. 185
  2. (de) Filmprüfstelle, « Zensurentscheidung vom 07.05.1923 », sur filmportal.de, (consulté le )

Source de la traduction[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]