La Bonne Dame de Nancy

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La Bonne Dame de Nancy

Réalisation Denis Malleval
Scénario Chantal de Rudder
Acteurs principaux
Sociétés de production Effervescence fiction
Pays de production Drapeau de la France France
Genre policier
Durée 90 minutes
Première diffusion 20 février 2016 (Belgique)
3 mai 2016 (France)

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

La Bonne Dame de Nancy est un téléfilm français de Denis Malleval, produit par Effervescence[1], diffusé le sur la RTBF et le sur France 3.

Adapté de l'affaire Simone Weber dite « la diabolique de Nancy ».

Synopsis[modifier | modifier le code]

L’action se passe vers la fin de l’année 1981. Bernard Hettier, un homme séduisant âgé de 55 ans, retrouve Simone Weber, 52 ans, qu’il avait connue vingt ans plus tôt. Une relation sentimentale et charnelle se noue entre eux. Après quelques mois d’une passion brûlante, Bernard s'avère volage et Simone d'une jalousie maladive. Bernard n'entend pas lui rendre de comptes, et devant les intrusions de Simone dans sa vie, il reprend son indépendance.

Pendant les trois années suivantes, il est surveillé et harcelé par cette femme machiavélique partagée entre des scènes d'hystérie et des manœuvres invraisemblables pour le reconquérir.

Or Bernard Hettier disparaît le , et quinze jours plus tard, la police est alertée par ses proches. Ils sont immédiatement mis sur la piste de Simone Weber, tous les signaux de vie adressés par Bernard Hettier à ses proches ou son employeur étant des falsifications grossières orchestrées par Simone Weber. Une information judiciaire est alors ouverte et confiée au juge d'instruction Thiel.

Les choses se compliquent pour Simone Weber lorsqu'on découvre la meuleuse qu'elle louée la veille de la disparition de Bernard Hettier puis cachée les jours suivants. De plus, l'enquète révèle que son mariage précédent a été mis en scène avec un figurant dans le rôle du marié, que le « mari » est mort dix-huit jours plus tard et le figurant trois mois après, alors qu'elle a opportunément hérité de son « mari ».

Mais Simone Weber nie tout en bloc et ne craque pas...

Fiche Technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Tournage[modifier | modifier le code]

Le téléfilm a été tourné durant l'automne 2015 à Lyon et dans la région lyonnaise, notamment sur le campus de La Doua à Villeurbanne[2].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Éric Nicolas, « Simone Weber, première, action ! », L'Est républicain, .
  2. Laura Lepine, « France 3 tourne l’affaire Simone Weber sur le campus LyonTech-la Doua », Le Progrès, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]