John Kiriakou
Naissance | |
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Nationalité | |
Domiciles | |
Formation |
Université George-Washington New Castle Junior/Senior High School (en) |
Activités |
Écrivain, analyste militaire, consultant, radiodiffusion |
A travaillé pour |
ABC News ( - Central Intelligence Agency (jusqu'en ) Deloitte |
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Condamné pour |
Intelligence Identities Protection Act (en) |
Distinction |
John Kiriakou, né le à Sharon en Pennsylvanie, étudie les affaires du Moyen-Orient et le droit à l'université George Washington et est recruté par un de ses professeurs pour intégrer la CIA, comme analyste et enquêteur du Comité sénatorial chargé des affaires étrangères. Il est un ancien consultant sur le sujet du contre-terrorisme d'ABC News et du Huffington Post[1],[2]. Depuis 2021, il travaille à Sputnik (agence de presse) comme animateur d'émission de radio : Political Misfits[3].
Biographie
[modifier | modifier le code]Il est spécialement connu pour avoir ouvertement discuté la torture fait par le CIA pendant la guerre en terreur. Après que discuté ces faits, il a été accusé pour avoir révélé le nom d'un ancien agent des services de renseignement américains et pour avoir révélé des informations classifiées concernant l'usage de la torture par l'administration Bush durant la guerre d'Irak et la guerre d'Afghanistan. Kirakou a fait un accord de plaidoyer sur des accusations, suivant: Sur le fondement de l'Espionage Act de 1917, utilisé de manière rarissime, Kiriakou a été condamné le pour avoir divulgué au New York Times le nom d'un agent secret de la CIA[4],[5] à la peine de 30 mois d'emprisonnement à l'issue d'un procès hyper médiatisé[6]. Il se considère comme un lanceur d'alerte. L'accord de plaidoyer a été sous l'égide l'Intelligence Identities Protection Act de 1982.
Le , le New-York Times rapporte qu’un associé de l’avocat Rudy Giuliani aurait réclamé 2 millions de dollars à John Kiriakou afin de lui obtenir une grâce présidentielle de Donald Trump destinée à lui permettre d’accéder à sa pension annuelle et d’obtenir le droit de porter une arme. Il n’aurait pas accepté cette proposition, jugée exorbitante[7].
Article connexe
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- « John Kiriakou », Huffingtonpost.com (consulté le ).
- (en) John Kiriakou et Michael Ruby, The Reluctant Spy : My Secret Life in the CIA's War on Terror, Random House, , 192 p. (ISBN 978-0-553-80737-0, lire en ligne).
- « Yes, I Work for Sputnik News », LAProgressive.com (consulté le )
- Corine Lesnes, « États-Unis : six poursuites au nom de l'Espionage Act de 1917 », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- Michael S. Schmidt, « Ex-Officer for C.I.A. Is Sentenced in Leak Case », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
- « Le whistleblower John Kiriakou, ancien agent de la CIA, condamné à trente mois de prison », sur Télérama, (consulté le ).
- (en) Michael S. Schmidt et Kenneth P. Vogel, « Prospect of Pardons in Final Days Fuels Market to Buy Access to Trump », sur The New York Times, (consulté le ).