Filae
Filae | |
Logotype de Filae | |
Ancien nom | Genealogie.com |
---|---|
Création | |
Forme juridique | Société anonyme à conseil d'administration |
Siège social | Paris, 91 rue Réaumur |
Direction | Toussaint Roze |
Actionnaires | MyHeritage (94,06 %) |
Activité | Edition de logiciels outils de développement et de langages |
Produits | Filae.com |
Société mère | MyHeritage |
Filiales | Archimaine SARL |
Effectif | 10 à 19 ()[1] |
SIREN | 397 824 285 |
Site web | filae.com |
Fonds propres | 7 479 200 € ()[1] |
Chiffre d'affaires | 3 037 700 € ()[1] |
Résultat net | -1 330 200 € ()[1] |
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Le groupe Filae (anciennement Genealogie.com) est une société anonyme à conseil d'administration créateur éponyme d'un site Internet de généalogie proposant une base de données à destination de ses abonnés qui a été racheté en 2021 par MyHeritage. Un abonnement payant est obligatoire pour pouvoir interroger sa base de données.
Historique
[modifier | modifier le code]Genealogie.com
[modifier | modifier le code]Le portail Genealogie.com est d'abord édité par NotreFamille.com. Début 2007 la société entre en bourse[2]. En 2010, le groupe souhaite se lancer dans le secteur de la numérisation d'archives à grande échelle[3], il achète la même année la société Archimaine, spécialisée dans la numérisation, elle y est fondue en tant que filiale[4].
Genealogie.com adopte un nouveau moteur de recherche en 2011[5]. En , le site adopte une nouvelle charte graphique et devient un site web adaptatif[6].
En 2013, à la suite d'un contentieux entre la société NotreFamille.com et le département du Rhône, Genealogie.com obtient l'autorisation de réutiliser gratuitement les archives du département[7],[8].
Début 2015, NotreFamille.com est vendu. Reste Genealogie.com. L'entreprise souhaite se recentrer sur le développement de la généalogie[9],[10].
En , un accord est signé entre Genealogie.com et les archives départementales de Seine-et-Marne pour réutiliser les numérisations d'archives de l'état civil et des recensements de la population du département, et correspond au cinquième accord du genre qui avait été déjà conclu avec le Rhône, la Vendée, la Savoie et les Yvelines[11],[12]. La même année 600 000 pages du Journal officiel sur une période s’étalant de 1869 à 1931 sont entièrement indexées et ajoutées au site[13].
Filae
[modifier | modifier le code]2016-2021 : succès et développement
[modifier | modifier le code]L'année 2016 est l'occasion d'une refonte totale du site avec, en décembre, la mise en ligne de l'indexation de la quasi-totalité de l'état civil du XIXe siècle soit 100 millions d'actes d'état civil[14],[15],[16]. La même année Généalogie.com adopte le nouveau nom de Filae, avec Stéphane Bern pour ambassadeur du nouveau portail[17],[18]. L'entreprise avait alors profité de l'absence de mise en conformité des archives départementales avec la loi Valter pour réutiliser les données numérisées des départements à des fins commerciales. L’association des archivistes français oppose des problèmes de nature éthique et légale[19].
Le nouveau positionnement du site permet en 2017 une progression de 26 % du chiffre d’affaires par rapport à l'année précédente et un quasi-doublement du nombre de ses abonnés[20].
Le , le président-directeur général de Geneanet, Jacques Le Marois, est présent à l'assemblée générale de Filae, représentant Trudaine Participations, qui a acquis 25 % du capital de Filae, elle-même détenue à plus de 30 % par Geneanet[21],[22].
Le site s'enrichit régulièrement de plusieurs bases nominatives, en 2017 avec l’arrivée notamment du recensement de population de 1906[23], en 2018 avec le fonds de l'étude généalogique Andriveau[24],[25], les registres d’état civil européen de l’Algérie[26] et les recensements de population de 1872[27]. En 2019 des cartes de combattants des Hautes-Alpes sont ajoutées au site[28]. Le site établit également des conventions avec des associations de généalogie pour augmenter sa base de données[29].
En , la filiale Archimaine, société spécialisée dans la numérisation est revendue par Filae à Hyxis pour 700 000 €[4].
Depuis le début de l'année 2019, le site entame l'indexation des registres paroissiaux du XVIIIe siècle département par département ; il intègre à ses bases de données dans un premier temps l'Aveyron, l'Indre, la Marne et le Pas-de-Calais puis l'Aube, le Tarn-et-Garonne, le Cher et l'Aude[17],[30],[31].
Dans le cadre de deux contrats conclus le , Filae emprunte 2,5 millions d'euros via le fonds d'investissement Vatel Capital, sous la forme d'obligations convertibles en actions soit 312 500 obligations au total[17],[32].
2021 : rachat par MyHeritage
[modifier | modifier le code]Le 21 janvier 2021, Filae annonce dans un communiqué, être entré en négociations exclusives avec l'israélien MyHeritage, en vue de leur rapprochement soit par le rachat d'au moins 90 % du capital et des droits de vote soit, par la vente des actifs constituant ses activités à MyHeritage. Trudaine Participations, filiale de Geneanet, annonce le 22 janvier 2021, son intention de déposer une OPA sur l’ensemble des titres Filae avec pour objectif le franchissement du seuil de 50 % des droits de vote ou des actions avec, en cas de succès, une offre commune aux abonnés Premium de Filae et Geneanet[33],[34],[35].
Le 21 mai 2021, à la suite de l'assemblée générale des actionnaires de Filae, cette dernière vote, à 53,5 % des votes représentant 52,7 % des droits de vote, la vente des activités de filae.com au site concurrent MyHeritage. La cession des actifs de Filae.com interviendra donc d'ici fin 2021 et ne seront donc pas rapprochés de Geneanet qui avait émis une offre concurrente[36].
Le 2 août 2021, MyHeritage acquiert Filae après avoir signé un accord avec Geneanet et Trudaine Participations afin de mettre fin à une situation de blocage de plusieurs mois, ainsi Trudaine Participations et Geneanet renoncent au projet d'OPA et décident de ne pas s’aligner ni de surenchérir sur le prix proposé par MyHeritage dans le cadre de sa dernière offre remise à Filae et cèdent l’intégralité de leurs actions, respectivement 489 075 et 221 707 actions Filae au groupe MyHeritage au prix de 20,75 € par action. Le groupe MyHeritage conclut également le même jour un accord avec les fondateurs et actionnaires historiques de Filae, dont Toussaint Roze, aux termes duquel ces derniers cèdent un nombre d’actions Filae représentant 47,83% du capital social de Filae au prix de 20 € par action Filae. À l’issue des deux opérations, MyHeritage détient 90,91% du capital de Filae[37],[38].
Description
[modifier | modifier le code]Le nombre d'abonnés est établi à 44 000 en [39], puis 49 263 au [40]. L'objectif déclaré en 2018 était d'atteindre les 100 000 abonnés en trois ans[41].
Fonctionnalités
[modifier | modifier le code]Bases nominatives avec archives
[modifier | modifier le code]- Registres d'état civil français du XIXe siècle : théoriquement toute la France sauf le Gard, le Gers, le Jura, et les Hautes-Pyrénées (250 millions d’individus environ)
- Registres paroissiaux du XVIIIe siècle, 40 départements (75 millions d'individus)[42] :
- Ain[43], Allier[44], Aube[45], Aude[46], Aveyron[45], Calvados[47], Cher[30], Gironde, Indre[45], Indre-et-Loire[48], Jura, Loir-et-Cher[49], Haute-Loire[45], Loire-Atlantique[50], Loiret, Marne[45], Haute-Marne[50], Mayenne[42], Meuse[43], Moselle[51], Nord, Nièvre[48], Pas-de-Calais[49], Puy-de-Dôme[49], Pyrénées-Atlantiques[52], Hautes-Pyrénées[53], Rhône, Saône-et-Loire[49], Seine-Maritime[54], Tarn-et-Garonne[30], Var[45], Vaucluse[54], Vienne[52], Vosges[52], Val-de-Marne[52], Val d'Oise[47], Guadeloupe[55], Martinique[55], Guyane[42], La Réunion[42].
- Registres d'état civil européen de l’Algérie 1830-1904 (1,4 million d’individus environ)[56]
- Recensement de population de 1872 (16 millions d’individus)[57]
- Recensement de population de 1906 (20 millions d’individus)[58]
- Fonds Andriveau, fiches d'état civil des actes de mariage de Paris, entre 1613 et 1805 du fonds Andriveau (2,6 millions d'individus)[59]
- Engagés volontaires étrangers en 1939-1940 au sein de la Légion étrangère et dans des unités régulières (57 000 individus)
Bases nominatives sur la Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]- Soldats de la Grande Guerre (177 000 combattants)[60]
- Tableau d'honneur de la Grande Guerre (19 000 soldats cités à l’ordre de l’armée, décorés de la médaille militaire ou de la Légion d’honneur)
- Soldats distingués (144 000 soldats et officiers cités à l'ordre de l'armée ou décorés)
- Soldats français prisonniers (475 000)
- Victimes en Ile-de-France (62 200 vicitimes)
- Victimes civiles en Normandie (34 600 individus)
- Victimes dans les anciennes colonies (10 300 individus)
- Belges morts pour la patrie (44 000 militaires et civils)
- Non-morts pour la France (97 000 militaires)
- Réfugiés de l'Est de la France en Haute-Savoie (13 000 individus)
- Populations déplacées (135 600 individus)
- Soldats belges décédés et décorés (104 500 militaires)
- Morts pour la France (1 424 300 militaires)
Affaires juridiques
[modifier | modifier le code]La société NotreFamille.com a par le passé souhaité obtenir de chaque service d'archives départementales la possibilité de réutiliser leurs fonds d'intérêt généalogique par la communication d'images numériques d'état civil et de recensements avec pour objectif l'indexation pour chaque département de l'intégralité de ces sources généalogiques. Certaines archives départementales ayant refusé les demandes de réutilisation commerciales formulées par la société, celle-ci a saisi à plusieurs reprises les tribunaux administratifs notamment contre les archives de la Vendée, du Rhône, de la Savoie et des Yvelines[61], qui ont abondé dans le sens de la société.
Victoires juridiques
[modifier | modifier le code]Contre les archives départementales du Rhône :
- En 2011, l'entreprise de généalogie conteste devant la CADA les tarifs que lui propose le Rhône pour réutiliser commercialement ses archives. Le dernier, la commission rend un avis en faveur de l'entreprise. Le , le département était déjà visé par un avis négatif de la CADA saisie, la commission avait estimé que le refus de communication des recensements n'était pas justifié[62]. En 2012, le département du Rhône opère un revirement total et consent à une réutilisation gratuite[7].
SIAF contre Filae, question des licences et les tarifs de réutilisation :
- En 2016, le Service interministériel des archives de France, le Conseil supérieur des Archives et les services départementaux d'archives n'apprécient pas la méthode de réutilisation en ligne par Filae des archives de l'état civil du XIXe siècle. Le SIAF saisit alors la CADA en urgence, la commission rend un avis afin de savoir si les licences et les tarifs de réutilisation établis par les archives étaient encore valides et formule une réponse nuancée, ainsi les licences ne sont valables que partiellement, cependant l'obligation d'obtenir une licence est réaffirmée[63]. L'entreprise réaffirme ensuite son souhait de signer des licences avec les archives[19],[64],[65].
Défaites judiciaires
[modifier | modifier le code]Contre les archives départementales du Cantal :
- Le , NotreFamille.com formule sa demande de réutilisation commerciale des cahiers de recensements de 1831 à 1931 numérisés au département du Cantal. Dans un jugement du , le tribunal administratif donne raison à la société commerciale[66]. Le , la CNIL donne son aval au transfert des documents d’archives publiques contenant des données à caractère personnel vers Madagascar et l’île Maurice pour un travail d'indexation, objet d'un litige avec le Cantal[67]. Le , la Cour administrative d'appel annule le jugement du Tribunal administratif de Clermont-Ferrand en vertu de quoi, NotreFamille.com n'avait pas l'accord de la CNIL au moment de sa demande[68].
Contre les archives départementales de la Vienne :
- En 2009, NotreFamille.com se tourne devant le tribunal administratif après le refus des archives de la Vienne de sa demande de réutilisation. Le tribunal administratif de Poitiers rejette la requête de l'entreprise en première instance[69]. Le , la cour administrative d'appel de Bordeaux dans sa décision rendue en appel reconnait aux archives de la Vienne le droit de fixer les conditions de la réutilisation, voire de l'interdire s’agissant d'une base de données[61],[70].
Identité visuelle
[modifier | modifier le code]Logos
[modifier | modifier le code]-
Ancien logo de notrefamille.com
-
Logo de notrefamille.com jusqu'en 2015
-
Ancien logo de généalogie.com
-
Logo de généalogie.com jusqu'en 2016
-
Logo de filae depuis 2016
Géopatronyme
[modifier | modifier le code]Élaboré à partir du fichier Insee des communes de naissances, Géopatronyme est un site web commercial qui recense 1 329 359 patronymes. Depuis 2023, le service appartient à la société Filae et a changé de nom et d'adresse[71],[72].
Le site se limite au seul territoire actuel de la France, et pour chaque patronyme, une répartition par départements y figure dans une période donnée[73],[72].
Sources des données
[modifier | modifier le code]Les entrées de ce site généalogique sont fondées sur les données du répertoire national d'identification des personnes physiques (RNIPP), un fichier de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), afin de dresser une base de données de naissances par nom de famille (patronyme), par lieu et par période de temps[74],[75],[72].
Ces données sont en relation avec les opérations d'immatriculation à la Sécurité sociale entreprises au lendemain de la Seconde Guerre mondiale effectuées sous les auspices de l'Insee (voir « Numéro de sécurité sociale ») : la naissance de certaines personnes jamais assujetties à la Sécurité sociale peut ne pas être répertoriée.
Présentation des résultats
[modifier | modifier le code]Pour chaque patronyme de la base de données, les statistiques donnent le nombre de naissances selon deux critères à la fois :
- pour quatre périodes de 25 ans (1891-1915, 1916-1940, 1941-1965 et 1966-1990) ;
- par lieu, essentiellement par département français, graphiquement avec une carte de France des départements, et un tableau des départements classés par ordre décroissant du nombre de naissances pour le patronyme (en cliquant sur un nom de département on obtient une liste des communes triée par ordre d'effectif, qui n'est pas affiché)[72],[73].
Antécédents
[modifier | modifier le code]Avant Internet, des données similaires étaient consultables, déjà sous le nom Géopatronyme, sur une borne présente au Centre Pompidou à Paris. Conçu pour l’exposition Parlez-vous français ? (11 février - 8 juin 1987) à la Galerie de la BPI, Bibliothèque publique d'information, ce logiciel était constitué à partir des 200 000 particuliers présents plus de dix fois dans l’annuaire du téléphone de 1986. Il est resté à la disposition du public jusqu’en janvier 2000[76],[77].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Géopatronyme » (voir la liste des auteurs).
- Identité de l'entreprise Filae et renseignements juridiques.
- Guillaume de Morant, « NotreFamille.com entre en bourse », sur Un peu de généalogie dans ce monde de brutes..., (consulté le ).
- Charles Hervis, « NotreFamille.com et le grand emprunt : "Nous ne confisquons rien" », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Archimaine revendu par Filae à Hyxis », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Genealogie.com adopte un nouveau moteur de recherche », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Genealogie.com adopte une nouvelle charte graphique », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « L'état civil et les recensements du Rhône bientôt sur Genealogie.com », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « L'état civil du Rhône indexé arrive sur Genealogie.com », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Charles Hervis, « NotreFamille.com se recentre sur l'e-commerce et la généalogie », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- « NotreFamille.com cède son activité média au groupe Bayard Presse | Offremedia », sur www.offremedia.com (consulté le ).
- Bruno Texier, « Genealogie.com signe un accord avec les Archives départementales de Seine-et-Marne », sur Archimag, (consulté le ).
- Christine Ducros, « Généalogie : partir mieux armé à la recherche de ses ancêtres », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Genealogie.com numérise le Journal officiel », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Filae révolutionne la généalogie sur Internet », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- « Video. Filae: "avec un simple nom de famille vous pouvez retrouver vos ancêtres" selon son fondateur », sur Franceinfo, (consulté le ).
- « Filae.com, le site qui fait de la généalogie un jeu d'enfant », sur RTL.fr (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Filae emprunte 2,5 M€ pour multiplier les projets généalogiques », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- « Généalogie : le site Filae vous aide à retrouver vos ancêtres », sur LCI (consulté le ).
- Pierre-Alexandre Conte, « Archives : « L'affaire Filae », du besoin de repenser la politique de diffusion des données culturelles », sur La Gazette des Communes, (consulté le ).
- « FILAE : quasi-doublement de la base d’abonnés en 2017 », sur Capital.fr, (consulté le ).
- « Filae : Trudaine Participations est entré au capital à hauteur de 25 % », sur Capital.fr, (consulté le ).
- Charles Hervis, « Vers un rapprochement entre Filae et Geneanet ? », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
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- Marc Payet, « Généalogie : Filae met en ligne les archives des Parisiens détruites en 1871 », sur leparisien.fr, (consulté le ).
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- Guillaume de Morant, « Les registres d’état civil européen de l’Algérie 1830-1904 sont sur Filae », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
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- Zone Bourse, « FILAE : vise les 100 000 abonnés actifs à un horizon de 3 ans | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le ).
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- La Revue française de Généalogie, « Les actes paroissiaux du Var indexés et mis en ligne par Filae », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
- La Revue française de Généalogie, « Nouveau sur Filae, les registres paroissiaux de l'Aude indexés », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
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- La Revue française de Généalogie, « Filae indexe la Loire-Atlantique et la Haute-Marne du XVIIIe », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
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- La Revue française de Généalogie, « Filae a indexé les registres paroissiaux des Vosges », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
- La Revue française de Généalogie, « Finistère, Hautes-Pyrénées, Meuse : l'état civil a le vent en poupe chez Filae », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
- La Revue française de Généalogie, « Seine-Maritime, Vaucluse, Filae poursuit ses indexations du XVIIIe siècle », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
- « Quels registres paroissiaux sont disponibles sur Filae ? », sur assistance.filae.com (consulté le ).
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- La Revue française de Généalogie, « Filae : accès gratuit aux documents de la Première Guerre mondiale », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « NotreFamille perd en appel contre le département de la Vienne », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « La Cada donne une nouvelle fois raison à NotreFamille.com », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « La CADA impose la signature de licences à Filae », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Filae à la recherche de solutions "consensuelles et amiables" », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- calimaq, « Une énorme faille dans la loi Valter sur les données culturelles ? », sur - S.I.Lex -, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Recours gagnant pour NotreFamille.com contre le Cantal », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « Open-data : l'Europe discute de la réutilisation des archives », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Charles Hervis, « Appel gagnant pour les Archives du Cantal », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Guillaume de Morant, « NotreFamille bien placée pour l'emporter contre la Vienne », sur La revue française de Généalogie, (consulté le ).
- Vincent Buche, « Vos ancêtres bientôt en vente ? », La Nouvelle République, (lire en ligne, consulté le ).
- Bruno Texier, « Le site Geopatronyme change de nom et d'adresse », Archimag, (lire en ligne )
- Pierre-Valéry Archassal, « Tout Geopatronyme dans Filae, en mieux », La Revue française de généalogie, (lire en ligne )
- Bruno Texier, « Le site Geopatronyme change de nom et d'adresse », Archimag, (lire en ligne, consulté le ).
- Fanch Le Pivert, « Le Top 50 des noms de famille les plus répandus en Bretagne », sur actu.fr, .
- Rédaction Marseille, « Quels sont les noms de famille les plus répandus dans les Bouches-du-Rhône ? », sur actu.fr, .
- CNIL, chap. 2 Section2 « Les nouvelles technologies et les problèmes socioculturels - II. L'utilisation de l'annuaire électronique à des fins culturelles », dans 8e Rapport au président de la République et au Parlement 1987, La Documentation française, (lire en ligne [PDF]), p. 60.
- CNIL, « Annexe 29 - Délibération no 87-113 du 1er décembre 1987, portant avis sur la demande d'avis no 105.493 présentée par la Bibliothèque publique d'information du Centre Georges-Pompidou relative au système « Géopatronyme » », dans 8e Rapport au président de la République et au Parlement 1987, La Documentation française, (lire en ligne [PDF]), p. 60.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Guillaume de Morant, Genealogie.com mode d'emploi, Paris, Archives & culture, coll. « Guides de généalogie », , 80 p. (ISBN 978-2-35077-206-6 et 2350772063, OCLC 780286416, lire en ligne)
- Guillerm, Yann., Trouver ses ancêtres sur internet : Filae.com, Paris, Archives et Culture, coll. « Guides de généalogie », , 63 p. (ISBN 978-2-35077-314-8 et 2350773140, OCLC 1029742161, lire en ligne)
Liens externes
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