Discussion:Tournay-sur-Odon

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Je souhaite avoir des documents sur un de mes ancêtres nommé :DELAUNEY EUGENE EDMOND né dans votre commune le 29 Janvier 1889 Merci Mon adresse:Jean louis Delauney les bibles 26120Chabeuil

Les références à Wagner et au mouvement préraphaélite sont-elles vérifiées ?[modifier le code]

Je ne trouve aucune trace de la référence à Tournay sur Odon dans le livret de Parsifal (notamment sur http://www.rwagner.net). Quelqu'un peut-il confirmer ou infirmer ?

Idem, je ne trouve aucune trace d'un "Guillhem de Lysée" (ni Guillaume, William, Guilhem...".

Quelqu'un a-t-il vérifié ces informations ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Paul.boyer (discuter), le 24 novembre 2010 à 17:40 UTC

Je me souviens avoir été très dubutatif sur cette partie de l'article, sans avoir eu le temps, semble-t-il, d'approfondir la recherche. Ces contributions ont été apportées par une IP en 2008 et il semble vain de vouloir demander des explications. Je pense qu'on est assez clairement dans le cas 13 (voire 14) décrit dans le modèle {{Référence nécessaire}} et j'en applique donc la recommandation. Cordialement, ---- Ikmo-ned (discuter avec) 24 novembre 2010 à 18:58 (CET)[répondre]

Texte retiré de l'article :


Dans son opéra "Parsifal", Richard Wagner fait allusion aux moins turnistes à travers son personnage Brabant, qui parlant du destin de Grünehlide, lui dit : "Zurück zu den Thürnisten !". Cette phrase légendaire a fait date dans l'histoire de la musique et du lien entre clergé et mythes paîens.

Dans le mouvement Préraphaélite, Guillhem de Lysée fait référence à la commune dans un poème de 1819 , écrit à la mort de sa soeur, Francine, et utilise une tournure tout à la fois novatrice (il utilise une prosodie dont les rythmes sont parallèles aux psalmodies Balinaises en vogue à l'époque (voir Debussy Et la lune descend sur le temple qui fut), et aussi traditionnelle, puisqu'il s'inspire de la forme classique du Sonnet.

Ô,Tournay sur Odon, aux âmes solitaires Qui dolamment se terrent dans tes bocages frais. Le chant du vieux clocher de fierté éperdu Parsème de souvenirs le vert de l'herbe nue.

Combien tes bacchanales aux ivresses sanglantes Ont marqué de leur cris ton sol épouvanté Que les vierges d'été dans leur cheveux de blé Ont roulé de désir comme juments fringuantes.

Plus jamais, mon village, je ne te laisserai Tes lilas et tes rocs, tes ruines solitaires Ton ruisseau bondissant sous la blanche lumière

Je reviendrai,promis, les bras tout entrouverts Sous la lune de nacre et vers tes jolis vallons Embrasser tout de feu l'herbe des mamellons.