Discussion:Prostate

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Prostate féminine ?[modifier le code]

J'ignorais tout de cette prostate féminine...

« Pour en savoir plus sur la prostate féminine, il y a le livre Plaisir Féminin : une méthode pour éveiller ou retrouver le plaisir, de Marie-Claude Benattar, éd. J. Lyon. »[1]

Voir aussi le schéma "3D Diagram of Female Prostate Gland" sur : http://www.3dvulva.com/

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Bertrand Nantes (discuter), le 2 octobre 2008 à 20:53‎

Incohérence avec article connexe ?[modifier le code]

Dans cet article au paragraphe Cancer de la prostate on peut lire :

En France, le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme de plus de 55 ans, après le cancer du côlon (plus de 60 000 nouveaux cas en 2005

alors que dans l'article sur le Cancer du côlon on peut lire :

C'est [...] le troisième [cancer] chez l'homme (après le cancer du poumon et celui de la prostate)

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 80.11.131.246 (discuter), le 25 juin 2012 à 16:49‎

prostate féminine[modifier le code]

Le terme prostate est reconnu comme applicable à l'anatomie de la femme (en précisant néanmoins "prostate féminine")

réf, je cite : [1]

Reinier de Graaf, physiologisteet histologiste allemand, fut le premier à décire la prostate féminine, à lui attribuer ce terme et à essayer de déterminer la fonction de cet organe. La description qu’en fit le gynécologue Américain Alexander J.C. Skene fut l’objet d’un grand débat qui fit passer au second plan les élégantes études d’Huffman. Au début du xxe siècle, la prostate féminine, référencée sous le nom de "glandes et canaux de Skène", passe pour un vestige sans importance pour la vie de la femme.

La présence de PSA et de paramètres structuraux fonctionnels, ainsi qu’une pathologie, identique à celle de l’homme, mettent en évidence qu’il s’agit bien d’un équivalent prostatique chez la femme.

En 2001 le FICAT* a accepté le terme de prostate et la 4e édition de la terminologie histologique la cite comme telle.

Les recherches contemporaines montrent que la prostate de la femme a un poids du 1/5 au 1/4 de celle de l’homme adulte, elle est située dans la paroi de l’urètre et, malgré un espace limité, elle possède un équipement cellulaire muni d’un fonctionnement exocrine (fluide prostatique féminin), et neuroendocrine. Par ailleurs, on retrouve les mêmes types et structures cellulaires que dans la prostate de l’homme, avec les mêmes fonctions. L’auteur conclut que cela implique d’abandonner le terme de glandes de Skène, car le terme de prostate féminine est pleinement justifié. La décision du FICAT qui introduit le terme de prostata feminina respecte les nouvelles données de la recherche. Sylveno (discuter) 21 mai 2016 à 17:44 (CEST)[répondre]

70 nouveaux cas par an ?[modifier le code]

Ce n'est pas beaucoup !

Corrigé. Merci de votre vigilance. Nguyenld (discuter) 18 juin 2017 à 17:11 (CEST)[répondre]

Prostate et plaisir sexuel[modifier le code]

Rien sur le plaisir sexuel que peut procurer la prostate ? Il y a pourtant des sources sur le sujet. Je ne connais que Victoire Tuaillon, Les Couilles sur la table, Paris, Binge audio éditions, p. 201-202, mais il doit y en avoir d'autres.--Eunostos|discuter 22 octobre 2021 à 08:42 (CEST)[répondre]