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Discussion:Microbiote vaginal humain

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Bonjour @Mirmillon, et merci pour vos apports. Sur le passage concernant L. iners, il y a je pense un problème d'interprétation ou de restitution de ce qui est dit dans les sources :

L. iners est  associée à la maladie[1],[2]. Il est trouvé chez les femmes présentant des troubles de l’environnement microbien vaginal causés par le virus de l'immunodéficience humaine, le papillomavirus et l'herpès-2 [3],[4].
  1. Le première dit que les microbiotes à composantes majoritaires autres que Lactillus, mais incluant L. iners sont plus sensibles aux infections, pas que L. iners est associée à la maladie.
  2. Je n'ai pas accès au détail, mais semble que ce ne soit pas le sujet de cette reprise d'une étude tierce.
  3. Compare des microbiote de type L. crispatus + L. iners à des microbiotes plus diversifiés en autres bactéries : ne permet pas une telle conclusion
  4. Métarevue sur 63 articles : Lactobacillus crispatus is more beneficial than L. iners. Longitudinal studies have shown that a L. crispatus-dominated VMB is more likely to shift to a L. iners-dominated or mixed lactobacilli VMB than to full dysbiosis. Là encore,"accuser" L. iners seule d'être "trouvé chez les femmes présentant des troubles de l’environnement microbien vaginal causés par le virus de l'immunodéficience humaine, le Papillomaviridae|papillomavirus et l'herpès-2 " ne va pas de soi, puisqu'on le trouve aussi chez les autres. J'avais fait une recherche hier pour créer Lactobacillus iners, et je n'ai hélas rien trouvé de consistant à en dire (avec quelquefois des effets contradictoires). Je pense qu'il vaudrait mieux retirer ce passage, l'autre point (moindre risque de HPV avec un microbiote dominé par les lactobacilles) étant largement documenté dans l'article. Pa2chant.bis (discuter) 19 mars 2024 à 12:59 (CET)[répondre]
Bonjour @Pa2chant.bis,
voici la phrase intégrale en langue originale . C'est une phrase d'un article paru sous la même licence que Wikipedia.
L. crispatus appears to be the most protective lactic acid bacterium for host health, but several evidence suggest that L. iners is associated with disease , and L. iners are also found in women with vaginal microbial environment disorders caused by HIV, HPV, and HSV-2.
Concernant L.iners voici un lien https://doi.org/10.1016/j.tim.2016.11.007 qui pourrait vous aider. Ce lactobacille n'a pas le même génome que les autres lactobacilles, la première image de l'article résume bien le "problème" avec L.iners ils est beaucoup moins "stable" .Les articles que j'ai trouvé sur L.iners sont tous à accès payant. Je pense qu'il faut comprendre que L.iners est le Lactobacille qui peut coexister sans problèmes avec les anaérobies donc retrouvés dans des microbiotes déséquilibrés sans pour autant parler de vaginose ce qui souligné par plusieurs articles.
Certains chercheurs trouvent une explication pourquoi le cancer du col est plus fréquent en Afrique car leur microbiote contient mois de Lactobacilles sauf le L.iners. Mais comme vous le soulignez le principal but de cette article n'est pas là comme vous le soulignez bien.
Je suis d'accord pour supprimer la phrase litigieuse. En espérant que j'ai répondu à vos interrogations
Bonne soirée
. Mirmillon (discuter) 20 mars 2024 à 20:06 (CET)[répondre]
Merci pour le document concernant L.iners, qui est malheureusement inutilisable (le résumé en ligne me semble comporter une erreur à son troisième paragraphe, ce qui ne me donne pas envie de l'acheter pour voir le reste).
Pour en revenir au paragraphe contesté, je m'en charge mais pourquoi ne pas avoir retiré pas vous même ?
A noter d'une façon générale qu'utiliser un texte sans le citer, même quand il s'agit d'un texte sous licence CC-BY, est une violation des droits d'auteur. Je pensais en lisant l'article lire une synthèse effectuée par vos soins, il apparait que pour une partie restant à déterminer, ce ne serait qu'une traduction de celui-là ?. Il est nécessaire que vous attribuiez les auteurs à ces passages, pour à la fois respecter les droits d'auteurs, et mieux identifier les passages nécessitant une vigilance accrue, sachant que j'ai repéré d'autres erreurs dansla source. Cela me pose un problème de méthode : que faire de cet article publié sur Frontiers in Microbiology comportant de telles bourdes  ? Certainement pas une confiance aveugle. On peut s'appuyer sur les sources qu'il contient, pour peu qu'il ne s'agisse pas de source primaires, ultérieurement controversées ou formulées sous forme de simples hypothèses. Mais cela nécessite en tout état de cause une réécriture. En attendant merci d'identifier les passages concernés par cette source (ou d'autres si la même méthode a été employée avec d'autres sources). Cdlt, --Pa2chant.bis (discuter) 21 mars 2024 à 12:17 (CET)[répondre]

___________________

  1. (en) H.Y. Oh, B.-S. Kim, S.-S. Seo et J.-S. Kong, « The association of uterine cervical microbiota with an increased risk for cervical intraepithelial neoplasia in Korea », Clinical Microbiology and Infection, vol. 21, no 7,‎ , p. 674.e1–674.e9 (DOI 10.1016/j.cmi.2015.02.026, lire en ligne, consulté le )
  2. (en) Maria Kyrgiou, Anita Mitra et Anna-Barbara Moscicki, « Does the vaginal microbiota play a role in the development of cervical cancer? », Translational Research, vol. 179,‎ , p. 168–182 (PMID 27477083, PMCID PMC5164950, DOI 10.1016/j.trsl.2016.07.004, lire en ligne, consulté le )
  3. (en) Hanneke Borgdorff, Evgeni Tsivtsivadze, Rita Verhelst et Massimo Marzorati, « Lactobacillus -dominated cervicovaginal microbiota associated with reduced HIV/STI prevalence and genital HIV viral load in African women », The ISME Journal, vol. 8, no 9,‎ , p. 1781–1793 (ISSN 1751-7362 et 1751-7370, PMID 24599071, PMCID PMC4139719, DOI 10.1038/ismej.2014.26, lire en ligne, consulté le )
  4. (en) Janneke H. H. M. van de Wijgert, Hanneke Borgdorff, Rita Verhelst et Tania Crucitti, « The Vaginal Microbiota: What Have We Learned after a Decade of Molecular Characterization? », PLoS ONE, vol. 9, no 8,‎ , e105998 (ISSN 1932-6203, PMID 25148517, PMCID PMC4141851, DOI 10.1371/journal.pone.0105998, lire en ligne, consulté le )