Discussion:Léon XIII

Paragraphes déplacés depuis l'article

J'ai déplacé depuis l'articles les paragraphes suivants qui me semblent non-neutres, insuffisamment étayés et pour tout dire, très « théorie du complot ». Jastrow | ✍ 29 nov 2004 à 08:06 (CET)

Cette splendide verve théorique visant à mettre en garde son troupeau contre la duplicité des Fils de la Veuve ne l'empêcha malheureusement pas de se laisser abuser lui-même, puisque son plus intime conseiller fut le cardinal Rampolla, dont les travaux de Monseigneur Jouin amenèrent la preuve, en 1908, qu'il était lui-même Franc-Maçon de haut grade, membre de l'O.T.O (Ordre du Temple Oriental - Ordo Templi Orientis) et Grand Maitre du 33e degré dans cet ordre "ésotérique":

C'est ce Rampolla qui, à partir de 1888, orienta la politique de Léon XIII, parvenant à sécuriser les manoeuvres politiques de la Franc-Maçonnerie, principalement en France lorsque Léon XIII commanda aux catholiques de se rallier à la République au moment même où la restauration devenait possible: Ainsi, c'est grâce à ce pape que les institutions maçonniques furent définitivement confortées, alors qu'il se voulait un ennemi sincère de la F.M: C'est assez dire la puissance dialectique dont disposait le prodigieux Rampolla! Cela montre également la faiblesse intrinsèque de l'innocent face au cynique...

Il faudrait nommer la "Rerum novarum", au moins.

Léon XIII un pape franciscain ?

J'ai entendu (d'une source non sure) que Léon XIII aurait été du tiers-ordre de Saint François appelée aujourd'hui fraternité franciscaine séculiaire ou Ordre Franciscain Séculier (OFS). Quelqu'un en aurait-il entendu parler et pourrait confirmer ou affirmer cela. Merci--~~ Renardeau ~~ 29 janvier 2007 à 22:02 (CET)

Réponse reçue sur WIKITAU.org

Bonjour Renardeau.- Oui il est assuré que Léon XIII était "tertiaire de St François", puisqu'il l'a affirmé lui-même dans son encyclique Auspicato concessum du 17/9/1882, écrite pour le 7è centenaire de la naissance de François et promouvoir le TO dans toute l'Eglise. Voici son témoignage persoinnel :

"Certainement, plus que tout autre, nous approuvons le zèle de dévotion pour un objet aussi excellent. Spécialement parce que nous avons été habitué dès notre jeunesse à admirer François d'Assise et à lui acorder une spéciale vénération. En effet nous nous glorifions d'avoir été enrôlé dans la famille franciscaine ; c'est pourquoi, plus d'une fois, nous avons par dévotion, avec ardeur et joie gravi les hauteurs de l'Alverne. Là l'image de ce grand homme se présentait elle-même à nous chaque fois que nous y étions, et cette solitude fertile de sa mémoire tenait notre esprit ravi dans une silencieuse contemplation..." Jean-marc 30 jan 2007 à 09:13 (CET)

Pie X et Léon XIII

J'ai supprimé ce mensonge qui n'a pas pour but d'instruire mais de dénigrer:

"Léon XIII sut répéter les mêmes idées dans des encycliques longues et savantes que peu de gens lisaient jusqu’au bout et dont le public ne connaissait que les résumés qu’on lui en présentait. Pie X lui-même, sorte de curé de campagne hissé sur la chaire de saint Pierre, se sentait écrasé par la culture de son prédécesseur, et dans ses encycliques ne cessait de le citer."

Vous pouviez mettre ici vos observations et attendre qu'on y ait répondu. Mais non : vous modifiez tout de suite après un jugement méprisant (et vous parlez de dénigrement !). L'origine très modeste de Pie X est pourtant de notoriété publique et il succédait au comte Pecci dont la culture était très vaste. J'ai chez moi un recueil d'encycliques de Pie X, il ne cesse de citer Léon XIII ; il est vrai que c'est assez courant chez les papes de s'appuyer sur leurs prédécesseurs, mais Pie X le fait à un point qui frappe.

Il est remarquable que Pie X, qui avait eu beaucoup de mal à apprendre le latin, se soit montré au contraire très favorable à l'espéranto quand on le lui a présenté (je ne sais pas ce qu'aurait dit Léon XIII). Alors qu'au premier congrès universel d'espéranto l'évêque avait refusé qu'on préchât dans cette langue à la messe célébrée pour les congressistes catholiques, dès le second (à Genève si je me rappelle) l'évêque s'est empressé de donner la permission sachant la position du pape. Il faut discuter avant de modifier dédaigneusement. Gustave G. 20 juillet 2007 à 13:33 (CEST)

Sur la comparaison de Pie X et d'un curé de campagne, je vous renvoie à des sites catholiques: 1 écrit: « parvenu à l'épiscopat – charge qu'il redoute – il se définit encore comme un "curé de campagne" » ; nous lisons dans 2 : « Beaucoup d’entre aux voient en lui, au mieux, un homme du XXIe dépassé par l’émergence d’un monde nouveau, au pire un excellent curé de campagne ayant atteint son niveau d’incompétence en devenant pape ! » (ils ne sont pas d'accord avec cette opinion mais reconnaissent qu'elle est très répandue, même chez les catholiques) ; dans 3 on précise : « l'élection surprise du patriarche de Venise, Giuseppe Sarto (68 ans), un ancien curé de campagne qui ne parle d'autre langue vivante que l'italien ». Je vous signale également que le retrait d'une affirmation tendancieuse a été fait à me demande, ce qui montre que je n'avais pas l'intention de dénigrer mais d'informer. Gustave G. 20 juillet 2007 à 13:52 (CEST)

Et ça recommence

Le 25 février 2008 à 01:23, l'I.P. 90.39.12.24 s'est amusée à mettre des {{refnec}} sur toute la section Le « libéralisme » de Léon XIII (voir ici). Pour montrer le sérieux avec laquelle elle a travaillé, je signale qu'elle en a profité pour supprimer l'expression « sorte de curé de campagne hissé sur la chaire de saint Pierre ». Or j'avais justement montré sur cette page (voir ci-dessus)que cette idée se retrouve sur plusieurs sites catholiques. Mais quand on ne sait pas lire… Gustave G. (d) 21 juin 2008 à 06:48 (CEST)

Au sujet d'une citation

L'article contient cette citation :

"« Eh bien, puisqu'ils sont inconvertissables (en parlant des républicains), il n'y a plus qu'une chose à faire : les renverser. La France reviendra aux traditions de saint Louis, ou elle périra dans la honte et la ruine". 21 avril 1903. »^{[réf. souhaitée]}"

On dirait que c'est la juxtaposition de deux citations différentes.

D'après le Marquis de la Franquerie, La mission divine de la France, 5^e édition, 1955 (en ligne), Léon XIII aurait dit en 1902 à propos des dirigeants républicains : «Eh bien ! puisqu'ils sont inconvertissables, il n'y a plus qu'une chose à faire : les renverser !» Le Marquis de la Franquerie donne comme référence pour cette citation : "Le Bloc Catholique", n° de juillet 1914 : La question politique française, p. 251.

Ensuite, la Franquerie dit que le 21 avril 1903, Léon XIII a dit devant six cents Français :

«La France reviendra aux traditions de saint Louis, ou elle périra dans la honte et la ruine». Ici, la Franquerie ne donne pas de référence. Marvoir (d) 24 novembre 2010 à 18:25 (CET)

Archives lefigaro

Petit article sur le carême du temps de Léon XIII [1] Olivier LPB (discuter) 16 avril 2017 à 00:48 (CEST)