Discussion:Harmonices Mundi

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Harmonices Mundi: Changer le nom d'abord.91.92.179.156 8 octobre 2007 à 19:08 (CEST)[répondre]

Ce qui peut être sauvé de ce texte devrait être refondu dans l' article Harmonie des sphères. Ici on essaierait d'écrire sur le livre de Kepler.91.92.179.172 (d) 28 décembre 2010 à 10:48 (CET)[répondre]

Bonjour, est-il possible de corriger le titre? c'est Harmonices mundi et non pas Harmonice mundi

ineptie ou : tout est faux[modifier le code]

Comment est-ce possible d'affirmer : d'écrire sans référence de telles balivernes ? : La seule raison : le rédacteur n'est ni musicien, ni compositeur, ni acousticien, ni physicien :

1. « L'harmonie part d'une constatation simple, musicale. Lorsque deux sons harmonieux sont combinés, ils se mélangent et le son devient plus fort (notion de consonance qui aboutira au concept d'accord). Lorsque 2 sons non harmonieux sont combinés, ils ont tendance à s'annihiler (notion de dissonance). » Non, la consonance ne donne pas « un son plus fort » (sic). On parle d'amplitude (et non « de son + fort ») qui double quand 2 sons avec une même fréquence sont joués en même temps. 2 fréquences différentes jouées ensemble ne s'amplifient pas.

2. « notion de consonance qui aboutira au concept d'accord » est une affirmation fausse. La querelle consonance contre dissonance débute à la Renaissance avec l'intervalle : « diabolus in musica » : la quarte augmentée ou la quinte diminuée qui se situe à l'exacte moitié de l'octave. Cette querelle revient au goût du jour, alors que la théorie musicale l'a définitivement quitté en 1908. Aujourd'hui, nous sommes dans des champs pluriscalaires.

3. « Lorsque 2 sons non harmonieux sont combinés, ils ont tendance à s'annihiler (notion de dissonance) » est aussi complètement faux, car dans le cas contraire si les sons s'annulent, il n'y aurait pas d'audibilité de ces « dissonances ». Théoriquement 2 sons opposés s'annulent est une spéculation mathématique + - = 0 qui ne se retrouve pas dans le réel du monde vibratoire. On appelle ça « une opposition de phase », le son reste audible, il n'est pas dissonant. La notion de consonance/dissonance est une quelle morale de ce qui doit être accepté et inacceptable. Cette querelle, c'est l'Eglise qui l'a commencé au XVIe siècle et c'est intensifiée jusqu'aujourd'hui où des idiots prétendent que la « musique classique » est la seule musique savante acceptable et que tout l'apport du XXe siècle doit être ignoré. La notion « d'harmonie des sphères » est un argument (sans en être un) pour « combattre la musique savante vivante » (sic).

4. « L'analyse de Fourrier a expliqué les raisons des harmoniques. » Est faux. « La raison des harmoniques » il ne la sait pas. Ce que Fourier a calculé est que tout son produit par un instrument de musique occidental du XIXe siècle (sauf les cloches) se décompose en un ensemble de sinusoïdes multiples les unes des autres. Ce qui n'est pas la réalité même, mais s'en rapproche.

5. « L'équation des cordes vibrantes les modélise bien. » Est une affirmation maladroite et fausse. Une équation n'est pas suffisante pour modéliser un son de corde : il suffit de se référer à la synthèse par modélisation physique

6. « En fonction des contraintes extérieures, une corde s'auto-ajuste (de même qu'une membrane). » Cette affirmation ne veut rien dire « s'auto-ajuste » ? L'amplitude de la résonance d'une corde ou d'une membrane s’atténue dans le temps, si le son n'est pas étouffé.

.7 « Quelle que soit la tension qu'on applique à ses extrémités, bloquer la corde à sa moitié, ou à son tiers, provoquera toujours une octave (fréquence double) ou une quinte (fréquence triple) par rapport à la même corde vibrante à vide (fréquence fondamentale » : si vous « bloquez » la corde, elle ne sonnera plus. De plus la tension d'une corde ne réside pas « à ses extrémités », mais sur toute la corde. Si à la quinte la fréquence est triple, ça signifie que par exemple la fréquence de 110Hz triplée est 330Hz alors que la quinte est à 165Hz.

.8 je ne vois pas en quoi : « le défi était de fonder une gamme qui permettait de parcourir toutes les notes consonantes en partant d'un point ». Il n'y a aucun défi de reprendre une gamme du passé et de l'adapter à son contexte.

9. ça c'est faux : « Il n'y avait pas de résolution exacte à ce problème, mais il en existe une résolution approchée, la gamme (bien) tempérée. »

10. ça, ça ne veut rien dire : « En effet, il n'est pas possible de fonder une gamme contenant toute la suite des quintes et l'octave en même temps, en partant d'une note fondamentale. » et c'est faux : « toutes » pour quoi et où ? l'octave est le rapport 2/1 et la suite des quintes forme un cycle : alors qu'est-ce qui n'est pas possible ?

11. « il est nécessaire d'avoir un nombre entier de notes dans une gamme » par rapport à quoi ? Comme si la gamme était unique avec un nombre de notes entières. Il existe 4 modes : 1 « majeur » et 3 « mineurs » contenus dans une octave. Le mot gamme s’emploie de nos jours en musique quand il y a positionnement sur un ton : la gamme de do en mode mineur.

12. D'un coup apparaît : « Jean-Sébastien Bach a créé la gamme tempérée, où tous les demis-tons sont égaux. » de Kepler à Bach 1 siècle : le tempérament de Bach n'a rien à voir avec « l'harmonie des sphères » de Kepler. S'ils sont égaux, la quinte n'est pas tempérée. Tempéré veut bien dire : accommoder. Aujourd'hui, nous avons une échelle de 12 1/12 tons égalisés avec la formule racine : 12√2.

13. « Cette approche fut permise par l'invention des logarithmes par John Napier (dit Neper) » aucun rapport entre les « logarithmes » et « la gamme tempérée ».

14. « Pythagore avait défini sa gamme différemment. En partant d'une note de base, par exemple le " do ", il multiplia sa fréquence par 3/2 afin de définir sa quinte supérieure " sol " et répéta cette opération pour construire des suites de quintes " ré - la - mi - si ". Il réalisa ce calcul après avoir observé que la longueur d'une corde donnant la quinte d'un son était égale aux 2/3 de celle fournissant son fondamental. » c'est faux : 1. la procédure n'est pas de Pythagore, 2. le nom des notes date du XIe siècle, 3. le si n'existait pas avant le XVe siècle. L'harmonie tonale c'est installée à partir du XVIIe siècle.

15. Et ça : « Procéder ainsi, c'est " ignorer " les octaves qui sont alors trop grandes d'une valeur d'un neuvième de ton (le commas Pythagoricien). Mais, comme les lyres n'avaient pas plus de 7 cordes, cela n'avait pas d'importance ! » : relève de l'idiotie.

Tout le chapitre "La notion d'harmonie" est à rerédiger complètement ou à effacer, il n'apporte rien que d'induire en erreur et de rien comprendre à rien. Je n'ai pas encore lu les autres chapitres. --109.23.245.10 (discuter) 30 octobre 2015 à 00:18 (CET)[répondre]

17 articles interwiki[modifier le code]

Aucun des 17 articles ne digresse.

Les pages restent toujours centrées sur le traité--DDupard (discuter) 18 mars 2016 à 17:11 (CET)[répondre]