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Discussion:Douleur

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Législation

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Pensez- vous qu'il serait intéressant d'ajouter à cet article, qui me parait un peu trop centré sur l'aspect physique et physiologique de la douleur, une partie concernant le cadre législatif qui oblige maintenant les soignants à prendre en compte la douleur de leurs patients, et une autre concernant l'aspect psychologique de la douleur et des réactions qu'elle peut engendrer ?

tout à fait, yapluska (c'est le principe de Wikipedia) mais dans ce cas bien préciser dans quel pays cela s'applique. Nguyenld 25 octobre 2006 à 07:29 (CEST)[répondre]

Étrange qu'on ne parle pas ici de la douleur persistante générée par le zona...

IP (sans date)

Pas vraiment étrange puisqu'il existe un important article "zona" : il suffit de s'y reporter.

IP (sans date) Le zona est une maladie virale due à une réactivation du virus varicelle-zona ou VZV. La névralgie postherpétique est le nom qu’on donne à la douleur provoquée par le zona et qui peut persister même après la guérison des éruptions cutanées. L'on qualifie cette douleur comme étant neuropathique (ou neurogène).

Tout comme la fibromyalgie qui est caractérisée par un état douloureux musculaire chronique (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Fibromyalgie ) mériterait aussi une mention spéciale ?

qu'est ce que la douleur ?

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Pas d'explication pour ce qui provoque physiologiquement la "sensation de douleur" dans le cerveau. La douleur est une information comme toutes les informations perçues par notre cerveau. Des processus d'inhibition existent pour atténuer plus ou moins cette information (accoutumance, focalisation, blocage chimique, etc.). Ce qui est difficile à comprendre, c'est pourquoi l'info en tant que telle, connectée à une zone particulière du cerveau nous donne cette "sensation de douleur" alors que le cerveau n'en est pas affecté (pas de lésion irréversible, pas de dégradation des neurones par une activité chimique ou électrique élevée ou par surchauffe, etc). Ce sont pourtant les memes processus biochimiques et électriques qui sont déclenchés dans le cerveau pour toutes sortes d'info (plaisir, peur, etc.) mais dès que cette zone est touchée, le cerveau a "mal". Mais qu'est ce qui fait que nous percevons cette information comme telle ? Enorme déficit de molécules de bien-être(dopamine), rétrécissement des neurones, toxines ? Les réactions de retrait, de fuite des animaux cellulaires en présence de forte température, de lumière ou de gradient pH ne sont-elles que des réflexes "biochimiques" ? Sont-elles accompagnées ou non de "sensation de douleur" ou sont-elles déjà "sensation de douleur" ? Comment ou est-ce qu'une cellule élémentaire ressent l'info de contact (agréable ou inverse) au niveau de sa membrane ?

"" la douleur aiguë est a différencier de la douleur chronique. Certes la douleur est un mécanisme d’alerte physiologique qui active les réactions de défense contre une agression de l’organisme. C’est la douleur aiguë. Lorsque la douleur persiste plus de trois mois en moyenne elle devient pathologie. C’est une maladie comme les autres avec une taxonomie définie par l’IASP (International Association for Study of Pain). Elle est donc à bien différencier de la douleur aiguë.""
HATON
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par HATON (discuter), le 9 mai 2013 à 13:45 (CET

Discussion §1

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la douleur chronique est une maladie grave et potentiellement mortelle. Trop de patients souffrent de douleurs physiques. La douleur physique est génératrice d'une cercle vicieux qui se dessine vers la dépression du patient. Cette dépression est d'autant plus intense qu'elle associe donc une douleur physique et morale. Il semble qu'actuellement 22% de la population générale en France souffre de douleur chroniques et n'ont pas de traitement et ne bénéficient pas de la prise en charge spécialisée. La douleur chronique est trop souvent considérée par une somatisation et la douleur à pour de nombreux médecins son spécialistes en traitement de la douleur, une origine uniquement psychogène. A contrario c'est l'inverse qui se produit. Par exemple un patient souffre du dos pendant plus de trois mois. Il consulte mais les traitements prescrits n'ont plus aucun effet. Progressivement le patient se retrouve seul avec sa douleur physique ce qui augmente la composante dépressive.

Les mécanismes de la douleur chronique sont de trois types.

  • Douleurs Neuropathiques: les plus fréquentes. par atteinte du système nerveux.
  • Douleurs par hyperstimulation: inflammatoires, mécaniques ou vasculaires.
  • Douleurs sine materia : beaucoup plus rare ces douleurs nécessitent avant d'en porter le diagnostic des explorations poussées et une surveillance du patient.

Mais ce sont souvent ces dernières qui sont retenues par la majorité des médecins généralistes et des chirurgiens non spécialistes de la douleur.

Ainsi la prise en charge de la douleur chronique doit être faite par un spécialiste c'est à dire un Algologue : médecin spécialiste de la douleur. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par HATON (discuter), le 24 mars 2013 à 23:00‎ (CET)

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
Fusion et redirection étaient établies entre ces titres jusqu'à la création récente de Portail:Douleur Chronique, sans doute par erreur de débutant face à la redirection précédemment établie. La création d'un portail sur ce thème est peut-être prématurée, fusionner et rétablir les redirections ?--BonifaceFR (d) 25 avril 2013 à 12:55 (CEST)[répondre]

Douleur chronique redirige actuellement vers Douleur. Et si on renommait Portail:Douleur Chronique en Douleur chronique (sans redirection) pour utiliser son contenu comme base d’un article sur la douleur chronique? Jerome66 (d) 25 avril 2013 à 16:07 (CEST)[répondre]
Oui Pour ce "renommage" d'un Portail en Article, si c'est possible... Le proposant --BonifaceFR (d) 25 avril 2013 à 16:41 (CEST)[répondre]
Fait (dans "Type"). Jerome66 (d) 26 avril 2013 à 15:38 (CEST)[répondre]

Bonjour, j'ai supprimé ce passage car il est hyper spécialisé et qu'il faut impérativement présenter un tableau d'ensemble sur les Les contrôles descendants de la douleur, parler a monsieur tout le monde, enfant inclus autant que possible, avant d'atteindre le niveau des personnes déjà familiarisé avec ces sujets (à ne pas confondre avec ceci c'est bon pour un cours de médecine mais par pour une encyclopédie tout publics)

Par contre le sujet étant important et absent de l'encyclopédie je lui ai fait une place où ça serra plus aisé de le développer, de l’indexer, et de le rendre facilement accessible : Contrôle inhibiteur diffus.--:-) 15 décembre 2013 à 19:54 (CET)[répondre]

Parties supprimées

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J'ai supprimé deux paragraphes non référencées, alors j'explique ici pourquoi :

« Par ailleurs, la douleur va être mémorisée, et ce souvenir risque de « ressortir » lors d'un événement similaire et donc notamment de « parasiter » le diagnostic dans l'avenir ; par exemple, une personne ressent une douleur aigüe au réveil d'une opération, mais ce n'est en fait que le souvenir de la douleur initiale, ou bien une personne se blessant deux fois ressent une douleur « surévaluée » lors du second traumatisme car le traumatisme précédent était extrêmement douloureux. Il importe donc de pouvoir évaluer le ressenti par la douleur lors du diagnostic[réf. nécessaire]. »

Pour avoir lu quelque part que la douleur ne se mémorisait pas, jamais directement en tout cas, je crains de la pure affabulation.

« Lorsqu'un clinicien recherche les signes fonctionnels dans l'examen clinique de son patient, va demander et noter les différentes caractéristiques de la douleur que son patient lui reporte le siège, le type de douleur, l'intensité, l'évolution de la douleur, les possibles irradiations, les facteurs déclenchant, (par exemple la prise d'un repas), les facteurs apaisant, (par exemple la prise d'un médicament), et les signes associés. Cela va permettre au clinicien de mieux comprendre l'origine de cette douleur et mieux la soigner[réf. nécessaire]. »

En plus de l'absence de source, le clinicien et son patient ça vas pour des cours de médecine mais c'est inapproprié à une encyclopédie.--:-) 1 février 2014 à 19:42 (CET)[répondre]

Bonjour, je pense que le deuxième paragraphe a toute sa place dans l'article, l'évaluation de la douleur étant primoridale (et l'évaluation de l'intensité, maintenue dans l'article, en fait également partie) pour le médecin et aussi pour le patient ! Par contre je ne suis pas sûr de la pertinence du paragraphe "la douleur de l'autre" toujours présent dans l'article. Je pense qu'il faut peut-être le supprimer, ou au moins le réécrire/neutraliser un peu, non ? Pas sûr que l'avis de 2 personnes, dont un issu d'une note de bas de page, soient vraiment recevables. Bloubéri (discuter) 7 mars 2014 à 23:14 (CET)[répondre]

Distinction

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J'ai supprimé de l'article la partie suivante (issue de cette modification) qui était sous le même titre de "distinction", j'explique en dessous pourquoi.

« La douleur est une expérience subjective. C'est un événement neuropsychologique pluridimensionnel. Selon l'institut UPSA et relativement à l'attitude que doit avoir soignant pour « élargir sa compréhension du malade » on peut, entre autre, distinguer les composantes suivantes [1] :

· La composante sensori-discriminative correspond aux mécanismes neurophysiologiques de la nociception. Ils assurent la détection du stimulus, sa nature (brûlure, décharges électriques, torsion, etc.), sa durée, son évolution, son intensité, et l’analyse de ses caractères spatiaux.

· La composante affective exprime la connotation désagréable, pénible, rattachée à la perception douloureuse.

· La composante cognitive réfère à l’ensemble de processus mentaux qui accompagnent et donnent du sens à une perception en adaptant les réactions comportementales comme les processus d’attention, d’anticipation et de diversion, les interprétations et valeurs attribuées à la douleur, le langage et le savoir sur la douleur (sémantique) avec les phénomènes de mémoire d’expériences douloureuses antérieures personnelles (mémoire épisodique) décisifs sur le comportement à adopter.

Beecher en 1956[2] a démontré l’influence de la signification accordée à la maladie sur le niveau d’une douleur. En étudiant comparativement deux groupes de blessés, militaires et civils, qui présentaient des lésions identiques en apparence, il a observé que les militaires réclamaient moins d’analgésiques. En effet, le traumatisme et son contexte revêtent des significations tout à fait différentes : comparativement positives pour les militaires (vie sauve, fin des risques du combat, bonne considération du milieu social, etc.), elles sont négatives pour les civils (perte d’emploi, pertes financières, désinsertion sociale, etc.).

· La composante comportementale correspond à l’ensemble des manifestations observables :

- physiologiques (paramètres somato-végétatifs ex : pâleur),

- verbales (plaintes, gémissements…),

- motrices (immobilité, agitation, attitudes antalgiques).

  1. Bases physiologiques selon (l'l'institut-upsa-douleur)  ; chapitre 1 Bases neurophysiologiques
  2. Beecher HK. Relationship of significance of wound to the pain experience. J Am Med Assoc 1956 ;
    161 : 1609-13
 »

Il existe plusieurs notions importante pour l'article dans ce passage, mais aussi des problèmes majeurs :

  • D'abord c'est présenté comme une distinction de référence, reconnu et partagé, hors c'est même pas présenté ainsi dans la référence (voir ici pour vérifier) où ce sont en réalité des distinctions faites parmi d'autres, alors pourquoi celle là et pas les autres? pourquoi cet institut comme référence universelle?
  • D'autre par c'est absolument contextuel, c'est des distinction qu'on demande à un soignant de faire relativement à un patient, la composante comportementale en est parfaitement représentative, mais encyclopédiquement parlant la douleur ne se borne pas à un patient à analyser.
  • Enfin, ce sont des domaines qui ne s'excluent pas les uns les autres, mais plutôt comme des idées posées comme ça en passant, ainsi on retrouve dans celles qui ne sont pas cité le contexte socio-économique.

Alors la discrimination des facteurs épars qui perturbent le regard du soignant est légitime à citer si on trouve les papiers scientifique associées, l'IASP elle même distingues 5 grilles de lectures indépendantes les unes des autres, mais ça fait pas partie de la définition ("qu'est la douleur?" "qu'est-ce qui la définie?"), mais d'une vaste réflexion qui concerne le plan diagnostique ("comment appréhender la douleur d'un patient?").

Tout cela étant posé, c'est effectivement des domaines dont la présentation est légitime, c'est pour ça que je déplace ici plutôt que de supprimer tout bonnement, peut être une partie complète à créer, mais avec des sources un peu plus scientifique et globales et un peu moins lié au microcosme de l'industrie pharmaceutique ça serrait pas du luxe, enfin, amha biensur.--:-) 27 février 2014 à 16:59 (CET)[répondre]


En cherchant (pas longtemps si vous regarder l'heure dans la signatures) j'ai trouvé ça qui ressemble énormément mais avec l'avantage d'être signé (Constance Hammond, directeur de recherche a l'INSERM), mais aussi d'autres point de vue la douleur et ces composantes multiples, et une distinction particulière dans le cas des douleurs chronique les 6 composantes de la douleurs chronique. Si j'arrive à collecter suffisamment de matière et de regards concordants je m'y met, enfin, si vous l'avez pas déjà fait.--:-) 27 février 2014 à 17:29 (CET)[répondre]

Certes, la référence précédente n’était pas la meilleure. J’ai réussi à trouver la référence source de cette distinction. Si cette notion est parvenue jusqu’au niveau industriel (comme le montre l’écrit de l’UPSA) c’est bien qu'’elle s’impose comme distinction de référence, reconnue et partagée (d’ailleurs nombre de professionnels et chercheurs la reconnaissance et l’utilisent) D’autre part l’IAPS fait un début de distinction dans sa définition. En effet elle décrit la douleur comme une « expérience sensorielle et émotionnelle désagréable ». On retrouve donc ici l’aspect sensori-discriminatif, soit la nociception, et l’aspect affectif ou émotionnel lié à la douleur. Par rapport au point concernant le contexte socio-économique, je ne comprends pas ce que vous objectez. Personne ne dit que ce sont des domaines qui s'excluent les uns les autres, et je ne vois pas le rapport avec le contexte socio-économique. En quoi un ouvrier aurait une expérience de la douleur différente d’un professeur ?

Ce que nous observons dans cet article sur la douleur est une énorme confusion entre douleur et nociception. Or ces deux notions sont bien distinctes et différentes. Il me semble important d’introduire cette différence dès la définition, comme le font la plupart des professionnels et universitaires travaillant en lien avec la douleur. -:-) 13 avril 2014 à 23:32 (CET)[répondre]

L'homéopathie n'est pas une méthode thérapeutique

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La section "Médecines alternatives", qui ne devrait pas exister, affirme ceci:

"L'homéopathie est une autre méthode thérapeutique utilisée par certains patients pour soulager la douleur."

Hors, l'homéopathie n'est pas reconnue comme une méthode thérapeutique par les grandes institutions du monde médical tel que l'OMS, et ne devrait donc pas être citée comme tel.

Le reste de cette section, qui suit cette phrase introductive sur l'homéopathie, n'est qu'une explication des principes supposés de l'homéopathie, et ne constituent donc pas un élément pertinent pour le sujet de l'article:

"Le principe de similitude sur lequel se basent les prescripteurs les conduit à prescrire des substances comportant des caractéristiques thérapeutiques semblables à celles des douleurs des patients. Le médecin homéopathe s'attache en premier au diagnostic purement médical puis cherche à individualiser les symptômes propres au malade lui-même, les plus personnels, caractéristiques, dans sa manière de manifester sa maladie, qui conduisent à sélectionner les médicaments les plus semblables au cas."

D'un point de vue plus général, il est a rappeler qu'une "médecine alternative" qui fonctionne, et reconnue comme tel, s'appelle simplement une "médecine".

Est-ce que ce paragraphe, sur l'homéopathie, est bien nécessaire, voir cette section "Médecines alternatives"?

--Reapper666 (discuter) 3 septembre 2017 à 14:35 (CEST)[répondre]

Sur le fond je suis d'accord. Pour être pouvez-vous reformuler plutôt que supprimer? Cordialement.--Jean trans h+ (discuter) 4 septembre 2017 à 14:20 (CEST)[répondre]
J'ai trouvé quelques études sur le sujet:
Use of arnica to relieve pain after carpal-tunnel release surgery Conclusion : pas de conclusion, nécessite plus d'études pour pouvoir conclure dans un sens comme dans l'autre.
The Efficacy of homeopathy in the treatment of chronic low back pain compared to standardized physiotherapy pareil pas possible de conclure à l'efficacité ou non des traitements homéopathiques.
Cordialement. --Jean trans h+ (discuter) 4 septembre 2017 à 14:28 (CEST)[répondre]