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Discussion:Colère

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restructuration ?

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  • L'article actuel (19 février 2007) ne me parait pas neutre, ou en tout cas me semble construit autour de Spinoza, ce qui rend difficile l'intégration d'autres points de vue. Je propose donc cette nouvelle version qui permettra plus facilement d'autres apports. Comme je ne connais pas Spinoza, je demande aux auteurs de vérifier la forme que je lui ai donné et la conformité par rapport à ses opinions. J'apporterai des contributions supplémentaires par la suite. --P.M.duJura 7 mars 2007 à 15:58 (CET)[répondre]
  • J'ai supprimé le passage sur l'ambivalence de la colère car la colère n'est pas ambivalente, contrairement à l'idée qu'on peut se faire d'elle. Evidemment cette position varie en fonction des époques et des cultures.
    --P.M.duJura 7 mars 2007 à 22:56 (CET)[répondre]


la colère saine

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La façon dont la colère est présentée dès le début de l'article ne la définit surtout qu'au travers de ses abus, de ses dérives. Tout au long des paragraphes qui suivent, on décrit surtout les cause et conséquences de cas où la colère est mal gérée, malsaine, exagérée, etc., malgré le fait que de temps à autre, on évoque bien l'existence d'une colère saine, légitime, voire opportune. Bref, tout au long de l'article, on aborde le sujet avec une forte dose de moralisation. Parlons d'abord de la colère "normale", avant de traiter des dérives et des cas exagérés ou malsains. Cela me rappelle les années 60-70, à propos de la sexualité. A cette époque, dans beaucoup d'universités, on acceptait de parler de la sexualité sous l'angle des maladies vénériennes, de la contraception, des perversités sexuelles, des psychoses et névroses, etc. Il a fallu que les planning familiaux - entre autres - jouent leur rôle d'information-éducation sexuelle, pour qu'on commence petit-à-petit à entendre parler d'une sexualité "normale", dans un sens positif et objectif du terme. Alors, please, parlons de la colère d'abord sous l'angle objectif, "positif", neutre, et ne nous précipitons pas tout de suite dans les travers et dérives et dans les considérations morales. merci. --pdandoy 29 juin 2007 à 00:23 (CEST)[répondre]

Je suis bien d'accord avec toi. Il est plus que temps de réhabiliter cette émotion dans la vie de tous les jours, ce qui suppose qu'on puisse aussi l'accepter et l'acceuillir. La "colère saine" pourrait être un sujet de chapitre. De même que "la sainte colère". Mais bon, j'ai d'autres priorités pour l'instant, et pas suffisamment de temps. Mais j'y reviendrais un jour ... à moins que que tu aies envie de le faire. --P.M.duJura 30 juin 2007 à 14:19 (CEST)[répondre]
Bonjour, il est possible de parler de la colère sur un plan thérapeutique et psychologique, à condition d'avoir des sources pertinentes pour soutenir cette approche. En revanche il n'est pas possible de faire des amalgames entre la religion, la psychologie, et la sociologie, il faut traiter le sujet séparément pour chacune des disciplines. Il est préférable d'éviter en fait, de faire un "Certes, mais" qui peut conduire à des conclusions non-neutres. Et il ne faut pas oublier de traiter la notion de perte de contrôle propre à chacun des péchés capitaux énoncés, c'est un sujet ambigü, à traiter avec prudence. Bandeau de recyclage, et de pertinence posés. Rapcat (d) 15 juin 2008 à 01:30 (CEST)[répondre]



Bonjour, je viens faire une petite correction: "Ce qui fait tomber la colère est l'acte de repentance, d'humiliation, ou le fait d'agir avec considération." >> "humilité" convient mieux ;-) ~~c~~

La colère peut-elle être passion vertueuse ? Que dit Thomas D'Aquin ?

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Ci-dessous, quelques extraits saillants de [1]

« Tout mouvement de passion, qui obéit à la raison, est nécessairement un bien moral, affirme saint Thomas. Or, la colère est, en elle-même, un désir raisonnable de vengeance ". (S. Théol. 2a 2ae, q.158, a.1) »

« La colère est donc bonne, quand, conformément à la raison, elle tend à une vengeance légitime, c'est-à-dire lorsqu'on recourt à la colère quand il convient, contre qui il convient et dans la mesure voulue " (2a, 2ae, q.158, a.3) »

« Saint Jean Chrysostôme, que cite saint Thomas d'Aquin, ne trouve pas exagéré de dire que celui qui ne se fâche pas, quand il y a lieu, pèche »

colère suppose à la fois une activité de la raison et aussi une entrave à son plein exercice " (Somme Théol. 1a,2ae, qu 46, a.3 ad 3) » --Bpa (d) 14 août 2009 à 01:06 (CEST)[répondre]

Article général sur la colère  : merci de ne pas évoquer l'actualité

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Dans cet article j'ai ajouté deux photos de manifestations en rapport avec le mot « colère » (puisque sur la pancarte de d'une de cette photo le mot colère est indiqué) et c'est la seule image que j'ai trouvé pour illustrer mon propos... Donc pas besoin d'aller plus loin, il s'agit UNIQUEMENT d'une illustration. Cet article n'a donc pas vocation d'évoquer les causes factuelles de colère, sinon on sortirait très vite du sujet. Merci.--JPC n'hésitez pas à m'en parler 7 décembre 2018 à 17:54 (CET)[répondre]

distinguer émotion et vice

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Bonjour, je trouve un peu choquant de voir l'importance accordée dans cet article sur la colère à sa condamnation morale par la théologie chrétienne. Est-ce que ce ne serait pas plus raisonnable de faire deux articles séparés, Colère et Colère (vice) ? Vache-crapaud (discuter) 2 janvier 2024 à 00:30 (CET)[répondre]