Discussion:Chaville
quand vous dites que le bois de Chaville de la chanson n'existe pas c'est faux !
il n'existe plus ! c'est différent ! je suis chavilloise de descendance depuis mes arrières grand-parents paternels et maternels et je me souviens avoir cueilli du muguet dans les bois étant petite... ce n'est pas sans raison que la fête du muguet a été consacrée de 1956 à 1970 !
A présent je vis à Lyon pour raisons professionnelles mais tous les vrais chavillois vous le confirmerons
l.lassus@wanadoo.fr
- Ouuuuuuuh ça nous rajeunit pas... A toi l'honneur d'étoffer l'article sur cette petite ville tranquille. Greudin
Je suis le rédacteur du passage incriminé, j'habite Chaville et je peux vous confirmer que s'il y a bien des bois à Chaville ce ne sont pas "les bois de Chavilles" mais la forêt de Meudon et le bois de Fosse repose. Bois de Chaville ne correspond pas à un nom géograpique. Je modifies l'article pour rendre les choses plus claires. Luk 8 mar 2005 à 09:48 (CET)
Nombre d'habitants
[modifier le code]Il me semble que le nombre d'habitants estimé à 18000 date un peu. Il faudrait revoir ce nombre avec les données actuelles ( je ne les ai pas ) ou au moins indiquer entre parenthèses la date correspondant à ce nombre. Reivilo 5 novembre 2005 à 04:15 (CET)
- J'ai fait un peu de ménage (remise en forme essentiellement) sur l'article et j'ai effectivement enlevé cette mention du nombre d'habitants : ne restent que les données INSEE comme c'est l'habitude sur Wikipédia... Enro 7 novembre 2005 à 13:44 (CET)
Personnage célèbre
[modifier le code]J'ai vu dans [[1]] qu'un certain Dark Vador est Chavillois. Est-ce un homonyme ? --Th0mas 27 décembre 2005 à 13:50 (CET)
Nombre d'habitants et histoire de Chaville
[modifier le code]Je me suis permis d'étoffer l'histoire de Chaville (étant chavilloise) en reprenant les termes du site officiel de la ville. Je suis presque certaine qu'actuellement le nombre d'habitants est de 19000 (environ) mais je ne peux pas le certifier puisque sur le site on parle de 18100 habitants (mais cela était en 1999).
Copié-collé
[modifier le code]Les origines de Chaville remontent au IXème siècle. Vers 829, Inchadus alors évêque de Paris fonda un domaine rural pour y soigner les convalescents de l'Hôtel-Dieu. Peu à peu, des maisons se groupèrent autour de la propriété de l'évêque et formèrent un hameau. Ce dernier prit le nom d'Inchadivilla (autrement dit métairie d'Inchadus), qui se transforma successivement en Chadivilla, puis en Cativilla et enfin en Chaville.
Le château de Chaville Le village, situé à l'origine dans le quartier de la Mare Adam, s'est développé au fil des siècles autour de l'église Notre Dame et du château des Le Tellier, édifices aujourd'hui disparus. La porte de la Mare Adam, qui reliait Chaville au parc du château, reste le seul vestige du mur d'enceinte de ce parc.
Des différents seigneurs de Chaville, la famille Le Tellier, qui posséda la seigneurie de 1596 à 1695, est celle qui a marqué le plus profondément l'histoire de la ville. En souvenir de cette époque, la commune prit pour blason au milieu du XIXème siècle les armoiries de cette famille illustre. Michel Le Tellier et son fils Louvois, tous deux ministres de Louis XIV, donnèrent en effet à Chaville un rayonnement particulier, qui s'accrut encore lors de la construction en 1686 de la Grande route.
Cette route, qui reliait Paris au château de Versailles donna effectivement un nouvel élan au dynamisme de Chaville. Les produits de l'agriculture, de l'élevage et de l'artisanat trouvèrent de nouveaux débouchés. De nouvelles activités liées à la route (auberges, relais de chevaux, ateliers de maréchaux-ferrants) apparurent.
La Grande route a également valu aux chavillois de prendre part à de grands évènements nationaux : la marche révolutionnaire des parisiens sur Versailles et le retour de la famille royale à Paris les 5 et 6 octobre 1789, le siège de Paris par les prussiens pendant la Guerre de 1870-1871, le passage de la deuxième division blindée en route pour libérer la capitale de l'occupation allemande le 24 août 1944.
Au XIXème siècle, Chaville a vu sa population augmenter (passant d'environ 530 habitants en 1791 à 3600 en 1900). Peu à peu, le centre ville s'est déplacé vers la Grande route, devenue aujourd'hui l'avenue Roger Salengro. Un certain nombre d'édifices comme le groupe scolaire Paul Bert (1886), la mairie (située depuis 1909 à l'emplacement de l'hôtel de ville actuel), l'église ou le marché ont été implantés le long de cet axe, qui a aussi servi d'appui au développement des quartiers du Petit Viroflay, du Bas Chaville, du Doisu, de la Pointe de Chaville.
Quelques industries comme des brasseries, des tanneries, des fours à chaux et surtout des carrières de calcaire ont pris un certain essor. Cependant, comme dans la plupart des villes du Sud et de l'Ouest de Paris, la blanchisserie a représenté l'activité la plus répandue. Ces entreprises artisanales se sont installées le long du rû de Marivel, qui les alimentaient en eau et qui servait d'évacuation aux lavoirs, et se sont principalement multipliées dans le quartier du Doisu (étudié par l'association l'Arche). En 1900, un tiers des chavillois est occupé à laver, sécher et repasser le linge de la capitale.
La construction de trois lignes de chemins de fer entre 1840 et le début du XXème siècle reliant Paris à Versailles, affecta les habitudes des chavillois. La bonne desserte de Chaville favorisa le tourisme dominical de nombreux parisiens, qui se promenaient dans les forêts de Meudon et de Fausses Reposes, pêchaient à la ligne dans les étangs d'Ursine, des Ecrevisses et de Brisemiche et se détendaient dans les restaurants, les guinguettes et les cafés.
Ses forêts donnèrent à Chaville une certaine renommée. Dans les années 1950, le bois et son muguet sont rendus célèbres par la chanson de Pierre Destailles "Tout çà parc' qu'au bois d'Chaville ". Chaque 1er mai de 1956 à 1968, les fêtes du muguet, qui se déroulaient sur une quinzaine de jours, attiraient de nombreux badauds. Les visiteurs pouvaient y croiser de nombreuses vedettes (Jean Carmet ou Annie Cordy), suivre le défilé de chars fleuris menés par la reine du muguet ou assister à diverses manifestations (défilés de mode, courses de moto-cross, corridas, match de football ou de catch).
Au cours du XXème siècle, quelques nouvelles industries et entreprises tertiaires s'installent à Chaville. La vocation résidentielle de la ville, dont l'origine remonte à la mise en vente par lots des grands domaines (lotissement du Parc Fourchon) se renforce. Villas atypiques, maisons en meulières, architectures néoclassiques, pavillons style années 30, maisons ouvrières fleurissent alors.
Aujourd'hui, cet habitat pavillonnaire, prédominant en terme de surface, le patrimoine vert de la ville (les 156 ha de forêts héritage des chasses royales, les espaces verts municipaux et les jardins privés) ainsi que les nombreux équipements culturels (l'Atrium, le conservatoire, l'académie des Beaux-Arts) participent au charme et au rayonnement de Chaville.
Ceci est un copié-collé de cette page du site de la ville ! Sur Wikipédia, nous nous interdisons de procéder ainsi ! Navré. ℍenry, encyclophile (Jaser !) 18 novembre 2006 à 18:09 (CET)
Relecture
[modifier le code]Travaillant depuis plusieurs années sur les articles des 36 communes des Hauts-de-Seine, auteur principal de l'article Antony qui a été labellisé « Article de Qualité », je m'intéresse maintenant à Chaville.
Je viens de retirer du chapitre Personnalités une liste de personnes dont il conviendra de voir si leur présence dans l'article se justifie, compte tenu de l'absence d'articles les concernant dans cette encyclopédie.
- Boyan, sculpteur, a eu son atelier à Chaville de 1968 à 1973 dans l'ancienne école privée Notre Dame — un square de Chaville porte son nom (angle Rue de Jouy/rue de la mare Adam)
- Brigitte Sabouraud (1922 - 2002), auteur, compositeur et interprète de chansons ; accordéoniste et co-fondateur du cabaret "L'écluse" ; inhumée au cimetière de Chaville
- François Le Normand (né à Chaville - décède en 1709), est en charge du "Potager du Roy" à Versailles de 1691 à 1707
- Philippe Demeillier, né à Chaville le 25 mai 1952 ; artiste-peintre, graveur-sculpteur, vit et travaille maintenant à Nontron (Dordogne). Études en gravure eaux-fortes aux Beaux-Arts de Paris (1973 - 1974)
- Josette Bossez (1942 - 1972), artiste-peintre ; est née et a vécu à Chaville
- Jean Lalou, poète français contemporain né à Chaville en 1922 a publié notamment Grains d'insomnie et Fumerolles
- Christian Wouters (1919 - 2003), sculpteur, graveur, peintre, a vécu à Chaville jusqu'à sa mort en 2003
Cordialement. AntonyB (d) 27 décembre 2009 à 22:53 (CET)