Discussion:Caléfaction
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Cet article est indexé par le projet Physique.
Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.
| Avancement | Importance | pour le projet | |
|---|---|---|---|
| Ébauche | Faible |  | Physique (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) |
Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.
http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=8784430 Titre du document / Document title Quelques phénomènes frontières en physique des ions lourds : caléfaction nucléaire et fission à haute excitation = Some frontier phenomena in heavy-ion physics : nuclear calefaction and high-excitation fission Auteur(s) / Author(s) DALILI Djamchid ; Affiliation(s) du ou des auteurs / Author(s) Affiliation(s) Paris 11 (Université de soutenance) Source / Source Travaux Universitaires - Thèse d'Etat 1985 [Note(s) : 158 p., ] (Année de soutenance : sd) (Discipline : Sci. phys.) (No : 3028) Langue / Language Français
Résumé
Cette thèse porte sur les phénomènes nouveaux qu'il est possible d'observer dans les réactions d'ions lours dans la région de transition, de 20 à 50 MeV/nucléon.
Nous avons détecté dans les réactions induites par un faisceau de krypton à 35 et 22 MeV/nucléon des fragments ayant des masses et des énergies cinétiques très inférieures à celles du projectile. Une interprétation possible de ces résultats inclusifs est proposée : ils peuvent provenir d'un phénomène de caléfaction nucléaire. Ce mécanisme aurait lieu par la persistance de l'effet de champ moyen à ces énergies qui modifie l'image participants-spectateurs familière à plus haute énergie.
La stabilité des noyaux à haute température et grand moment angulaire que l'on peut former dans de telles collisions est ensuite étudiée par rapport au processus de fission dans le cadre des approximations Thomas Fermi et Hartree Fock quand la température et le moment angulaire augmentent. La limite de stabilité par rapport à la fission de l'205At est calculée en fonction des ces paramètres.
Fusion abandonnée entre Caléfaction et Effet Leidenfrost[modifier le code]
Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
À la lecture des 2 articles, il me semble qu’ils décrivent le même phénomène. Cependant je ne suis pas expert dans ce domaine. --Rinaku (d · c) 25 juillet 2012 à 19:26 (CEST)
Pour la fusion, car les deux articles se complèteraient bien. Mais il faudra idiquer dans l'intro que les deux noms exsistent... A.BourgeoisP (d) 25 juillet 2012 à 20:52 (CEST)
- J'hésite. En lisant les articles en anglais, il semblerait que l'effet Leidenfrost soit un cas particulier de caléfaction (effet d'un liquide sur une surface chaude), cette dernière définition ayant été "inventée" par Pierre H. Boutigny lorsqu'il étudiait l'effet Leidenfrost. Si on fusionne, cela devrait être sous Caléfaction avec un paragraphe consacré à l'effet. Cependant, en voyant le développement conséquent de l'article sur l'effet de la wikipedia anglophone, je me demande s'il est judicieux de fusionner, si c'est pour re-séparer plus tard les 2 pages. D'un autre côté, les pages peuvent rester en l'état encore longtemps. Bref, j'hésite. Jerome66 (d) 9 août 2012 à 10:47 (CEST)
- Laissons les séparer pour le moment, je pense que ça reste la meilleure solution, en espérant qu’un "connaisseur" ce décide à passer sur Wikipédia. A.BourgeoisP (d) 23 août 2012 à 12:11 (CEST)
Caléfaction d'hydrogène[modifier le code]
Bonjour, après lecture d'un sur le refuge du col de Sarenne, je recherchais des informations sur le principe de la "caléfaction d'hydrogène" mentionné :
- "On fait brûler l'eau. En fait, on a énormément d'énergie dans l'eau, puisqu'on a de l'hydrogène", explique le maître des lieux. "Une fois que l'eau a dépassé les 3.600 degrés, l'eau s'enflamme. Elle dégage alors son énergie. On fait brûler l'hydrogène contenu dans l'eau. On en récupère une énergie phénoménale"
Si quelqu'un s'y connait assez pour enrichir cet article, je pense que ça intéresserait pas mal de monde... Merci ! Jg (discuter) 13 août 2014 à 09:33 (CEST)