Discussion:Alexandre VI

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Si on en croit l'article Bataille de Fornoue, ce sont les Français qui remportèrent la Bataille et non la Ligue de Venise comme écrit dans ce texte. Quelqu'un a-t-il plus d'informations pour mettre les deux textes en accord ? Misanthrope 25 novembre 2006 à 19:43 (CET)[répondre]

Traduction[modifier le code]

L'article me semble bien faible. Il faudrait traduire l'article anglophone, mais je n'ai pas le courage de fondre avec ce qui se trouve déjà. Je me contente de présenter ici mon travail, ou plutôt le début :

Le pape Alexandre VI[1] (né le 1er janvier 1431 – décédé le 18 août 1503), né Roderic Llançol, devenu plus tard Roderic Borja (italien: Borgia), et qui fut pape de 1492 à 1503, est le plus controversé des papes mondains de la Renaissance et il est un de ceux dont le nom symbolise l’avilissement dans lequel la papauté était tombée à cette époque. Il naquit à Xativa, Valencia, Espagne. Le nom de famille de son père était Lanzol (en castillan) ou Llançol (en catalan), mais il prit, le nom de famille de sa mère, Borja, quand son oncle maternel fut élevé à la papauté sous le nom de Calixte III en 1455.

Éducation et élection[modifier le code]

Roderic Borgia étudia le droit à Bologne et, après élection de son oncle à la papauté, fut créé successivement évêque, cardinal et vice-chancelier de l'église, nominations dues au népotisme et caractéristiques de l’époque. Il siégea à la Curie sous cinq papes (Calixte III, Pie II, Paul II, Sixte IV et Innocent VIII) et acquit une grande expérience administrative, de l'influence et de la richesse, mais pas un grand pouvoir.

A la mort du pape Innocent VIII (1484-1492), les trois candidats pour le Saint-Siège étaient les cardinaux Borgia, Ascanio Sforza et Giuliano della Rovere. Bien qu’on n’ait jamais pu apporter de preuve formelle de simonie, la rumeur était que Borgia, du fait de sa grande richesse, avait réussi à acheter le plus grand nombre de voix, y compris celle des Sforza, que, si l'on en croit la rumeur populaire, il aurait soudoyé avec quatre mules chargées d'argent. D'après certains historiens, toutefois, Borgia n'avait pas besoin de payer de façon si peu subtile - les bénéfices et les charges accordées à Sforza pour son appui auraient représenté une valeur bien plus considérable que les quatre mules chargées d'argent. John Burchard, maître de cérémonie du conclave et un des personnages considérables dans la gestion des biens de l'Église sous plusieurs papes, a signalé dans son journal que le conclave de 1492 avait été une campagne particulièrement coûteuse. Della Rovere fut acheté au tarif de 200 000 ducats d'or par le roi de France, et en reçut 100 000 de la République de Gênes[2]. Borgia fut élu le 11 août 1492, et prit le nom d'Alexandre VI. Giovanni di Lorenzo de Médicis critiqua vivement l'élection et avertit de tout le mal qui allait en résulter :

« Maintenant, nous sommes au pouvoir d'un loup, le plus rapace peut-être que ce monde ait jamais vu. Et si nous ne le mettons pas en fuite, inévitablement il va nous dévorer tous[3]. »

ouh la ![modifier le code]

« Jules II, avec l'aide de Charles VIII, l'oblige à restituer ses forteresses et le contraint à se rapprocher de la France où il se réfugiera. »

  1. Jules II devient pape en 1503, Charles VIII lui, meurt en 1498. Je vois mal comment ils auraient pu s'aider pour combattre Alexandre VI.
  2. Cela signifie donc que Jules II et Alexandre VI étaient papes en même temps.
  3. Depuis quand le pape a des forteresses ?
  4. Il se réfugie en France, mais est mort en Italie.

Petite démonstration de comment une phrase de la biographie du fils se retrouve dans celle du père et y reste plus de 6 mois.--Charon13 (d) 10 février 2008 à 19:26 (CET)[répondre]

Sur le point 3, je me permet de vous rappeler que de 752 à 1870 le Pape est aussi souverain des Etats de l'Eglise qui représentent presque tout le centre de l'Italie. Donc, oui, à cette époque le Pape a non seulement des forteresses mais aussi une armée pour défendre et protéger son territoire.

No comprendo[modifier le code]

J'aurais bien voulu remettre en français correct cette phrase, mais encore eut-il fallu que je la comprisse
Sa vie privée choque également : bisexuel, il apprécie les jolis garçons, tel par exemple( mais cet "exemple n'est probablement qu'une calomnie de [(Francesco Guicciardini)http://en.wikipedia.org/wiki/Francesco_Guicciardini]), cet Astorre Manfredi, seigneur de Faenza, qu'il attire au Château Saint-Ange, viole et fait jeter dans le Tibre (du moins si on donne foi à l'allusion de Guicciardini qui relate que le meurtre aurait été commis “saziata prima la libidine di qualcuno.” sans préciser le "qualcuno". Il pourrait tout aussi bien s'agir de César Borgia qui tenait prisonniers les deux frères Manfredi). --Kriss Baxter (d) 17 mars 2008 à 22:00 (CET)[répondre]

Prier pour un damné[modifier le code]

Le 22 juillet 2008 à 18 heures 57 Mogador (d · c · b) a introduit la phrase : « Son successeur, l'éphémère Pie III avait interdit que l'on dise une messe pour le repos de son âme, disant qu'il était blasphématoire de prier pour un damné ». Le 23 juillet 2008 à 16:03, FabienGomez (d · c · b) a demandé une référence mais depuis aucune réponse n'est venue. Mogador pourrait-il nous donner sa source ? Merci. Gustave G. (d) 29 septembre 2008 à 22:14 (CEST)[répondre]

Je vais chercher cela mais on peut l'effacer si c'est dérangeant, d'ici que je retrouve (si je le retrouve). Mogador 29 septembre 2008 à 22:16 (CEST)[répondre]
  1. Le pape Alexandre V est maintenant considéré comme anti-pape. À cette époque cependant, on ne le voyait pas comme tel et c’est pourquoi le cinquième pape officiellement reconnu par l’Église romaine porte le nom d’Alexandre VI.
  2. John Burchard, Journal 1483–1492 (traduction en anglais: A.H. Matthew, Londres, 1910)
  3. James Reston, Dogs of God, New York, Anchor Books, 2005, p. 287.