Discussion:Alexandre Balthazar Laurent Grimod de La Reynière

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Forte probabilité de copyvio[modifier le code]

Pas de références, des pans entiers tirés du site : chef simon, c'est louche non ?--82.123.200.192 (d) 13 septembre 2009 à 23:25 (CEST)[répondre]

1/ Ce serait aimable de citer les "pans entiers". 2/ Il n'y a pas eu copie de Chef Simon (je n'ai même pas consulté ce site !, je ne travaille qu'à partir de livres, en général. )3/ Je donne les références des ouvrages consultés ; Chef Simon en fait-il autant ? 4/ J'attends avec intérêt votre réponse détaillée.
À vous lire, --Égoïté (d) 14 septembre 2009 à 00:14 (CEST)[répondre]
Par curiosité, je viens de consulter Chef Simon. 1/ il y a des erreurs historiques apparemment. Son grand père et son père étaient connus pour apprécier la nourriture ; pour quelle raison aurait-il découvert le plaisir de manger en « exil dans un couvent près de Nancy pendant plus de deux ans. C'est d'ailleurs à la table du père abbé que Grimod découvre l'art du bien manger (à l'époque il n'avait encore rien du gastronome averti). » ? 2/ Je ne vois pas quels pourraient être les "pans" ni entiers ni courts copiés Émoticône. Expliquez-nous au lieu de lancer une suspicion de copyvio. Toujours à vous lire. --Égoïté (d) 14 septembre 2009 à 00:27 (CEST)[répondre]

Remplaçons copyvio par pompyvio[modifier le code]

Pardon pour le terme copyvio que je croyais s'appliquer à l'action de simplement pomper. Je retire ce terme. Je le remplace par pomper. Pratiquement toutes vos références sont des références en ligne. Pas de recherches en bibliothèque semble-t-il, elles sont fermées le dimanche. En revanche, on peut butiner ça et là sur la toile, c'est ce que vous venez de faire pour répondre à mes demandes.

  1. Il est évident que vous n'avez jamais tenu en main le livre papier de Charles Monselet sinon vous donneriez la page exacte des citations qui vont de p. 173 à 291. C'est un des inconvénients de google-book et de la référence en ligne : les références ne sont pas précises. Vous sauriez aussi qui sont Auguste Poulet-Malassis et Eugène de Broise et vous auriez orthographié leur nom correctement.
  2. Pas de livre papier pour : Pierre-Olivier Fanica, Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle est aussi tiré d'un google-book p.55
  3. Non plus que : Maurice Descotes, Histoire de la critique dramatique en France, Gunter Narr est aussi un google-book. p171
  4. Non plus que pour :Dictionnaire de la conversation et de la lecture est aussi un google book, p 525

Il m'a fallu 10 mn pour les repérer ces excellents écrits en ligne.

  1. La plupart de vos autres références proviennent de sites . Je pourrais en citer d'autres mais je n'ai pas de temps à perdre avec l'outil google au demeurant fort commode.

Désolé, jeune fille, mai je trouve que vous attigez. Un vieux prof de littérature comme moi n'est toujours pas convaincu par l'étendue de vos connaissances--82.123.70.81 (d) 14 septembre 2009 à 14:30 (CEST)[répondre]

Cher Monsieur,
Vu mon âge, je suis ravie d'être traitée de jeune fille et vous en remercie.
Je vous remercie aussi d'avoir retiré le terme de copyvio qui est effectivement fort grave (veuillez lire Wikipédia:Le copyvio pour les nuls pour votre bonne information) et qui ne convenait absolument pas ici.
Je vous sais également gré d'approuver mon choix d'ouvrages, mais vous avoue avoir passé plusieurs heures à trouver certains de « ces excellents écrits » que je ne connaissais pas et que je n'ai donc pu repérer en 10 minutes comme vous, qui en aviez les références.
Il est parfaitement exact que je ne possède pas les livres cités ici et que j'ai consulté « l'outil google au demeurant fort commode ». Mais je tiens à vous rassurer : je tiens « en main » le Ned Rival, Grimod de La Reynière, le Gourmand Gentilhomme, Le Pré aux Clercs, 1983 et j'ai commencé à le lire. Je ne manquerai pas de compléter l'article en fonction de mes notes comme je l'ai fait pour une illustration que j'avais la chance de posséder.
Je vous signale, à toutes fins utiles, que je participe au wikiconcours de cette rentrée, dont le but est de faire passer des articles de l'état d'ébauche à celui de bon début et que Grimod de la Reynière est l'un des onze articles que je viens de traiter en 14 jours. Sur cette page, comme sur les dix autres, j'ai veillé à mentionner qu'elle était en cours de réécriture ou de restructuration importante. Cela signifie, sur Wikipédia, que le travail n'est pas terminé. Figurez-vous que, travaillant à WP parallèlement à mes occupations professionnelles bénévoles, je ne peux progresser que par « touches » en fonction du temps dont je dispose (et je n'ai pas congé le dimanche). Je n'avais pas attendu vos remarques pour « butiner » mais j'ai dû attendre les moments propices pour vous répondre.
Vos remarques m'amènent à penser que vous ne semblez pas bien connaitre (orthographe de 1990) le mode de fonctionnement de Wikipédia quant à la manière de rédiger un article et de le référencer. Permettez-moi de vous éclairer :
  • En ce qui concerne la rédaction d'articles, Wikipédia interdit de faire un travail original et demande des sources pour les informations qu'on lui ajoute ; cela implique que tous ses rédacteurs sérieux « pompent » effectivement d'autres auteurs. Le travail du contributeur consiste justement à rechercher des sources, à les trier et les sélectionner, à agencer les données recueillies pour structurer correctement le texte, à le rédiger dans une langue correcte et agréable à lire et à procéder à la wikification ; si ces critères sont atteints, le rédacteur a fait un bon travail et on ne lui demandera jamais d'être un expert dans le domaine abordé : s'il est préférable de connaitre le sujet traité (parce que cela fait gagner du temps de travail), ce n'est pas indispensable et rien n'empêche un professeur de littérature ou de cuisine d'écrire un article sur les brisés télémaques, ou un professeur de danse et chorégraphe agnostique de traiter d'un sujet littéraire, alimentaire ou religieux, par exemple. L'étendue des connaissances du contributeur ne vous concerne donc en rien.
  • En ce qui concerne le référencement, Wikipédia admet de citer la numérotation des pages d'une œuvre qui constitue la source lorsque différents passages de l'article découlent de ce livre ; répéter la référence à chaque passage alourdit en effet l'article, ne facilite pas la lecture et augmente la dépense en encre et papier à l'impression. C'est au lecteur, s'il désire accroitre ses connaissances, de faire le travail nécessaire de recherche de l'ouvrage et de le parcourir. En ce sens, je considère que reprendre des ouvrages disponibles sur internet (et donc accessibles au plus grand nombre) est plus utile que de citer des livres qui ne figurent plus que dans les grandes bibliothèques (que tout le monde n'a pas forcément la possibilité de fréquenter) ou chez des libraires spécialisés (qui les vendent souvent... assez chers).
J'espère ne pas vous avoir trop attigé. Merci pour les compléments d'information que vous avez apportés à mon texte.
Bien à vous, --Égoïté (d) 14 septembre 2009 à 16:37 (CEST)[répondre]
Bonsoir,
Faire de Monselet une source fiable pour Grimod de La Reynière est bien imprudent. C'est un auteur fort sympathique mais en aucun cas fiable, conyraurement à Desnoiresterre et Ned Rival.Et ce que je lis du dictionnaire de la conversation et tout simplement un tissu d'erreurs. Rconfavreux (discuter) 29 février 2024 à 23:17 (CET)[répondre]

Catégorisation[modifier le code]

Bonjour. À votre avis, Grimod peut-il ou non être catégorisé "auteur culinaire" ? J'hésite... --Égoïté (d) 22 septembre 2009 à 09:55 (CEST)[répondre]

La catégorie en question est un fourre-tout (cf. parmentier). Pour information Jean Anthelme Brillat-Savarin et Curnonsky sont tout deux catégorisés comme critique gastronomique. Le second rentre également dans la catégorie gastronome français. La question est comment définit-on un auteur culinaire? Est-celui qui rédige des recettes où plus large celui qui parle de gastronomie (critique gastronomique)?. Je n'ai pas non-plus d'avis tranché.--Walpole (d) 22 septembre 2009 à 11:07 (CEST)[répondre]
Oui, c'est pas évident du tout ! d'autant que Auteur gastronomique existe aussi... Je délimite pour ma part et arbitrairement, mais sans en faire des catégories :
  • Auteur de réceptaires de cuisine (ex : Ginette Mathiot, Gaston Clément, Édouard de Pomiane , Prosper Montagné (?))
  • Théoricien de la cuisine/gastronomie : Escoffier (?), Grimod de la Reynière, Brillat-Savarin, Gouffé, Josepf Favre
  • Physiciens/Chimiste de l'alimentation : Pasteur, Appert, Chaptal, This, Papin
  • Critique gastronomique (= critique de restaurants)
  • Bibliophiles gastronomiques : Vicaire, Julius Arndt
Et où placer Gayelord Hauser ? en auteur diététicien ? ! Smiley Colère --Égoïté (d) 22 septembre 2009 à 13:23 (CEST)[répondre]
Amha, Grimod pourrait être classé dans ces catégories (redondantes) : [catégorie : Personnalité de la gastronomie] et [catégorie : gastronome] voir plus précis [catégorie : gastronome français]. Pour le reste, il ne semble ni être un diététicien ni un critique gastronomique.--Walpole (d) 22 septembre 2009 à 14:28 (CEST)[répondre]
Ben... avec ses jurys dégustateurs, il a fait œuvre de critique en quelque sorte... --Égoïté (d) 22 septembre 2009 à 15:07 (CEST)[répondre]
Son jury dégustateur n'était pas un critique tel que vous le définissiez un peu plus haut. Sa réputation de gastronome et son avis était un label ("légitimé") pour les traiteurs et autres métiers de bouche. Le restaurant n'était à son époque qu'à ses débuts. La coutume était encore de faire dresser la table par un traiteur. Mais, il est encore possible de réfléchir à une définition plus large pour un critique gastronomique.--Walpole (d) 22 septembre 2009 à 21:23 (CEST)[répondre]
Le quatrième de couverture de l'almanach des gourmands, le déclare comme tel (cf. Amazon).--Walpole (d) 22 septembre 2009 à 22:18 (CEST) Le texte distingue la qualité de critique gastronomique, de jury de dégustateur??? Il doit y avoir une subtilité, critique-->restaurant, jury-->professionnels des métiers de bouche (label).--Walpole (d) 22 septembre 2009 à 22:22 (CEST)[répondre]
Ah oui, professionnel des métiers de bouche, c'est pas mal ! mais... c'est vaste, non ? --Égoïté (d) 23 septembre 2009 à 06:44 (CEST)[répondre]

Le domicile de Grimod - Section fin de vie[modifier le code]

L'auteur Michel Onfray dans ­« La raison Gourmande » plus précisément dans le chapitre Politesse Gourmande en page 45-46, remet en question que la maison de Grimod De la Reynière ai été truffée de passages secrets, de trappes ou de machineries. Ce serait l'extravagance du personnage qui eut encouragé de telles rumeurs.

Voici le passage ou Onfray parle du logis en question:

« La bâtisse dans laquelle Grimod prit sa retraite fut, elle aussi, le prétexte de délires singuliers. Elle aurait été fabriquée comme une scène de théâtre dans le dessein d'y produire des illusions en nombre, de confondre l'imagination et la réalité, de permettre la fiction d'y croître comme une belle plante vénéneuse. Le faux-semblant, la farce, la comédie s'y seraient taillé la part du lion: plancher se dérobant, issues intempestives, trappes et faux miroirs, tuyaux acoustiques disséminés partout (...) Les actes notariés, les inventaires après décès, les pièces officielles disent tous la même chose: jamais le domicile de Grimod ne fut cette scène extravagante.»

ONFRAY Michel, La raison gourmande, biblio essais, Éditions Grasset & Fasquelle, 1995, 254p.

Anne-Renaud 28 novembre 2013 à 16:11 (CET)

Merci pour cette information, Anne-Renaud. J'ai corrigé en conséquence. Amclt, Égoïté (discuter) 28 novembre 2013 à 18:27 (CET)[répondre]

Incohérence dans les dates[modifier le code]

Bonjour,

J'ai remarqué une incohérences dans les dates :

"Il fréquente des philosophes, des gens de lettres et des artistes, et les invite à des déjeuners bihebdomadaires fort appréciés de gourmets tels que Andrieu". Pierre Andrieu est né 33 ans après la mort de La Reynière.

Aucard44 (discuter) 8 juin 2022 à 14:44 (CEST)[répondre]

Quelques erreurs (à mon humble avis)[modifier le code]

Sur le "magasin de Montpellier", il n'y a eu en fait qu'une seule "succursale, 17 rue Mercier à Lyon (fevrier 1790°, qui a d'ailleurs rapidement fait faillite. Alexandre Grimod de La Reynière passait en effet plus de temps à Béziers, chez sa tante (dont il était amoureux) qu'à Lyon. La crise économique sévère qui a frappé Lyon pendant ces années n'a pas arrangé les choses).

L'Almanach des Gourmands : il a eu huit "Années" publiées de 1803 à 1812, à ne pas confondre avec les rééditions de certaines de ces années.

"La mort de ses parents lui a laissé une fortune suffisante" : hélas pour lui, ce n'est pas le cas. Son père est mort en novembre 1793 ruiné, principalement par une affaire d'emprunt contractée au près d'un banquier suisse en juillet 1789. La plus grande partie de la collection d'œuvres d'art de Laurent de la Reynière a dû etre vendue aux enchères ( Vente aux enchères du 3 avril 1793 chez Lebrun rue de Cléry n° 96 et rue du Gros Chenest ; Deuxième vente au domicile de Grimod de la Reynière, rue des Champs-Elysées du 7 au 17 septembre 1797 au lieu du 21 août 1797). La vente de l'hotel particulier de la rue des Champs Élysées en 1812 a servi a rembourser les dettes liées à l'emprunt suisse.

Sa maison de Villiers, rien de vient prouver l'existence de machineries. C'est l'une des nombreuses mystifications dont l'article se fait l'écho (tout comme la scène à l'opéra) dont on ne trouve pas trace dans les écrits ou l'abondante correspondance de Grimod de La Reynière,

un autre détail, sur les moignons de Grimod de LaReynière, il existe une descrition détaillée des prothèses qu'il portait, permettant de d'avoir une idée plus précises sur la consistance de ses moignons :

Boulanger, L., Les mains mécaniques et l’infirmité de Grimod de La Reynière, in La Chronique médicale : revue mensuelle de médecine historique, littéraire & anecdotique. - 1923. - 1923, n° 30. https://www.biusante.parisdescartes.fr/histoire/medica/resultats/index.php?do=page&cote=130381x1923x30&p=316

Voilà pour le plus important. Rconfavreux (discuter) 29 février 2024 à 23:00 (CET)[répondre]