Cuche et Barbezat

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Cuche et Barbezat
Nom de naissance Benjamin Cuche
Jean-Luc Barbezat
Naissance

(57 ans)
Le Pâquier, Canton de Neuchâtel, Suisse (Cuche)

(58 ans)
Val-de-Ruz, Canton de Neuchâtel, Suisse (Barbezat)
Nationalité Drapeau de la Suisse Suisse
Profession Humoristes
Entourage Didier Cuche, petit cousin de Benjamin Cuche
Site internet www.cuchebarbezat.ch

Benjamin Cuche et Jean-Luc Barbezat, alias Cuche et Barbezat, est un groupe humoristique suisse, originaire du Val-de-Ruz. Ils jouent leur premier spectacle amateur Rien en 1986.

Biographie[modifier | modifier le code]

Benjamin Cuche est né le 27 février 1967 au Pâquier, dans le canton de Neuchâtel, tandis que Jean-Luc Barbezat naît le au Val-de-Ruz[1].

Ils suivent tous deux en 1987 le cours préparatoire au Conservatoire de Genève. En 1989, ils participent à plusieurs émissions de La Classe sur France 3[1].

Ensemble, ils forment un duo comique où Cuche est le clown blanc et Barbezat l'auguste[réf. nécessaire].

En , ils déposent leur candidature du Conseil d'État du canton de Neuchâtel[2],[3].

Spectacles[modifier | modifier le code]

La Revue de Cuche et Barbezat : revue annuelle d'abord au Locle depuis 1994[4],[5],[6], puis à Neuchâtel à partir de 2001[7],[8],[9]

1986 : « Rien », au théâtre de La Chaux-de-Fonds[10], avec Pierre Gobet[11]

1990 : « L'oreiller sur la tête »[10], à Saint-Imier[11]

2000 : « Merci Patron ! »[12]

2002 : « Cuche et Barbezat font du badminton... mais pas dans ce spectacle », mis en scène par Michèle Guigon[13],[11]

2004 : Les Marionnettes du pénis (reprise du spectacle australien)[14], avec des représentations notamment à Paris[15]

2006 : « Plouf »[10],[16]

2008 : en automne, ils accompagnent la tournée du Cirque Knie[17]

2017 : « Ainsi sont-ils ! », inspiré d'un texte inédit de François Silvant et mis en scène par Philippe Cohen[18],[19]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Portrait de Jean-Luc Barbezat – Le faux flemmard joue au rigolo avec sérieux » Accès payant, sur 24 heures, (consulté le )
  2. « Cuche et Barbezat bel et bien candidats au Conseil d’État », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  3. Olivier Perrin, « Cuche & Barbezat ne font plus rire, ils énervent », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  4. « Café-théâtre La Grange, Le Locle NE - Theaterlexikon », sur tls.theaterwissenschaft.ch (consulté le )
  5. « Cuche et Barbezat au Locle », sur rts.ch, (consulté le )
  6. « Couple d'enfer à Neuchâtel », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  7. « Cuche et Barbezat refont le monde et conquièrent Neuchâtel », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  8. Pierre-Emmanuel Buss, « De l'air frais pour Cuche et Barbezat », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  9. « La Revue de Cuche et Barbezat en crise », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  10. a b et c Pascal Hofer, « Ils vont faire «Plouf» », L'Express/L'Impartial,‎ , p. 15 (lire en ligne [PDF])
  11. a b et c « Cuche et Barbezat – Cuche & Barbezat », sur site personnel du duo (consulté le )
  12. « Pierre Naftule — Theaterlexikon », sur tls.theaterwissenschaft.ch (consulté le )
  13. Nancy Dubois et Dominique Dewind, Annuaire du spectacle de la Communauté française de Belgique 2001-2002, Bruxelles, Archives et Musée de la littérature, (ISBN 2-87168-034-5, lire en ligne), p. 573
  14. Anna Lietti, « Cuche, Barbezat et la mondialisation du pénis », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  15. Laurent Wolf, « Cuche et Barbezat prouvent la souplesse de leur organe sur une scène parisienne », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  16. RTS.ch, « Cuche et Barbezat : Plouf », sur rts.ch, (consulté le )
  17. « Déjeuner avec Cuche et Barbezat. Mais qu'est-ce que c'est que ce cirque? », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  18. « "Ainsi sont-ils!" redonne vie aux personnages de François Silvant », sur rts.ch, (consulté le )
  19. Gérald Cordonier, « Cuche et Barbezat dans les pas de François Silvant », 24 heures,‎ (ISSN 1424-4039, lire en ligne, consulté le )

Sources[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]