Ana Maria Bidegaray

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Ana Maria Bidegaray
Biographie
Naissance
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Pseudonyme
MarianitaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Allégeance
Formation
Université de Bordeaux (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Autres informations
Conflit

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María Ana Marianita Bidegaray Salaverria, née à Hasparren, dans le Labourd, en 1890, et morte en 1974 dans la même ville, est une écrivaine, militante féministe et résistante espagnole durant la Seconde Guerre mondiale.

Biographie[modifier | modifier le code]

Fille de Jean-Baptiste Bidegaray (originaire d'Hasparren[1]) et de Ramona Salaverria (native de Goizueta), Ana Maria étudie dans la ville de Bordeaux[1].

Elle émigre en Uruguay avec ses parents en 1910.

Elle épouse l'ancien consul général de Belgique en Uruguay, Raymond Janssen[2], avec lequel elle a cinq enfants : Ana María, Margot, Armando, Betty et Raymond.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle entre dans la Résistance en aidant les services secrets britanniques et français et aide les prisonniers alliés grâce à son réseau Bidegaray[3], connue comme l'«Espionne basque»[2]. Elle participe au fonds belge pour aider les victimes du conflit et lutte contre les nazis en Amérique du Sud[4].

Elle écrit pour le journal Basque Deya publié à Buenos Aires et fait partie du département universitaire d'études basques créé à l'université de Montevideo sous la direction de Vicente de Amézaga Aresti[1].

Références[modifier | modifier le code]

(es) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Ana Maria Bidegaray » (voir la liste des auteurs).
  1. ↑ a b et c « Bidegaray Salaverria, María Ana - Auñamendi Eusko Entziklopedia », sur aunamendi.eusko-ikaskuntza.eus
  2. ↑ a et b (es) « Presentación de libro 'Ana María Bidegaray, espía vasca', de Arantzazu Amezaga en el Ateneo Navarro », sur Euskal kultura.
  3. ↑ (en-US) buber, « Basque Fact of the Week: Ana María Bidegaray, the Basque Spy », sur Buber's Basque Page,
  4. ↑ (es) Deia, « La espía vasca de la alta sociedad », sur www.deia.eus

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