Louis-Victor Baillot
| Louis-Victor Baillot | ||
 Louis-Victor Baillot dans les années 1890 à Carisey. Il porte sa Légion d'honneur ainsi que sa médaille de Sainte-Hélène. | ||
| Naissance | Percey |
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| Décès | (à 104 ans) Carisey |
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| Origine |  France
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| Grade | Fusilier du 105e régiment d'infanterie | |
| Années de service | 1812 – 1815 | |
| Conflits | Guerres napoléoniennes | |
| Faits d'armes | Bataille de Waterloo | |
| Distinctions | Chevalier de la Légion d'honneur Médaille de Sainte-Hélène |
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Louis-Victor Baillot, né le à Percey et mort le à Carisey, est un soldat des armées napoléoniennes, qui participa aux guerres napoléoniennes ; il est considéré comme le dernier survivant de la bataille de Waterloo[1],[2],[3],[4].
État de service
- Fusilier de la 3e compagnie du 3e bataillon du 105e régiment d'infanterie : du au .
- Rappelé en qualité de fusilier du 105e en avril 1815.
Hommages
Chevalier de la Légion d'honneur (décret du )[5],[3]
Médaille de Sainte-Hélène (1857)[3]
- Sa tombe à Carisey, porte la mention « Le dernier de Waterloo - Victor Baillot - Médaillé de Sainte-Hélène - Chevalier de la Légion d'Honneur - Mort à 105 ans »[3].
- Une plaque est apposée sur sa maison à Carisey[6].
Références
- « Baillot (Louis-V.) Fusilier -105e de ligne - Carisey (Yonne) », sur forumactif.fr.
- « Louis-Victor Baillot, le dernier survivant de Waterloo », site personnel sur le village de Cheny.
- Jean-Pierre Bibet, « Louis-Victor Baillot, le dernier survivant de Waterloo. », sur histoire-empire.org, Librairie des deux empires, .
- Jean-François Bazin, Une Bourgogne si étrange, Rennes, Ouest-France, , 127 p. (ISBN 2-7373-3397-0), p. 112.
- « Cote LH/93/16 », base Léonore, ministère français de la Culture
- « Bourgogne − 89−Yonne − 89/156 Baillot-4 », sur napoleon1er.org.
