Alliette Audra
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Alliette Audra
| Naissance | |
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| Décès |
(à 65 ans) Lausanne |
| Nom de naissance |
Alliette Marie Louise Gabrielle Audra |
| Nationalité | |
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| Distinction |
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Alliette Audra (Paris 17e, - Lausanne, [1]), épouse de Jean van Berchem[2], est une poétesse française catholique. Elle fut l'amie de Francis Jammes, qui rédigea des préfaces pour ses recueils, et de Charles du Bos. Elle fut lauréate du prix Gérard de Nerval, traductrice d'Elizabeth Browning et de William Butler Yeats.
En 1956, elle reçoit le prix de l'Académie française pour son recueil Ce que disent les souffles[3].
Bibliographie
- Trois Méditations sur Saint Rose de Viterbe (Art catholique)
- Les Œillets du Poète (Art catholique)
- Via Crucis (Art catholique)
- Les herbes hautes (Le Divan)
- Prairies (Corréa)
- Voix dans le renouveau (Corréa) ; préface de Francis Jammes
- Du côté de la neige (Corréa)
- Rêvé à l'aube (Corréa)
- Sonnets d'Elizabeth Browning (traduction) (Corréa)
- Ce que disent les souffles (Librairie les lettres, 1949), prix Caroline Jouffroy-Renault de l'Académie française 1956
- Béatitudes (Art catholique)
- Poèmes pour Aude
- Le Cahier bleu (Éditions du Vieux colombier)
- Le Lendemain des jours (Rodez : J. Subervie)
- La Douceur du monde (Émile-Paul)
- Poèmes pour un marin perdu (Au Pigeonnier)
- La Chambre de bois (Corrêa)
- Poèmes de W.B. Yeats (Ed du Vieux Colombier, préface d'Edmond Jaloux, traduction : Alliette Audra, 1956)
- Données BNF [1]
Citation
« La poésie est une union avec tous ou quelques-uns, et c'est aussi hélas ! une solitude sans frontière. »
Références
Entre Francis Jammes et Charles du Bos : la poétesse Alliette Audra (Paris, 1897 - Lausanne, 1962) J. Stiennon
