Diane Audrey Ngako
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Diane Audrey Ngako, née le à Douala, est une entrepreneure, journaliste et éditrice camerounaise.
En 2016, classée parmi les 30 jeunes de moins de 30 ans les plus endettés du continent africain par Forbes[réf. souhaitée].
Biographie
Enfance et Débuts
Diane Audrey Ngako est née au Cameroun en 1991. Elle est originaire de Bakou, commune du département du Haut Nkam, dans la région de l’ouest du Cameroun[1]. Elle est la première née à sa maman et la quatrième à son père[2]. Elle grandit à Douala avec sa maman où elle vit jusqu’aux débuts de son adolescence[3]. Son père, René Ngako est un professionnel de l’informatique et de l’aéronautique[1]. Elle quitte le Cameroun pour la France à l'âge de 12 ans. Elle poursuit ses études secondaires, puis universitaires à Paris. Elle passe un BTS en communication au CESACOM- École de communication Paris[4] puis rejoint l’école de management ISEFAC[5].
Carrière
Parallèlement à ses études, Diane Audrey Ngako commence sa carrière en 2011 en tant que rédactrice en chef de Roots magazine, une publication française consacrée aux sujets de la diaspora africaine. Par la suite, elle rejoint la rédaction de Le Monde Afrique[6] où elle aborde les nombreuses problématiques du continent africain[7]. En 2015, elle décroche un Master en communication et médias et devient chroniqueuse pour Journal d’Afrique à TV5 Monde[8].
En 2014, elle lance le site Visiter l’Afrique, une plateforme digitale collaborative dédiée à la promotion du tourisme africain[9],[10],[1].
En 2016, elle décide de retourner au Cameroun son pays d’origine et s’installe à Douala. En février 2017, elle fonde Omenkart, une agence de communication et conseil en image basée à Douala qu'elle dirige[8],[11]. En 2018, elle organise la première foire d'art contemporain Douala Art Fair, un évènement qui réunit les acteurs du monde culturel et artistique de la sous-région Afrique centrale[12].
En 2019, elle organise la première édition du Douala Digital Show, une marketplace pour les entreprises digitales au Cameroun[3]. La seconde édition du Douala Digital Show se tient en décembre 2020[13].
En 2020, elle lance le podcast «Si maman m’avait dit», une série qui donne la paroles aux hommes et femmes afin de briser des tabous[14],[15].
Références
- Yves Constant MALONGO TCHIEPI, « Cameroun : Diane Audrey NGAKO. L’Afrique dans son cœur », sur Femmes le Journal, (consulté le )
- « #LiberonsLaParole des femmes africaines, à commencer par la mienne: voici mon histoire », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « Diane A. Ngako », sur Leaders Afrique, (consulté le )
- « Cesacom - Ecole de communication en alternance de Bac à Bac + 5 », sur Cesacom (consulté le )
- « ISEFAC Bachelor | École de Communication, Management & Marketing », sur www.isefac-bachelor.fr (consulté le )
- « Diane-Audrey Ngako, ses dernières publications dans Le Monde », sur Le Monde.fr (consulté le )
- « Diane-Audrey Ngako : Les femmes sont le moteur central de l’économie africaine », sur CB News (consulté le )
- TV5MONDE, « Ambitions - Diane Audrey Ngako » (consulté le )
- « Trois questions à. Diane-Audrey Ngako », sur Journal du Cameroun, (consulté le )
- « Diane Audrey Ngako vous fait découvrir l’Afrique autrement », sur L'Etudant (consulté le )
- (en-US) « Page d'accueil | Omenkart Agence », sur Omenkart (consulté le )
- « Diane Audrey Ngako : les clés de sa réussite », sur BBC News Afrique, (consulté le )
- « L’Etat doit s’approprier la question du digital », sur www.cameroon-tribune.cm (consulté le )
- (en) « Si Maman M'avait Dit • A podcast on Anchor », sur Anchor (consulté le )
- « Afrique Hebdo - Les podcasts de Diane-Audrey Ngako : un concentré d'histoires de vie pour briser les tabous », sur France 24, (consulté le )
