Pont Jules-César
Pont Jules-César | |||||
Géographie | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Commune | Nantes | ||||
Coordonnées géographiques | 47° 13′ 24″ N, 1° 35′ 05″ O | ||||
Fonction | |||||
Franchit | Chézine | ||||
Fonction | Véhicules motorisés, cyclistes et piétons | ||||
Caractéristiques techniques | |||||
Type | Pont en ciment | ||||
Construction | |||||
Construction | XIXe siècle | ||||
Géolocalisation sur la carte : Nantes
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : France
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Le Pont Jules-César est un pont de Nantes qui enjambe la Chézine à l'ouest de la ville.
Historique
Le pont est achevé en 1879[1]. À cette époque, la Chézine marquait la limite administrative entre Nantes et la commune de Chantenay-sur-Loire.
Son nom viendrait d'une légende, selon laquelle l'illustre conquérant aurait remonté la rivière jusqu’à ce lieu-dit du « Repos de Jules César » lors d'une campagne militaire contre les Vénètes d'Armorique. En réalité, les historiens doutent forts que le général romain soit venu réellement dans la région durant cette période (56 av. J.-C.). Il est certain, par contre, qu'il fit ordonné la construction de galères sur la Loire, afin que les légions de Rome puissent aller vaincre les Vénètes lors de la bataille du Morbihan[2].
Description
Les arches de ce pont, en pierres blanche, supportent l'extrémité sud du boulevard des Anglais et assurent la séparation entre les parcs de Procé (à l'est) et le val de la Chézine (à l'ouest). Le parapet est en briques.
Sources
- Édouard Pied, Notices sur les rues de Nantes, A. Dugas, , 331 p., p. 68.
Références
- Pied 1906, p. 68
- Le Lycée Armoricain : Analyse de la nouvelle histoire de la Bretagne publiée par M.P. Daru, de l'Académie Française, vol. IX, Nantes, Mellinet-Malassis, , 528 p., p. 311