Centre d'études prospectives et d'informations internationales

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 6 septembre 2021 à 22:49 et modifiée en dernier par Arroser (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
centre d’études prospectives et d'informations internationales (CEPII)
Le centre d’études prospectives et d’informations internationales est installé au 20 avenue de Ségur, dans le 7e arrondissement de Paris.
Histoire
Fondation
Créé en 1978 par le Premier ministre Raymond Barre
Prédécesseur
Groupe d'études prospectives internationales (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Cadre
Sigle
CEPIIVoir et modifier les données sur Wikidata
Type
Siège
Pays
Organisation
Directeur
Antoine Bouët (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Organisation mère
Site web
Identifiants
Annuaire du service public

Le Centre d’études prospectives et d'informations internationales (CEPII) est un service du Premier ministre[1], membre du réseau coordonné par France Stratégie[2].

Le CEPII est le principal centre français de recherche et d’expertise en économie internationale. Les analyses et études du CEPII sur la macroéconomie et les finances, les politiques commerciale et migratoire contribuent au débat public et à la formulation des politiques économiques. Le CEPII produit des bases de données et renforce le dialogue entre chercheurs, décideurs de la sphère publique ou privée et acteurs de la société civile à travers l'organisation de nombreuses conférences.

Le directeur, est depuis décembre 2012, l'économiste Sébastien Jean[3]. Il a pris la succession d'Agnès Bénassy-Quéré qui le dirigeait depuis juillet 2006.

Présentation

Créé en 1978[4] par le Premier ministre Raymond Barre, le CEPII a comme principal domaine de recherche l'économie internationale.

Les membres du Conseil[5], issus de divers horizons (responsables d'administrations, entreprises, organisations syndicales, universités), valident le programme de travail et ses résultats.

Le Comité scientifique[6], composé d'économistes internationalement reconnus, valide la qualité des travaux.

Une cinquantaine de personnes, dont une trentaine d'économistes, y travaillent.

Notes et références

Voir aussi

Liens externes