Michelle Bolsonaro
Michelle Bolsonaro | |
Michelle Bolsonaro en 2019. | |
Première dame du Brésil | |
---|---|
Depuis le (5 ans, 5 mois et 13 jours) |
|
Prédécesseur | Marcela Temer |
Biographie | |
Nom de naissance | Michelle de Paula Firmo Reinaldo |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Ceilândia (Brésil) |
Conjoint | Jair Bolsonaro |
Profession | Collaboratrice parlementaire |
modifier |
Michelle Bolsonaro, née Michelle Reinaldo le à Ceilândia (District Fédéral), est l'épouse de Jair Bolsonaro, président de la République fédérative du Brésil depuis le .
Biographie
En 2007, elle rencontre le parlementaire Jair Bolsonaro à la Chambre des députés, où elle travaille comme secrétaire. Celui-ci lui propose de travailler avec lui et ils entretiennent dès lors une relation. Le couple se marie en 2013. Après ce mariage, Michelle Bolsonaro doit quitter son emploi en raison d’une législation anti-népotisme[1].
Michelle Bolsonaro est de confession évangélique alors que son mari est catholique. Elle a une fille avec Jair Bolsonaro, Laura, née en 2011. Elle est également mère d’une fille née d’une précédente union[1].
Son nom apparait dans l’affaire Queiroz de détournement de fonds. Selon des enquêteurs, l’Assemblée législative de l’État de Rio de Janeiro versait des indemnités parlementaires et payait des dépenses diverses à des hommes de paille ; ceux-ci les reversaient ensuite aux parlementaires ou à leurs proches. L’enquête note aussi des transferts en chèques, dont l’un au bénéfice de Michelle Bolsonaro[2]. Le magazine Crusoé affirme en août 2020 que Michelle Bolsonaro a reçu 21 chèques[Par qui ?], pour un total d'environ 22 000 dollars, entre 2011 et 2016[3].
Notes et références
- « Michelle Bolsonaro, la discrète et très croyante Première dame brésilienne », Sud Ouest, (consulté le ).
- « Coaf aponta que ex-motorista de Flávio Bolsonaro movimentou mais de R$ 1,2 milhão em operações suspeitas », sur globo.com, (consulté le ).
- « « J'ai envie de te fermer la gueule à coups de poing », lance Bolsonaro à un journaliste », sur Le HuffPost,