Tito Petkovski
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| Tito Petkovski (mk) Тито Петковски | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Président du Nouveau Parti social-démocrate | |
| En fonction depuis le (18 ans, 10 mois et 14 jours) |
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| Prédécesseur | Création du parti |
| Président de l'Assemblée de Macédoine | |
| – (2 ans, 8 mois et 13 jours) |
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| Législature | IIIe |
| Prédécesseur | Stojan Andov |
| Successeur | Savo Klimovski |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Psatcha (Yougoslavie) |
| Nationalité | Macédonienne |
| Parti politique | SDSM (1991-2005) NSDP (depuis 2005) |
| Religion | Christianisme orthodoxe |
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| Présidents de l'Assemblée de Macédoine | |
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Tito Petkovski (en macédonien : Тито Петковски), né le à Psatcha, est un homme d'État macédonien membre du Nouveau Parti social-démocrate (NSDP).
Biographie
[modifier | modifier le code]Débuts en politique
[modifier | modifier le code]Entre 1991 et 2005, il est membre de l'Union sociale-démocrate de Macédoine (SDSM). Il est président de l'Assemblée entre .
Présidentielle de 1999
[modifier | modifier le code]En 1999, il est candidat de la SDSM à l'élection présidentielle. Il est en tête du premier tour, le avec 33 % des voix. Lors du second tour, quatorze jours plus tard, il recueille 46,8 % et se trouve battu par le conservateur Boris Trajkovski, qui le devance de 69 200 voix. Il conteste le résultat de cette élection, retardant la prise de fonction du nouveau chef de l'État au-delà du terme du mandat du sortant Kiro Gligorov. Le président de l'Assemblée Savo Klimovski exerce alors l'intérim jusqu'au , jour d'investiture de Trajkovski.
Scission de 2005
[modifier | modifier le code]Tito Petkovski annonce le qu'il quitte la SDSM et fonde le NSDP, dont il prend la présidence le . Il se présente seul aux élections législatives du . Ayant remporté 7 députés sur 120, il intègre la coalition de centre droit formée par le conservateur Nikola Gruevski.
Finalement, à partir des élections législatives anticipées du , il participe aux différentes alliances formées par la SDSM, disposant chaque fois de 3 ou 4 parlementaires.
