À bientôt, j'espère
Apparence
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/dd/Citadelle_de_Besan%C3%A7on_7.jpg/220px-Citadelle_de_Besan%C3%A7on_7.jpg)
À bientôt, j'espère est un film réalisé par Chris Marker et Mario Marret, sorti en 1968.
Synopsis
Le film relate la grève dans l'usine de textiles Rhodiaceta de Besançon, en [1], au travers des témoignages des ouvriers sur leurs conditions de travail et motivations[2]. Cette grève a pris un aspect particulier de part l'assimilation du plan culturel du plan social[2] : les revendications ne tournent plus seulement autour de l'entreprise (salaires ou sécurité de l’emploi), mais aussi sur le mode de vie que la société imposait notamment à la classe ouvrière[2]. Les ouvriers grévistes qui occupent l'usine ont à leurs disposition du matériel pour filmer les événements, grâce à Chris Marker, Jean-Luc Godard ainsi que Bruno Muel[1].
Fiche technique
- Titre : À bientôt, j'espère
- Réalisation : Chris Marker et Mario Marret[2]
- Production : Slon et Iskra[2]
- Photographie : Pierre Lhomme
- Pays d'origine : France[2]
- Format : Noir et blanc - Mono - 16 mm[2]
- Genre : Documentaire[2]
- Durée : 43 minutes[2]
- Date de sortie : 1968
Voir aussi
- Histoire de Besançon
- Histoire de l'horlogerie à Besançon - Lip
- Chronologie du syndicalisme en France
Notes et références
- Histoire de l'usine Rhodiaceta de Besançon sur Racinescomtoises.net (consulté le ).
- À bientôt, j’espère, sur Lussasdoc.com (consulté le ).