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Véronique Grenier

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Véronique Grenier
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Biographie
Naissance
Nationalité
Activités
Enseignante au collégial (depuis ), poétesse, conférencièreVoir et modifier les données sur Wikidata
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A travaillé pour

Véronique Grenier, née le 22 octobre 1981 à Magog, est autrice, conférencière, chroniqueuse, porte-parole et enseignante au collégial[1].

Biographie

Autrice, féministe, militante, blogueuse, chroniqueuse, conférencière, porte-parole et enseignante au collégial, Véronique Grenier est l’autrice, aux Éditions de Ta Mère, des recueils de poésie Carnet de parc (2019) et Chenous (2017) et du récit Hiroshimoi (2016), paru aussi en Suisse chez Paulette éditrice, en novembre 2017. Elle a également publié un recueil de poésie jeunesse à La courte échelle, Colle-moi (2020)[2],[3],[4],[5],[6].

Véronique Grenier a collaboré à quelques collectifs (Sous la ceinture : unis pour vaincre la culture du viol, Québec Amérique ; Libérer la colère, Remue-Ménage ; Avec pas une cenne, Québec Amérique ; Ce qu'un jeune mari devrait savoir, Éditions Marchand De feuilles), aux revues Art Le Sabord, Les Écrits, XYZ. La revue de la nouvelle, Jet d’encre et Exit, à la pièce de théâtre Strindberg (printemps 2019, mise en scène de Luce Pelletier) et à la section « Idées » du journal Le Devoir, depuis l’automne 2020[2].

Professeure de philosophie au Cégep de Sherbrooke depuis 2009, Véronique Grenier est aussi chroniqueuse — notamment à titre de « philosophe de circonstance » à l’émission Et si on se faisait du bien, ICI Radio-Canada en 2018) et blogueuse (Les p’tits pis moé). Il lui arrive aussi de collaborer à la collection de chandails Les Beaux jours (« Linge mou. », « Papier bulle, please. » et « Sablonneuse ») avec Vanessa Duval[7],[2].

Ses implications sociales sont également nombreuses et importantes, notamment auprès d’Arrimage Estrie, des Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS), du Conseil du statut de la femme, du Musée des beaux-arts de Montréal pour le projet Éduc’Art. À cet effet, en 2016, elle est co-porte-parole de la campagne nationale « Sans oui, c’est non » pour contrer les violences à caractère sexuel[8]. Elle réalise en 2017, une œuvre littéraire originale, sous forme de narration dans le cadre de l'exposition Le Temps file au Musée national des beaux-arts du Québec[9].

Au théâtre, ses textes sont mis en scène dans le cadre de la pièce Confettis (Théâtre tout court, 2014),

Moé pis toé (Salle Multimédia du Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec, 2015), Strindberg (Espace Go, 2019) ainsi que Houleuse (Collectif les Mouettes, 2019) [10],[11].

En 2015, elle est récipiendaire du prix « Coup de cœur » du Conseil de la culture de l’Estrie en 2015[2]. En 2017, elle est lauréate du prix Jean-Claude-Simard de la société de philosophie du Québec. En 2018, elle obtient le mérite estrien et finalement, en 2020, elle est lauréate du Grand Prix du livre de la ville de Sherbrooke[2].

Œuvres

Poésie

Théâtre

  • Confettis, Théâtre tout court, 2014.
  • Moé pis toé, Festival St-Ambroise FRINGE, Salle Multimédia du Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec, 2015.
  • Cher Journal, Théâtre tout court, 2015.
  • Strindberg, Espace Go, mise en scène de Luce Pelletier, avec Anaïs Barbeau-Lavalette, Rachel Graton, Emmanuelle Jimenez, Suzanne Lebeau, Catherine Léger, Marie-Louise B. Mumbu, Anne-Marie Olivier et Jennifer Trembla, 2019[12].
  • Houleuse, Collectif Les Mouettes, 2019.

Collaborations

Prix et honneurs

  • 2015 : Récipiendaire : Prix « Coup de cœur » du Conseil de la culture de l’Estrie[13]
  • 2017 : Récipiendaire : Prix Jean-Claude-Simard de la société de philosophie du Québec[14]
  • 2018 : Récipiendaire : Mérite estrien (Pour sa carrière comme auteure, chroniqueuse et militante)[15],[16],[17]
  • 2020 : Récipiendaire : Grand Prix du livre de la Ville de Sherbrooke (Pour Carnet de parc)[18]
  • 2021 : Finaliste : Prix des libraires du Québec Jeunesse (Pour Colle-moi)[19]

Notes et références

  1. « Le don de voir le monde », sur La Tribune, (consulté le )
  2. a b c d et e « Véronique Grenier | Les voix de la poésie », sur www.lesvoixdelapoesie.com (consulté le )
  3. « Véronique Grenier : une fille qui aligne des mots | », sur www.lecollectif.ca, (consulté le )
  4. « Chenous , la poésie gracieuse de Véronique Grenier », sur ici.radio-canada.ca (consulté le )
  5. Jessica Dufour, « La poésie comme retraite méditative », sur Impact Campus, (consulté le )
  6. « https://cap.banq.qc.ca/search/14475c23-bf71-406b-b2ed-944b71aec100 », sur cap.banq.qc.ca (consulté le )
  7. Mary Lynn Kimberly Kiley, « La fabrique crépue », sur www.lafabriquecrepue.com, (consulté le )
  8. « Remise du prix Jean-Claude Simard 2017 », sur SPQ - Revue Philosophiques, (consulté le )
  9. Isabelle Pion, « Le don d'ubiquité de Véronique Grenier », La Tribune,‎ (lire en ligne)
  10. « Recoller les morceaux un par un. Moé pis toé de Véronique Grenier. - Artichaut magazine », sur artichautmag.com (consulté le )
  11. « Véronique Grenier: mots porteurs », sur La Tribune, (consulté le )
  12. « Strindberg », sur Espace Go (consulté le )
  13. « Véronique Grenier », sur Association nationale des éditeurs de livres/Québec Édition (consulté le )
  14. « Remise du prix Jean-Claude Simard 2017 », sur SPQ - Revue Philosophiques, (consulté le )
  15. « Le Mérite estrien :  Véronique Grenier », sur ici.radio-canada.ca (consulté le )
  16. « Véronique Grenier s’illustre au Gala du Mérite estrien », sur Cégep de Sherbrooke (consulté le )
  17. « Le don de voir le monde », sur La Tribune, (consulté le )
  18. « Véronique Grenier remporte un prix littéraire », sur Cégep de Sherbrooke (consulté le )
  19. « Prix des libraires du Québec Catégorie Jeunesse – Sélection 2021 », sur prixdeslibraires.qc.ca (consulté le ).

Liens externes